Commentaires de films faits par _Meline
Répliques de films par _Meline
Commentaires de films appréciés par _Meline
Répliques de films appréciées par _Meline
Bob Harris : J'aime bien celle-là, et comme ça si je tombe ça se remarquera.
Charlotte : D'accord. Alors, vous êtes content du séjour ?
Bob Harris : Est-ce que je peux vous confier un secret ? Je pense organiser un truc pour m'évader et je cherche, disons, un complice. Faudrait qu'on arrive à s'arracher de ce bar, et ensuite de l'hôtel, et ensuite de cette ville, et enfin de ce pays. Alors, vous en êtes ?
Charlotte : Oui, j'en suis. Le temps d'aller prendre mes affaires.
Bob Harris : Il suffit de se dire qu'on dort presque un tiers de sa vie, ça fait déjà six ans de moins à tirer, ce qui nous ramène à dix-huit ans et des poussières. On est encore dans l'adolescence du mariage, on a l'âge de conduire mais y a toujours le risque de l'accident.
Bob Harris : Heu... plusieurs choses. Je fuis un peu ma femme, je loupe l'anniversaire de mon fils et on me donne deux millions de dollars pour vendre un whisky alors que je pourrais être sur les planches en Amérique. Mais je dois reconnaître que le whisky fait de l'effet.
David Van Patten : Bundy, le maitre d’hôtel du CanalBar ?
Patrick Bateman : Non, un serial killer des années 50.
David Van Patten : Qu’est-ce qu’il disait ?
Patrick Bateman : Il disait : « quand je vois une belle fille dans la rue je pense à deux choses, la première serait de sortir avec elle, d’être gentil avec elle, la traiter avec douceur... »
Timothy Bryce : Et l’autre part de lui pense quoi ?
Patrick Bateman : ... Elle voudrait voir sa tête piquée au bout d’une lance ! Haha !
- Je vais vous dire ce qu’il a dit ! Il a dit que je n’avais qu’à m’introduire le carton d’exercice de la ligne de vie dans l’anus.
- C’est merveilleux...
Je monte les marches du monument Scott tous les matins... Et tout devient clair. J’aimerais pouvoir te montrer cette clarté. Ne t’inquiète pas tout va bien. Tout va foutrement parfaitement bien.
Je comprends maintenant que les limites entre le son et le bruit sont des conventions. Toutes les limites sont des conventions, qui attendent d’être dépassées. Chacun peut dépasser n’importe quelle convention si d’abord, on peut concevoir soi-même de le faire. Dans un moment comme celui là, je peux sentir battre ton cœur aussi clairement que je peut sentir le miens alors, je sais que cette séparation n’est qu’une illusion.
Ma vie s’étant bien au-delà des limites de ce que je suis.
- Je veux toi aussi.
- Pour toujours ?
- Pour toujours... quoiqu’il puisse se passer, je ne pourrais jamais vivre sans toi...
- Jamais sans toi.
Le chemin qu’on empreinte est toujours le bon chemin.
Tout aurait pu être n’importe quoi d’autre,
Et cela aurait eu tout autant de sens.
- On dit que si on arrive a ralentir sa respiration, le temps se met à ralentir. C’est les hindous qui disent ça.
Charlotte : Ouais ? Ça fout la trouille ?
Bob Harris : La plus grande trouille de sa vie, c'est le jour de la naissance du premier.
Charlotte : Ah oui ? Jamais on ne vous dit ces choses-là.
Bob Harris : Toute la vie, telle qu'on la connaissait, s'est envolée une fois pour toutes. Et puis, ils apprennent à marcher, parler, et on veut être avec eux. Et là, on finit par comprendre que c'est les gens les plus merveilleux qu'on ait jamais rencontré de toute sa vie.