Commentaires de films faits par Gemin
Répliques de films par Gemin
Commentaires de films appréciés par Gemin
Répliques de films appréciées par Gemin
Hermione à Ron
- Mais ce sont mes amis.
- Pobby et Dingan n'existent que dans ta tête. C'est ton imagination.
- Chut, tu vas l'énerver.
- Ne l'écoutez pas. Ignorez-le.
- T'as intérêt à arrêter vite fait.
- Kelly-Anne, chérie ? Ton père et moi, on a réfléchi...
- ça va la pizza, Dingan ?
- On pense que tu es assez grande pour.. [rires de Kelly-Anne] C'est pas possible.
- Personne ne m'a appris.
- Ne dis pas de sottises. Tes parents ne t'ont pas appris à te tenir à table ?
- Personne ne m'a appris, je mange comme ça.
- Comment ?
- Rien.
- Tu parles clairement ou tu te tais. Je n'aime pas les messes basses. Irene, ta fourchette.
- Papa ne nous disait rien.
- Et votre mère ? Ma soeur vous apprenait pas à manger comme il faut ?
- Quand maman est morte, je n'étais pas encore née.
- Qui t'a dit cette sottise ?
(Elle désigne Ana)
- Quoi ?
- Ce matin, elle voulait te parler de quoi ?
- Tu m'espionnes dans ma propre maison ?
- J'espionnais pas. Je vous ai entendus.
- C'est ses affaires.
- Bonjour, chérie.
- Bonjour, mon ange.
- Tu as l'air si reposé en ce beau matin, mon coeur.
- Oui, grâce à notre super matelas de saules blancs de l'usine Pasternak. Le matelas qui rend votre sommeil sûr. Si doux, si reposant.
- et seulement 17,50 dollars chez les frères Muckenfuss.
- Oui, seuls les coeurs de saules blancs sont utilisés.
- Mais j'me porte très bien ! J'vous enterrerais tous !
- Mais il s'agit pas d'ça !
[le téléphone sonne]
Alons bon ! Allo ? Naturellement c'est moi ! Qu'est ce qu'il y a d'cassé ? En voilà une heure pour déranger l'monde ! Mais t'es cinglé mon pauvre ami ! T'aurais tout de même pu réfléchir avant de réveiller mémé en pleine nuit ! Quand même !
- Pourquoi ça ?
- Ce type là, il a l'intention de de s'occuper de toi et de tes amis aussi. Il a des plans complètement tordus, des plans complètement fous, alors à votre place, moi je me sauverais.
- Quelqu'un l'a attaqué à l'acide.
- Aucune importance. Il m'a manqué.
- C'était qui, Al ?
- Aucune idée, il s'est échappé.
- C'était un des gosses de Grandi.
- Comment en êtes-vous si sûr, Capitaine ?
- Intuition.
- Intuition ?
- Vargas et ses flics de pacotille ont fait la vie dure à la famille Grandi, ces derniers temps.
- Votre intuition vous a aussi parlé de ma femme ? Elle a été accostée dans la rue et emmenée dans un bouge américain.
- On dirait que la famille Vargas a eu pas mal d'ennuis aujourd'hui. Vous pouvez décrire cet homme ?
- Le premier... devait être jeune, beau...
- ... vendeur de chaussures.
- Pas vraiment.
- Elle a été emmenée de force ?
- Non, pas de force. L'un des Grandis l'attendait. Petit, gros et moustachu...
- Oncle Joe.
- Quoi ?
- On l'appelle "Oncle Joe Grandi".
- C'est ça.
- Continuez.
- J'ai tout dit. Vous ne faites rien ?
- Il faudrait que vous portiez plainte. ça ne se passe pas ainsi au Mexique ? Votre femme a été attaquée ?
- Je n'ai pas dit ça.
- Molestée ?
- Pas physiquement, non.
- On lui a dit des choses obscènes ?
- Je ne crois pas.
- Votre femme s'est laissée ramasser par ce...
- Elle ne s'est pas laissée ramassée !
- Je n'ai pas peur de toi ! Je n'ai pas peur des formes ridicules que tu aimes à prendre ! Je n'ai pas peur de tes grandes cornes, de tes poils rudes, de tes pieds fourchus, de tes griffes de singe, de tes ailes de chauve-souris ! Tiens pauvre diable, crois-tu donc que tu m’effraies ? Je suis Faust, ton égal, et je puis devenir ton maître !
