"-Qu'est ce que t'as cru ? Qu'il te suffirait de chanter pour moi pour que tout soit oublier ?
- Bah... oui. Non ? Non ! Non !
- Bon alors pourquoi t'es ici ?
- Je veux seulement te dire que j'ai eu tord, que j'ai fait une belle erreur, en particulier vis à vis de toi.
- Tu ne penses pas que c'est un peu tard ? Tout les gens qui sont ici sont persuadés que j'ai menti !
- Non c'est moi qui est menti !"

(Christopher et Jessica, bal du lycée)

J’voulais faire semblant, c’est tout. J’te demande pardon Peter. J’n’aurais jamais du qu’encourager mais, tu sais comment sont les p’tits enfants aujourd’hui, ils ne savent jamais quand arrêter de jouer la comédie.

- Attendez, vous n’êtes pas curieux de savoir où j’étais ?
- C’est le jeu justement, c’est pour ça qu’il te cherchait partout.

Vous êtes surs qu’on ne peut pas y retourner ? J’ai oublié ma lampe torche à Narnia !

- On peut récolter des noisettes !
- Mais oui, c’est ça, des noisettes pour bombarder les Telmarins !

- Ah. On s’attendait à voir entrer quelqu’un d’un peu plus grand.
- Tu t’es regardé avant de parler ?

Le bonheur c’est de vivre près des gens qu’on aime.

Tu veux voir ce que je t’ai apporté ? C’est un geai moqueur, tant que tu le gardes sur toi, rien de mal ne pourra t’arriver, je te le promets !

- Qu’as tu dit à ta sœur lorsque tu t’es portée volontaire à la moisson ?
- Je lui ai dit que j’essaierai de gagner pour elle.
- Et tu essaieras.

- Alors Peeta, dit moi, as-tu une petite amoureuse chez toi ?
- Non, non pas vraiment.
- Non ! Je ne te crois pas une seconde mon grand, regardez moi ce visage, un garçon aussi séduisant ! Peeta... dis moi.
- Voilà, il y a... il y a bien une fille qui me plaît depuis toujours.
- Ah !
- Mais elle ne savait même pas qui j’étais, en tous cas pas avant le jour de la Moisson.
- Bon ! J’vais te dire un truc Peeta, tu vas entrer dans l’arène, tu vas remporter les Hunger Games et lorsque tu rentreras chez toi, je peux t’assurer qu’elle n’aura d’yeux que pour toi. [Au public] J’ai pas raison ?
- Je vous remercie, mais le fait de les remporter ne m’aidera pas...
- Eh pourquoi ?
- ... Parce qu’elle est venue ici avec moi...

- Je vais jouer pour toi. Pierre, papiers, ciseaux.
- Pourquoi tu ne me dis pas juste qui gagne ?
- Je gagne. Excellent.

Il est possible de fuir celui que l’on craint, de lutter contre celui que l’on hait. Lorsqu’on aime son assassin, on n’a plus le choix. Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l’aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ? Quand on l’aime réellement ?

Hé Blondie ! tu sais comment on noie une blonde ? En collant un miroir au fond d’une piscine.

- Je te retrouve à l’autel.
- Je serai la fille en blanc.
- Tu es très convaincante.

Il faut faire des erreurs, monter dans le mauvais train et rester coincer quelque part, tomber amoureux, souvent, étudier la philosophie parce qu’on peu être sûr de ne jamais en faire une carrière, changer d’avis et en changer encore parce que rien n’est définitif. Alors n’ayons pas peur de faire des erreurs.

Embry : Je suis content qu’il soit là, ça va peut être nous reposer des interminables monologues de Jacob.
Paul : Pourvu que Bella appelle !
Embry : Pourvu qu’elle n’appelle pas !
Jared : Il faudrait que je l’appelle.
Quil : Il faudrait que je l’appelle et que je coupe.
Jacob : Fermez là, ça va comme ça !

- Je n’en reviens pas. Comment un être aussi chétif peut-il être aussi agaçant ?
- Le talent, mon cher, le talent.

Certains disent que le monde sera anéantit par le feu
d’autres par la glace
pour ce que j’ai goutté du désir amoureux
je penche du côté de ceux qui préfèrent le feu
mais s’il fallait que par deux fois je trépasse
je crois en connaître assez sur la haine
pour savoir que la destruction par la glace
est tout aussi vilaine.
Et on ne peut plus efficace.

Tu as des ennuis, mon pote. De gros ennuis. Les grizzlis enragés te paraîtront adorables quand tu verras ce qui t’attend à ton retour.

À 5 ans, on nous a demandé ce qu’on voulait faire plus tard. Nous avons répondu des choses comme « Astronaute » ; « Président »... À 10 ans, on nous a reposé la question. Nous avons répondu « Rock Star » ; « CowBoy »... Maintenant que nous y sommes, ils veulent des réponses sérieuses. Et bien, ma réponse c’est « J’en sais », On a du temps avant de prendre les grandes décisions. On a du temps, on peut faire des erreurs, se tromper de direction et se retrouver coincé. Tomber amoureux, souvent. Faire une thèse de philo, alors qu’on sait qu’on pourra pas en faire sa carrière. Changer d’avis, et en changer encore parce que rien n’est permanent. Alors faites toutes les erreurs possible, comme ça quand on nous demandera ce qu’on veut être, on n’aura pas à improviser. On saura.

- Tu t’es encore cassé la figure, Bella ?
- Non ! J’ai filé un coup de poing dans la tronche d’un loup-garou.

Alors Bella ? T’as encore essayé de marcher en mâchant du chewing-gum ?

Son absence a envahi tout mon horizon, comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine...

- Noooon.
- Paradis...
- Ne restons pas là. Ouvre les yeux, regarde-moi. Je suis vivante. Il faut que tu recules.
- Bella. Tu es là.
- Je suis là.
- Bella.
- Oui... Il fallait absolument que tu me vois. Il fallait que tu saches que je suis vivante, que tu n’as pas à te sentir coupable. Je suis prête à vivre sans toi.
- Je n’ai pas fait ça parce que je me sentais coupable. Je ne peux vivre dans un monde où tu n’existes pas.
- Mais tu as dit...
- J’ai menti. Il le fallait. Pourtant tu m’as cru sans hésiter.
- Parce qu’il n’y avait pas de raison pour que tu m’aimes. Je veux dire je... je suis une simple humaine. Je ne suis rien.
- Bella, tu es tout pour moi. Tout ce qui importe.

Ici, je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire aux jougs d’adverses étoiles et cette chair lasse du monde. Mes yeux, un dernier regard. Mes bras, une dernière étreinte. Vous, lèvres, porte de l’âme humaine, sceller d’un baiser légitime votre éternel pacte avec le sépulcre.

Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu que leur baiser consume.