Commentaires de films faits par Cacoethes-scribendi
Répliques de films par Cacoethes-scribendi
Commentaires de films appréciés par Cacoethes-scribendi
Répliques de films appréciées par Cacoethes-scribendi
Ce film n'est pas prise de tête. Il est émouvant sans être dramatique. Les acteurs sont bien dans leurs rôles...
Mais ceux que je préfère, ce sont les chiens. On les voit régulièrement seuls et c'est tellement bien tourné qu'on comprend très facilement leur dynamique.
Un Disney, donc cela reste très familial, mais je passe un excellent moment à chaque visionnage, en sursautant TOUJOURS au même moment ^^
Et en définitive... j'ai toujours un peu de mal, avec les studios Ghibli, parce que j'ai souvent l'impression de passer à côté. Si je sens la poésie, j'ai peur de ne pas sentir le sens profond...
En tous les cas, j'ai beaucoup aimé le ton philosophe de Le vent se lève, son côté "ainsi va la vie".
Les rêves de Jiro, sa personnalité calme mais passionnée, les cheveux-avions de son supérieur, l'histoire avec Naoko m'ont bien plu.
Et le côté "réaliste" du film contribue pour moi à son charme : on aperçoit le Japon du XX° siècle, dans ses coutumes (le décalage costume traditionnel/à l'européenne par exemple) et son avancée technologique monstre en quelques dizaines d'années.
De même, la langueur du film n'est pas vraiment un point négatif, elle permet de profiter au mieux de ses atouts : poésie, musique, beauté des dessins (je ne m'y connais pas du tout, mais les paysages sont magnifiques !).
Certains dialogues sont un peu niais, c'est la seule critique que je pourrais vraiment faire au film.
Au final, j'ai passé un bon moment devant le dernier-né de Miyazaki.
Un petit côté road movie, de l'humour, un peu d'absurde... Un film que j'ai fini pleine de bonne humeur et motivée pour la vie !
Je le revisionnerai avec grand plaisir :)
Amanda Seyfried est assez bluffante, elle joue ce rôle vraiment très bien.
Un film touchant, mais qui comporte une part d'incertitudes.
C'est un peu lent et long, mais les images et la musique sont très belles. L'histoire est peu originale, mais les personnages sont très charismatiques. Bref, le film a le charme de son époque ! ^^
J'ai été très surprise par la fin, après 3h de film je ne m'attendais pas un tel dénouement (quoiqu'étant inspiré d'une histoire vraie, j'aurais dû m'en douter).
A découvrir !
De l'humour juste comme il faut pour la problématique : comment devient-on père ? J'ai beaucoup aimé le personnage principal, sa façon de prendre la vie sans complexes.
L'accent québécois rajoute une tonne de charme au film, il donne l'impression que les émotions sont décuplées.
A découvrir :)
Rien que de savoir exactement combien d'existences se déroulent dans le film est compliqué, de même que la chronologie même de ces vies. Au final, on a des fragments éparpillés ici et là, au spectateur de se les approprier.
J'ai donc eu un peu de mal, mais j'ai tout de même apprécié l'esthétique et la poésie qui se dégage de ce film. Diane Kruger y est assez bluffante !
Dans les tranchées, entre Français, Ecossais et Allemands, on se prend de sympathie pour les personnages principaux de chaque camp.
Certains éléments scénaristiques font très peu réalistes, mais sont facilement pardonnables tant le résultat est magique.
Un beau message de partage et de tolérance, où le spectateur oscille entre le rire et les larmes.
Je vous conseille de le voir en VO, même sans sous-titres c'est assez compréhensible (bon, l'écossais, c'est spécial ^^).
Il n'est pas super drôle et si j'ai bien aimé le personnage de Hugh Grant, celui d'Andie McDowell m'a horripilée. Et j'aurais bien aimé que d'autres personnages soient plus sur le devant de la scène, au final le film est assez superficiel et sans grand intérêt.
ce film a un certain charme, même s'il n'a pas très bien vieilli. Je pense qu'un visionnage me suffira ^^
Les personnages sont crédibles, le scénario bien ficelé.
Je reproche juste à la fin d'être un peu trop "dramatique", peu réaliste.