"L'heure est donc venue ?"
- L'heure est venue ! Je t'ordonne de te montrer !
"Et tu l'ordonne comme il convient de le faire, à genoux. Ah Ah Ah ! "
- Non, je te montre pas ! Pas encore, vas-t'en, je ne t'ai pas appelé !
"Trop tard, je t'ai obéit et je suis là."
- Où es-tu ?
"Retourne-toi, tu me verras."
Rondin : Dans l'sol ?
Le facteur : Oui, parfaitement. Et puis pour pas chercher bien loin euh... dans la cave de M. Bourru, vous savez bien, M. Bourru, le marchand de vin et ba y'a des tas de bouteilles qui disparaissent, on sait pas par où. Et puis des bonnes !
- Drôle de château. Tu sais pour qui il a été construit ? Pour un mort.
- Vraiment ? Ils devaient être sacrément riches, pour offrir des châteaux aux morts. Pourquoi tu lis ces bouquins ? On ira pas faire la guerre là-bas ! On sera chanceux si on nous enterre.
- Arrête, tu vas porter malheur.
- Rien de bien grave. On a arrêté cinq déserteurs. C'est tout.
- Pas tout à fait. C'est ce qui a été dit dans les ordres. Il s'agissait en fait de cinq agents britanniques déguisés en Allemands.
- Britanniques ? Pourquoi ne m'a-t-on rien dit ?
- Je vous le dis.
- Si vous avez donné des ordres, colonel, c'est que vous saviez depuis un moment de qui il s'agissait et qu'ils étaient par ici.
- On vous a appelé dans votre bureau et votre appartement. Vous n'étiez pas là.
- Dois-je vous rappeler, colonel, que je suis responsable des activités de la Gestapo dans la région, et que je dois être informé tout de suite de la présence d'étrangers !
- Vous n'étiez pas là.
- Alors il fallait me trouver.
- Mon devoir est de vous informer, pas de fouiller tous les cabarets.
- Je connais votre devoir. Et de quel côté vous êtes.
- Je vous rappelle que je suis colonel dans la S.S. et non pas un lieutenant que vous pouvez menacer à loisir !
- Votre rang et votre position sont évidentes, colonel, comme votre tentative de me discréditer auprès de mes supérieurs de Berlin.
- Vous vous discréditez vous-même. Bonsoir.
- Non.
- Vous voulez manger sur la jetée ?
- Non.
- Vous ne venez pas souvent autour du manège, hein ? Je ne vous y ai vu que 2 ou 3 fois avant aujourd'hui.
- J'y suis allée bien plus souvent que ça.
- C'est vrai ? Vous m'avez vu ?
- Oui.
- Vous saviez qui j'étais ?
- Les filles me l'ont dit.
- Vous avez un petit ami ?
- Non.
- Ne me mentez pas.
- Je n'en ai pas.
- Mais vous êtes restée ici dès que je vous l'ai demandé. Vous ne seriez pas restée si vite si vous ne l'aviez déjà fait. Pourquoi êtes-vous restée ?
- Pour que vous ne soyez pas seul.
- Bon sang, ce que vous êtes bête. Je n'ai pas à rester seul. Je peux avoir toutes les filles. Vous le saviez pas ?
- Je sais, M.Bigelow. Toutes les filles sont folles de vous.
- Voilà qui est mieux.
- Salut les filles.
- Je te l'avais dit. Il a oublié.
- Nan, nan. Du tout. Regardez ma jeep, boueuse à souhait. Rien que pour vous. Mais vous pouvez peut être que l'autre [voiture] s'en aille
- Tiens, le coupé Mercedes n'est pas à vous, j'aurais cru.
- La mienne est bleue vous le savez, Nicole.
[Entre la petite amie de M. Lombardo]
- Sam ? Je te laisse.
- Où est votre tuyaux monsieur Lombardo.
- Euhh.. Le tuyaux, Kelly, est juste devant la jeep.
- Sympathique. Très sympathique.
- Dis-le carrément qu'elle te plaît bien !
- Si tu te voyais la regarder : "Euuuuhhh" !
- Je pourrais pas.
- Pourquoi ?
- Tu es gros, il est maigre. Et vous êtes moches.
Bande annonce.
- A Niagara Falls.
- Où logerez-vous ?
- Au Rainbow.
