Commentaires de films faits par morrigan
Répliques de films par morrigan
Commentaires de films appréciés par morrigan
Répliques de films appréciées par morrigan
Eleonor : Et votre mari ?
Mme Dudley : Nous habitons en ville à des kilomètres.
Eleonor : Oui.
Mme Dudley : Il n'y a donc personne si vous avez besoin de secours.
Eleonor : Oh oui, c'est évident.
Mme Dudley : On ne vous entendrait pas... dans la nuit.
Eleonor : Vous avez une idée, du genre où le docteur...
Mme Dudley : Personne ne vous entendrait. Les plus proches voisins sont en ville. Jamais personne n'approchera du Castel.
Eleonor : Je sais.
Mme Dudley : Dans la nuit... dans le noir...
Elise : Comme ça. [Elle lui montre une très grosse pierre qu'il n'arrive pas à soulever.]
Tracteur : C'est pas bougeable, cette vache-là. Toujours que t'exagères, toi Elise Gauvin. Tu peux pas avoir un chagrin ordinaire ?
Denis : J’ai glissé cette nuit en allant vomir.
François : Ba, y’avais une mer d’huile cette nuit.
Denis : C’est ça, c’est surement moi qui ai fais bouger le bateau.
François : Ah ça y est, t’as décidé d’me faire chier ?
Denis : J’vais pas t’faire chier longtemps parce que j’irais pas plus loin.
François : Quel vérole celui là.
Denis : Mais j’peux pu marcher bordel, c’est pas d’ma faute, j’suis sur que mon entorse s’infecte.
François : Tu vas m’faire l’coup des entorses qui s’infectent maintenant ? Tu sais que t’es dur toi ?
Mary : Des difficultés respiratoires ça me dit quelque chose. Vous êtes couché sur moi et vous m'empechez de respirer.
John : On fonce dedans. On fonce dans l’tas !
Maverick : Oh, Oh, Holly, tu pars pas sans moi d'accord ?!
Walsh : J'peux vous poser une petite question ? Vos lunettes de soleil, j'les trouve vraiment géniales. C'est fourni par l'administration ou vous allez tous les acheter au même endroit ?
Jean Valjean : Merci.
[Il part]
Monseigneur Myriel : Attendez ! Vous oubliez encore vos chandeliers ! Allez, prenez-les ! Jean Valjean, mon frère, je ne crois pas au pouvoir de l'argent, mais celui-ci peut vous aider à devenir un autre homme. vous n'appartenez plus au Mal, mais au Bien. C'est votre âme que je vous achète.
Hippo : J'en ai ras l'cul de me faire arrêter. J'ai pas de travail, j'ai pas de maison, j'ai une bagnole pourrie. Regardez la porte, là, elle s'ouvre pas la porte, j'suis obligé de passer par derrière comme un con, putain. J'me fais arrêter toutes les 10 minutes. Mais merde, c'est pas nous les bandits. Nous, on est des nuls, putain. Laissez-nous tranquille 5 minutes. On en chie assez comme ça, putain, merde [Et il s'excite sur sa porte avant bloquée].
Mahuzard : Evacué, tiens donc. Et pourquoi ?
Beral : Ben euh... je vais sans arrêt, mon adjudant.
Mahuzard : Tu vas où ?
Beral : Ben aux... j'crois qu'c'est la dysentrie.
Boissier : Pourquoi t'appelles pas ça la chiasse ?
Augagneur : Ah, parce que la chiasse ça veut dire la courante, ça veut dire la petoche. La dysentrie c'est technique, c'est dans les manuels.
Beral : Tu serais pas un peu con toi des fois ?
Augagneur : GARDE A VOUS ! Quand on s'adresse à un supérieur on prend la position réglementaire, et l'on nomme le dit supérieur par son grade. Vous seriez pas un peu con des fois, sergent Augagneur ?
Rhonda : La vérité ?
Tania : Oui.
Rhonda : Moi aussi, j'dis la vérité. Nicole a une liaison avec Chook. Muriel les a vus baisés dans la lingerie, le jour de ton mariage. Ton verre, tu peux te le fouttre au cul, Tania. J'préfèrerais avaler des lames de rasoir plutôt que de boire un verre avec vous.
Makimura : Euh, Niki ...
Niki : Cette douce voix appartient à mon associé. Mais je n’emploi ce garçon que par pure charité. Nous n’avons rien de comparable. La différence est flagrante.
Makimura : Niki est trop modeste.
Niki : Nous les meilleurs amis, rien ne pourra nous séparer.
Niki et Makimura : On est imbattable !
Niki : Un jour qu’il était seul, on nous a quand même brutalement séparé. Très brutalement. Oh nan ! Comment ça va ? T’as pas trop mal ?
Makimura : A ton avis avec vinght balles dans l’corps, comment on peut s’sentir ?
Niki : Euh ...
Makimura : Ah !
Niki : Oh, mais c’est terrible, qu’est ce que je vais faire.
Makimura : Euh, j’ai un p’tit service à te demander. Tu pourrais t’occuper de ma nièce quand je serai mort ?
Niki : D’accord, tu peux compter sur moi, je prendrai bien soin de cette pauvre fille.
Makimura : Une dernière chose.
Niki : Quoi ?
Makimura : Ne la séduis jamais.
Niki : Oui, d’accord, promis tu as ma parole de scout.
Makimura : C’est gentil. Alors je peux mourir en paix.
John : Oui, p'pa.
Ben Harper : Je compte sur toi ?
John : Faut rien lui dire ?
Ben Harper : Elle ne sait pas garder un secret.
Ulysses : Parce qu'il me semble que cette fonction requiert une certaine aptitude à l'abstraction Pete, Mais si aucun consensus ne se dégage sur ce point, votons.
Pete : Absolument ! Et j'vote pour moi figure toi !
Ulysses : Moi aussi je vote pour moi !
[ils regardent tous les deux Delmar]
Delmar : Bon, j'suis avec vous les gars.
Poussin : Et avec ça, pas de chance. Venir mourir dans un trou pareil...
Dromard : Encore une victime des agences de tourisme...
Trinita : On m'appelle Trinita.
George : Ici George. Il y a un pépin Capitaine, votre idée de glisser un micro dans la bague du Consulat c’est ingénieux, mais manifestement il y a quand même une couille : Mme Granianski vient de demander trois jours de congés pour fêter son anniversaire de mariage. Le micro fout l’camp, tout est foutu.
Fille de Michael : C'est pareil que des policiers mais c'est encore pire.
Le Président : Vous n'avez toujours pas repris ?
Lucky Luke : Non, j'ai un apatch.