Commentaires de films faits par Cacoethes-scribendi
Répliques de films par Cacoethes-scribendi
Commentaires de films appréciés par Cacoethes-scribendi
Répliques de films appréciées par Cacoethes-scribendi
Fantaisie : Chhut ! C’est le Maître des Livres, notre maître à tous.
Richard : Je sais qui il est. C’est à cause de lui que tout ça est arrivé ! Avez-vous la moindre idée de ce par quoi je suis passé ?
Le Maître des livres : Dis-moi.
Richard : J’ai presque été dissout par un docteur cinglé, j’ai été l’esclave d’une bande de pirates sanguinaires et j’ai été mangé. Vous entendez ? J’ai été mangé par un dragon cracheur de feu !
Horreur : Ne l’écoutez pas, Maître, il ne pense pas ce qu’il dit.
Richard : Sans parler d’avoir été malmené, écrasé et d’être presque mort !
Le Maître des livres : Et pourtant tu te tiens devant moi…
Richard : Euh… oui.
Le Maître des livres : Réfléchis, mon garçon. Quelle aventure aurais-tu vécue si je t’avais amené ici simplement en tournant la page ?
Céline : What?
Jesse : Um... I want to keep talking to you, y'know. I have no idea what your situation is, but, uh, but I feel like we have some kind of, uh, connection. Right?
Céline : Yeah, me too.
Jesse : Yeah, right, well, great. So listen, so here's the deal. This is what we should do. You should get off the train with me here in Vienna, and come check out the capital.
Céline : What?
Jesse : Come on. It'll be fun. Come on.
Céline : What would we do?
Jesse : Umm, I don't know. All I know is I have to catch an Austrian Airlines flight tomorrow morning at 9:30 and I don't really have enough money for a hotel, so I was just going to walk around, and it would be a lot more fun if you came with me. And if I turn out to be some kind of psycho, you know, you just get on the next train. [Elle réfléchit] Alright, alright. Think of it like this: jump ahead, ten, twenty years, okay, and you're married. Only your marriage doesn't have that same energy that it used to have, y'know. You start to blame your husband. You start to think about all those guys you've met in your life and what might have happened if you'd picked up with one of them, right? Well, I'm one of those guys. That's me y'know, so think of this as time travel, from then, to now, to find out what you're missing out on. See, what this really could be is a gigantic favor to both you and your future husband to find out that you're not missing out on anything. I'm just as big a loser as he is, totally unmotivated, totally boring, and, uh, you made the right choice, and you're really happy.
Céline : Let me get my bag.
Jesse : Yeah, yeah. I get it, I get it. So, I'm the crude, dumb, vulgar American who doesn't speak other languages, who has no culture, right ? But I tried.
- Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- Ah non, t'as jamais vu des embouteillages pareils, mon vieux ! Trois heures pour venir de chez moi ! Trois heures !
- D'où tu viens ?
- Viroflay. Tout Paris à traverser !
- Quelle aventure !
- Tu vois, il leur faut toujours quelque chose. Et toujours c'qu'on n'a pas ! Ça rêve, c'est toujours à côté. Tu crois que tu lui parles, mais elle écoute l'empereur de Chine. Une femme, sir Winston, c'est quelqu'un qui t'attend à la maison. C'est la douceur, la compréhension. Tu rentres, elle ouvre la porte. Elle joue du piano, de la harpe. T'es chez toi ! Celle-là, elle sait même pas me faire un oeuf à la coque et je la suis au bout du monde ! Tu comprends quelque chose, toi ?
- Ah, tu sais nager, maintenant ?
- Non, pourquoi ?
- Tu vas avoir des problèmes, toi. Retire c'que t'as dit !
- Ouiiii! Je m'en doutais, mais avant toute chose, j'avais une petite question : est-ce que c'est à vous, ça ? [lui pointe le pistolet sur le ventre]
Toi qui crois que la terre est ronde
Tu n'te doutes pas une seconde
Que ton histoire pourrait changer.
Si tu n'veux plus rester dans l'ombre
Avant qu'un beau jour ne fondent
Tous tes espoirs, que tu n'te sentes un peu partout étranger.
Viens, il existe un nouveau monde
Où la lune est toujours blonde
Et les étoiles restent allumées.
Ne crois pas tout ce qu'on raconte
Ce qu'on peut lire dans les contes
Si tu veux voir la liberté !
Prends entre tes mains ton destin,
Mets les voiles dès ce matin
Pour la planète où tu veux vivre.
Prends le large rien ne te retient,
C'est ta vie elle t'appartient
Si tu veux être un homme libre.
Viens, tu verras la route est longue
Parfois le ciel devient sombre
Mais les nuages sont encore loin.
Et même si de fatigue tu tombes
Dans ta course vagabonde
Aie le courage de continuer ton chemin.
Dis-toi que rien n'est écrit
L'avenir se construit
Il n'y a que toi pour savoir quelles sont vraiment tes envies,
Il n'y a que toi pour savoir quel sens donner à ta vie.
Prends entre tes mains ton destin,
Mets les voiles dès ce matin
Pour la planète où tu veux vivre.
Prends le large rien ne te retient,
C'est ta vie elle t'appartient
Si tu veux être un homme libre.
Rien qu'un homme enfin libre
Enfin libre
Enfin libre...
- Exactement. Quand j'avais ton âge, la télévision s'appelait : livres. Et celui-ci n'est pas comme les autres : c'est le livre que mon père avait l'habitude de me lire quand j'étais malade, et que j'ai lu ensuite à ton père. Et aujourd'hui, je vais te le lire à toi.
- Est-ce qu'il y a du sport dedans ?
- Quelle question ! Y a que ça. Bagarre, duels, torture, vengeance, géants, monstres, poursuites, évasions, grand amour, miracles…
- Ça n'a pas l'air trop mal. Je vais essayer de rester éveillé.
- Oh, bon, je te remercie infiniment, c'est très gentil de ta part. Une telle marque de confiance me comble de joie.
- Quoi précisément ?
- Vous.
- « Moi », de quelle façon ?
- La vie avec vous ?
- Oui.
- Assez typique...
- Croyez-vous ? Et en quoi êtes vous qualifié pour me donner un conseil de ce genre ?
- J’en sais plus sur le monde.
- Ahahaha, oui, infiniment plus, à ce que je sais.
- Assez, en tout cas, pour vous dire que vos vues gagneraient beaucoup à se voir... élargies. Par un jeune homme extraordinaire !
Le juge Langlois [Choqué] : De quoi ?
Tom Lefroy : Oui mon oncle. Et demain, nous en rencontrons une autre : Madame Radcliffe. C’est une femme solitaire, presqu’une recluse, mais je connais son mari, il est juriste.
Le juge Langlois : Juriste ?
Henry Austen : Oui, juriste, William Radcliffe.
Jane Austen : Elle est écrivain de profession.
Le juge Langlois [de plus en plus choqué] : Profession ?
Tom Lefroy : 500 livres, mon oncle, pour son dernier roman : « Les mystères d’Udolphe » et 800, je crois, pour son prochain.
Jane Austen : « L’italien ».
Le juge Langlois : Elle a gagné plus de 1000 livres ? Ohohoho, quelle époque !
- Ah voilà. Un gourou. Vous avez vu ? Une secte avec deux personnes ça s’appelle une famille !