Commentaires de films faits par Moridiin
Répliques de films par Moridiin
Commentaires de films appréciés par Moridiin
Répliques de films appréciées par Moridiin
Les images du soufflage du verre et de la décoration des pièces sont très belles et pleines de grâce et d'élégance. C'est un métier qui possède un petit côté fascinant.
La fin est pleine d'espoir, mais abrupte. J'aurais bien aimé un petit épilogue.
Ce n'est pas haletant vis-à-vis du suspense mais ça l'est vis-à-vis des petits objectifs du quotidien de cette femme qui n'arrête jamais (être à l'heure, être au rendez-vous, être à la hauteur, ne rien montrer, ne pas flancher, jamais, et tenir, tenir, tenir encore).
J'ai aimé les implicites avec les scènes dans la baignoire et celle de la fin avec le train.
Sans être un grand film, il est réaliste, et on ne peut que compatir et surtout se reconnaître dans les galères que traverse Julie et que bon nombre d'entre nous ont vécu, à plus ou moins grande échelle.
(On notera quand même que Mills ne perd jamais ses armes ni son compas, que ses armes ne se déchargent jamais et que son compas ne s'abîme jamais malgré toutes leurs chutes, cascades et autres mésaventures ^^)
J'ai quand même trouvé intéressant de mettre en scène deux personnes qui ne peuvent pas communiquer, ça donne une autre dimension à leur solitude sur cette planète hostile.
La fin est typique des films des science-fiction américains ... et le tout manque cruellement d'un épilogue.
Mais ça reste divertissant (j'ai dit qu'il y avait pleiin de dinos <3 ? :D)
En tout cas, ce très beau film est un bel hommage à celles et ceux qui aident à mettre au monde chaque nouvelle génération.
Verdict : je ne regrette pas d'être allée le voir. J'ai beaucoup aimé l'approche documentaire que Zoe fait de cette tradition du mariage arrangé, ça permet de découvrir des points de vue avec parfois plus de sincérité (et parfois non si on continue de se voiler la face !). Et aussi de pointer du doigt la différence entre le mariage occidental assisté et le mariage oriental insisté ...
Si j'ai beaucoup aimé Kaz, dont on perçoit assez rapidement son dilemme intérieur, tiraillé qu'il est entre deux cultures, essayant de faire au mieux pour tout le monde (avant lui), j'ai beaucoup moins aimé Zoe, que j'ai trouvé pleine de préjugés et assez égocentrique. Même si j'ai bien aimé son côté femme indépendante qui refuse de croire aux contes de fées (et de véhiculer leurs messages de faibles-femmes-sans-défense ^^).
J'ai adoré la partie qui se déroule au Pakistan, la lumière rend les scènes magnifiques et les tenues sont toujours aussi spectaculairement colorées. Et on découvre aussi la scission entre les "dinosaures" conservateurs et la jeune génération plus occidentalisée et aux mœurs plus libérées.
Concernant la fin que certains jugeaient surprenante, je l'ai personnellement trouvé logique étant donné que
Bref, un film sympathique, drôle, léger mais quand même émouvant.
Si j'ai trouvé l'intrigue assez rocambolesque (théâtrale quoi ^^), il faut avouer que les deux actrices principales s'en tirent joliment. J'ai également beaucoup aimé Fabrice Luchini, qui incarne un juge très misogyne et absolument pas dégourdi mais dont les raisonnements alambiqués sont assez drôles. L'humour est bien présent - tiré de la pièce je présume - moins dans les situations rencontrées que dans les stéréotypes mis en scène.
Il y a quelques longueurs dans la nouvelle vie de Madeleine & Pauline, ainsi que pour la résolution de l'"affaire Odette" mais dans l'ensemble, le film est sympathique à voir, pas transcendant mais bien mené.
(Et puis entendre un Ch'ti parler avec l'accent marseillais, ça se passe de commentaires :D)
Et j'ai complètement adoré la réalisation : tout le film se déroule par écrans interposés (extraits de webcams, de Facetime, captures d'écran, flux Internet en temps réel ...) ce qui rend le tout hyper connecté, hyper moderne et étrangement hyper immersif. ça fait un peu flipper tout ce qu'il est possible de faire / voir / révéler depuis derrière son écran à l'autre bout de la planète mais en tout cas, June se débrouille comme une cheffe dans son enquête (une vraie pirate informatique en herbe :))
J'ai aimé retrouver les plus grands succès de la star, allégrement émaillés d'instantanés de l'époque. Par contre, je regrette que ça soit plus l'histoire du manager d'Elvis que celle d'Elvis finalement. Ce n'est pas lui dont on a les pensées, pas lui dont on voit évoluer la mentalité. Ou si, mais du point externe, ce qui casse quand même l’immersion. Ils ont essayé de condenser sa vie en 2h39 mais finalement, comme on n'a pas son point de vue, ça ressemble surtout à des suites de petits extraits de sa vie qui manquent de liant. Du coup, je trouve qu'il manque quelque chose et personnellement, j'ai quand même trouvé beaucoup de moments bien longs ... Même si je ne connaissais pas l'extorsion dont il a victime toute sa vie par son manager (et aussi par sa famille quand même), et c'est assez révoltant en tout cas.