Mais sinon, juste assez de sentimentalisme et d'humour pour se laisser regarder tranquillement.
Il n'empêche, j'ai bien aimé. Si je n'ai pas beaucoup compris le côté polar/thriller, j'ai apprécié la psychologie de Jacky et son côté imprévisible. Ce film dépeint pas mal d'horreurs avec crudité, néanmoins c'est une jolie histoire d'amitié.
J'ai aimé retrouver Matthias Schoenaerts, dans un rôle aussi peu causant que dans De rouille et d'os, encore plus abîmé par la vie...
La seule fausse note, ce sont des passages scénaristiques qui sonnent trop "hollywoodiens". C'est en décalage avec le reste, qui se veut assez réaliste.
Malgré tout, il reste un film magnifique sur la solidarité, les réactions face à une situation qui nous dépasse.
C'est un film émouvant, mais pas triste, d'où on sort bouleversé.
Comme d'habitude, beaucoup de dialogues et de réflexions, mais cet opus se distingue des autres par le nombre de personnages : pendant toute la première partie, on voit Jesse et Céline se comporter "en société" et d'autres personnes racontent leur vie. Ca fait bizarre mais d'un côté ça apporte un peu de fraîcheur.
Encore une fois, Céline, Jesse et Céline/Jesse m'ont à la fois agacée et attendrie. On voit toutes leurs failles, leurs petits défauts... Et on s'émerveille de leur capacité à aimer l'autre : si nous, simples spectateurs d'une heure tous les dix ans, détectons leurs faiblesse, que doit-il en être d'eux ?
Dans ce film, les personnages sont au milieu de leur existence, et pas à l'orée ou au début comme dans les deux premiers. Ils sont à la fois pareils et plus matures, plus expérimentés, moins illusionnés.
A voir, à voir, à voir.
Ce sont des retrouvailles, alors on ressent toute l'étrangeté de la situation, la gêne... L'empressement de Jesse m'a un peu gênée, tout comme les réactions de Céline, qui oscillent entre l'indifférence et l'explosion.
Ca fait tout autant réaliste et naturel que le premier opus, mais je n'en ai pas retrouvé la magie.
Et surtout, surtout, paradoxalement, le film est passé beaucoup trop vite : quand l'image a disparu, j'ai éclaté : "Quoi ? C'est la fin ? C'est pas possible ! Il s'est rien passé !", j'avais l'impression que le film n'avait duré que 20 minutes (et j'exagère à peine).
J'en attendais plus, en fin de compte.
Je n'ai qu'une envie, voir la fin de la trilogie
Enfin je sais pas, j'ai trouvé les réactions des personnages authentiques, ce qui rend le film d'autant plus beau et touchant.
Parce que finalement, c'est ça, le film. Ce n'est pas tant ce qu'il se passe ou ce qu'il se dit, que la manière, le geste, le regard.
J'ai hâte de voir les deux films suivants !
Rien que le début, avec la plume est magnifique. Une jolie métaphore sur la vie, cette plume qui se laisse porter par le vent et dont la direction change en fonction des obstacles qu'elle rencontre...
Un héros touchant, qui a réalisé des choses incroyables "sans le faire exprès" et qui est témoin, voire acteur (le Watergate, haha), d'une grande partie des évènements du 20° siècle américain. D'ailleurs, tous les clins d'œil à l'Histoire sont excellents, notamment l'influence de Forrest Gump sur Elvis Presley et John Lennon...
Des acteurs magistraux dans leur rôle : Tom Hanks, Robin Wright, Gary Simise...
Une bande originale superbe, qui reprend les standards américains et le thème créé par Alan Silvestri.
A voir absolument !
Une histoire toute disneyenne sur la différence, la tolérance et le respect des animaux. J'aime beaucoup aussi, car cela se passe au 20° siècle et on a un petit aperçu de l'époque par le biais de Jane et son père : les progrès scientifiques et technologiques, les comportements...
Quand j'étais petite, Jane m'agaçait, maintenant je l'adore, je la trouve résolument moderne et intrépide !
Ne pas oublier Tok et Tantor, des compagnons juste irrésistibles !