- Vos noms ?
- M. et Mme Ray Cutler.
- D'où êtes-vous ?
- De Toledo, dans l'Ohio.
- Lieu de naissance ?
- Toledo.
- Et vous ?
- Seattle.
- Rien à déclarer en dehors de vos effets personnels ?
- Non
- Durée du séjour ?
- Trois jours.
- Voyage de noces ?
- Exact.
- Pas d'alcool là-dedans ?
- Des livres, je veux lire.
- Que faites-vous ? Votre nom ?
- Prewitt. Mutté de Fort Shafter.
- Je vous connais.
- Je vous connais aussi, Sergent.
- Vous n'êtes pas ici pour vous amuser. Posez ça... et suivez-moi.
Gelsomina : Lequel ?
Matto : Celui-ci, n'importe. Il sert à quelque chose. Même ce petit caillou.
Gelsomina : Il sert à quoi ?
Matto : Tu sais cuisiner ? Est-ce que tu sais cuisiner ?
Gelsomina : Non
Matto : Mais qu'est ce que tu sais faire ? Chanter ? Danser ?
Gelsomina : Un peu.
Matto : Peut-être... Tu aimes faire l'amour ?[rire] Qu'est ce qui te plait alors ? Et en plus, tu es moche.
Gelsomina : Je sers à quoi moi, dans ce monde ?
Matto : [rire] Et si je te disais de venir avec moi ? Je t'apprendrais à marcher sur un fil, là-haut, avec des projecteurs. J'ai une voiture, on voyage... On s'amuse beaucoup. ça te plairait ? Mais non, tu dois rester avec Zampano, faire tous ces numéros débiles et prendre un tas de coups, comme un âne. C'est comme ça, la vie. Mais il ne te garderait pas, si tu ne lui étais pas utile.
Matto : D'un certain point de vue, c'était ma faute, mais c'est lui qui avait le couteau. Descends de là. Un peu de taule lui fera pas de mal. Il a tellement d'années devant lui ! Tandis que moi, je vivrai pas vieux. Il fait si doux. Asseyons-nous ici. Tu as une jolie robe de chambre. Assieds-toi. Vas-y, assieds-toi. Tu as une drôle de tête, tu sais. Tu es vraiment une femme ? On dirait un artichaut.
Gelsomina : Je ne sais pas si je vais rester avec Zampano. Ils m'ont dit de partie avec eux.
Matto : C'est une bonne occasion pour le plaquer.[rire] Pense à sa tête, demain, quand il ne trouvera personne. Tu devrais le faire. Quelle brute ! Je n'ai rien contre lui, mais quand je le vois, j'ai envie de me moquer de lui. Je ne sais pas pourquoi. Je t'assure, c'est plus fort que moi. Mais toi, comment tu es tombée sur Zampano ?
Gelsomina : Il a donné 10 000 lires à ma mère.
Matto : Tant que ça ?
Zampano : Un bon conseil : ne m'adresse plus la parole. Autrement, ça ira très mal.
Matto : Je blaguais ne te vexe pas.
Zampano : Je t'ai prévenu.
Gelsomina, tu te souviens de Zampano. Il avait emmené Rosa. Pauvre Rosa ! Je ne verrai même pas sa tombe ! Elle est morte, ma pauvre fille ! Elle était si belle, si gentille... Elle savait tout faire. Regardez Zampano, comme elle lui ressemble. C'est Gelsomina. On est tellement malheureux ! Je vous l'ai déjà dit : elle n'est pas comme Rosa. C'est une bonne petite, elle fait tout ce qu'on lui demande, mais elle a poussé drôlement. Si elle mange tous les jours, peut-être qu'elle changera. Tu veux aller avec lui à la place de Rosa ? Il t'apprendra un métier, tu gagneras des sous. ça nous fera une bouche de moins à nourrir. Il est bon, tu sais. Il te traitera bien. Il te fera connaître le monde, tu chanteras, tu danseras... Et regarde ce qu'il m'a donné : 10 000 lires ! Regarde, je les ai ici. 10 000 lires. Avec ça, on pourra réparer le toit et donner à manger aux enfants. Pourquoi ton père nous a abandonnés, Gelsomina ? Tu es déjà grande, tu n'as jamais travaillé. Ce n'est pas ta faute si tu n'es pas comme les autres filles. Tu ne veux pas aider un peu ta maman ?