En tout cas, ça reste un bel hommage à des héros de guerre souvent oubliés.
Fidélité à l'oeuvre : très moyen. Clairement, comme beaucoup de films Netflix, ça surfe sur une vague féministe certes très louable mais plutôt inadéquate quant à l'époque représentée. Anne est censée être une jeune femme réservée, pas impertinente comme elle est présentée ici.
Mary m'a par contre beaucoup fait rire, l'actrice est excellente de tenir ce rôle avec autant de conviction !
Par contre les dialogues à la caméra, brrrr je déteste ! Je trouve ça pas naturel du tout et je trouve que ça coupe l'immersion dans le récit !
Pour le reste, j'ai apprécié retrouver Edward Bluemel (j'ai toujours beaucoup aimé Harville, que je trouve malheureusement toujours assez délaissé !) et Wentworth n'est pas vilain (même s'il n'a pas le charme de Rupert Penry-Jones ;)). J'ai trouvé un peu dommage qu'on n'ait pas du tout son point de vue, même si ça entretient le suspense pour ceux qui ne connaissent pas l'intrigue. J'ai par contre trouvé qu'il faisait assez bien passer toute sa langueur de sa Anne, et ce dès le début du film.
J'adore les histoires de premier amour perdu et retrouvé donc j'ai bien aimé quand même, malgré tous ces défauts, mais ça me fait quand même grincer des dents quand je compare à l'oeuvre originale ...
J'ai beaucoup aimé suivre la quête identitaire de Patch, qui se sent perdu et insignifiant au milieu de sa très grande famille. Qui n'a jamais eu la sensation d'être un numéro ? On peut donc comprendre facilement le besoin de Patch de trouver sa place. Et qui se réfugie dans ses rêveries de héros en substitut.
J'ai aussi bien aimé le pauvre peintre qui peint des taches et des taches et des taches et encore des taches dans l'espoir de contenter Cruella. Ça donne le tournis toutes ces taches !
Une fois cela dit, il faut avouer que j'ai beaucoup moins aimé le reste, à savoir Ouragan et le scénario autour de lui. J'ai trouvé ce chien égocentrique, fade et globalement inintéressant (son aboiement a la classe par contre, j'avoue :P). La fin ne remonte pas vraiment mon avis sur lui.
Donc ça ne vaut pas le premier opus mais c'est une mignonne suite (plus pour le (et les) dalmatien(s) que pour le reste)
Malgré tout, j'adooooore les histoires de premier amour perdu et retrouvé donc j'ai forcément accroché à celui-ci !
(Et puis franchement ! Qui a besoin d'un médecin quand on a un mec avec d'aussi beaux yeux à disposition ?! :))
Ce film présente aussi l'avantage d'être campé par deux acteurs très réalistes et qui se marient toujours aussi bien.
J'ai malgré tout apprécié de voir que Jacques finit par comprendre qu'il y a plus d'une manière d'être père, et que les liens du sang n'en sont qu'une. La fin est ouverte et si je n'apprécie pas d'habitude, je lui ai trouvé une note de douceur qui habille bien cette conclusion.
Il est appréciable de voir une héroïne féminine vraiment indépendante, dans le sens où jamais un pseudo-preux chevalier va venir lui prêter main forte. J'ai vraiment aimé le personnage de Vesper, elle est déterminée et forte, prête à poursuivre ses rêves malgré (ou peut-être grâce à ?) leur dénuement et son extrême solitude.
La musique, aux airs un peu baroques, colle plutôt bien à l'ambiance du film.
Je regrette néanmoins quelques facilités scénaristiques, notamment
De plus, la fin est très ouverte et ne répond pas à bon nombre de questions, [spoiler]notamment concernant les Pèlerins, ce qui a toujours tendance à un peu me frustrer.
Malgré tout, ce film, et en particulier sa sobre mise en scène, réussit avec brio à tirer la sonnette d'alarme sur la gravité de notre situation, écologique principalement.
Un film aux airs de présages. A voir.
La scène post-générique laisse présumer un second volet, que je regarderais volontiers.