Comme souvent dans les Disney, une bande originale géniale, d'autant plus chantée aussi par Phil Collins dans la version française !
A voir, bien sûr !
D’habitude, je suis assez critique envers les adaptations cinématographiques. Celle-ci s’éloigne par moments tellement de l’original, que finalement ce n’est pas choquant que : le camp « méchant » ne soient pas le même, qu’il manque tout un pan de l’univers, que la malédiction ait été chamboulée…
D’ailleurs, l’intrigue elle-même change totalement de message : ici, c’est la guerre contre laquelle se battre.
Des petits bémols : il y a des éléments liés aux livres qu’on ne comprend pas bien, notamment pourquoi Hauru a fait une crise concernant ses cheveux. Dans le roman, on sait qu’il est incroyablement coquet (et on connait les raisons de cette coquetterie), mais dans le film, c’est difficile à expliquer, d’autant plus qu’il en veut à Sophie tout en étant parfaitement conscient d’être amoureux. J’ai aussi trouvé dommage que le côté sorcière de Sophie n’ait pas été exploité (donc on ne comprend pas très bien le coup de l’épouvantail qui prend vie).
Mais ce ne sont que des peccadilles, tant le film brille de magie et de charme.
Hauru, quelle grâce, quelle prestance ! Et Sophie dont la soudaine vieillesse s’efface légèrement par moment, c’est adorable. Ils sont trop chous.
Un conte anglo-saxon à la sauce Miyazaki, un pur enchantement !
J'ai bien aimé la manière dont le film a acquis son titre, je ne m'attendais pas à une telle explication ^^
Après une ellipse de quelques années, tout dérape : Guido et son fils sont emmenés dans un camp de concentration et Dora décide de partir avec eux. Ce moment est terrible, car elle ne sait pas exactement ce qu’il va se passer ; elle souhaite une seule chose, rester avec sa famille… mais ne peut pas se douter que les hommes et les femmes seront séparés et que débuteront des moment noirs...
Dès le début de leur déportation, Guido décide de tout faire pour que son fils n’ait pas peur, il surmonte sa propre terreur et met en œuvre son imagination affectueuse pour son fils. C’est tellement émouvant, ce père qui décide de se dépasser, tandis que tous les autres sont abattus, résignés, perdus, lui se redresse et se bat, alors qu’il a simplement envie de s’effondrer et pleurer, il rit aux éclats. Rien que pour voir son fils sourire au milieu de cette horreur.
La première fois que je l’ai vu, j’avais souri, voire ri, des efforts de Guido pour transformer le camp en vaste terrain de jeu, en se moquant des gardiens, en comptant les points. Mais en le revoyant, j’étais en larmes, c’était pas drôle du tout, c’était incroyablement touchant, c’était beau.
Un film à voir absolument.
On retrouve le petit charme du jeu des acteurs des années 40 et j’ai découvert les acteurs de légende que sont Gregory Peck et Ingrid Bergman.
La petite histoire d’amour est toute mignonne, les percées dans le domaine psychiatriques sont intéressantes (pour l’époque !). Le suspense est plutôt bon, le film n’est pas noir ni glauque, juste bien.
Bref, pas un film extraordinaire, mais devant lequel j’ai passé une bonne soirée !
C'est l'histoire d'un musicien raté un peu paumé, et on a pas l'impression qu'il évolue vraiment dans le film.
Le film est quasiment en noir et blanc, tout dans des tons gris et pâles, c'est pas super joyeux.
J'ai beaucoup aimé les scènes de musique, notamment "500 miles", chantée par Justin Timberlake et Carey Mulligan.
La seule chose intéressante que j'en retire, c'est que "nègre" se dit "ghost writer" en anglais (c'est un peu plus poétique).
A part ça... Peut-être que les amateurs du genre apprécieront, pour ma part ça a manqué un peu de peps : j'ai été trop "spectatrice", je n'ai pas été emportée.
Les zombies pourraient être remplacés par n'importe quoi d'autres, des aliens, des terroristes. Surtout, il n'y a rien qui fasse spécialement peur, ce à quoi je m'attendais en visionnant un film dit "de zombies".