Commentaires de films faits par bastille
Répliques de films par bastille
Commentaires de films appréciés par bastille
Répliques de films appréciées par bastille
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Shutter Island
de
Martin Scorsese
date : 20-03-2015
Une fois que vous êtes ici, vous n'en sortez plus. Personne ne quitte le pavillon C. Personne.
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date : 20-03-2015
Tu ne comprends pas ? T’es un rat dans un labyrinthe.
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+1
date : 20-03-2015
- Mais au sens figuré Dieu aime la violence, vous comprenez cela n’est-ce pas ?
- Non. Non je ne comprends pas.
- Pourquoi y en aurait-il autant sinon ? Elle est en nous. Elle vient de nous. Elle est encore plus naturelle pour nous que le simple fait de respirer. Nous déclenchons des guerres. Nous faisons des sacrifices. Nous pillons, nous déchirons la chair de nos frères ? Nous remplissons de cadavres pourrissants d’immenses champs de bataille. Et tout cela pourquoi ? Pour lui montrer que nous avons retenu ses enseignements. Dieu nous a offert les tremblements de terre, les ouragans, les tornades. Il nous a offert toutes ces montagnes qui déversent sur nous des torrents de feu. Tous ces océans qui engloutissent les navires. Il nous a offert la nature, cette meurtrière au sourire fallacieux. Il nous a offert la maladie pour qu’au moment de notre agonie, nous pensions qu’il nous a dotés d’orifices uniquement pour sentir la vie s’en écouler. Il nous a offert le désir, la fureur, la cupidité et un cœur souillé pour que nous puissions répandre la violence en son honneur. Il n’existe pas d’ordre moral aussi pur que cette tempête à laquelle nous venons d’assister. D’ailleurs, l’ordre moral n’existe pas. Tout se réduit à cette seule question : ma violence est-elle capable de l’emporter sur la vôtre ?
- Non. Non je ne comprends pas.
- Pourquoi y en aurait-il autant sinon ? Elle est en nous. Elle vient de nous. Elle est encore plus naturelle pour nous que le simple fait de respirer. Nous déclenchons des guerres. Nous faisons des sacrifices. Nous pillons, nous déchirons la chair de nos frères ? Nous remplissons de cadavres pourrissants d’immenses champs de bataille. Et tout cela pourquoi ? Pour lui montrer que nous avons retenu ses enseignements. Dieu nous a offert les tremblements de terre, les ouragans, les tornades. Il nous a offert toutes ces montagnes qui déversent sur nous des torrents de feu. Tous ces océans qui engloutissent les navires. Il nous a offert la nature, cette meurtrière au sourire fallacieux. Il nous a offert la maladie pour qu’au moment de notre agonie, nous pensions qu’il nous a dotés d’orifices uniquement pour sentir la vie s’en écouler. Il nous a offert le désir, la fureur, la cupidité et un cœur souillé pour que nous puissions répandre la violence en son honneur. Il n’existe pas d’ordre moral aussi pur que cette tempête à laquelle nous venons d’assister. D’ailleurs, l’ordre moral n’existe pas. Tout se réduit à cette seule question : ma violence est-elle capable de l’emporter sur la vôtre ?
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date : 20-03-2015
Mieux vaut-il vivre comme un monstre ou mourir en homme bien ?
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date : 16-06-2014
On ne change pas le monde sans détruire le système
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date : 13-06-2014
Mon lieutenant, il y a quelque chose de bizarre qui se passe là-bas !
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date : 13-06-2014
Comme une lâche, je l’ai abandonné, et je l’ai laissé mourir.
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date : 13-06-2014
Je rêve depuis si longtemps de cette nuit. Je ne veux pas en perdre une seule minute.
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date : 13-06-2014
C’était la messe la plus importante de ma vie. Ces hommes ont été attirés à l’autel comme vers une flamme. Même ceux qui ne sont pas pieux sont venus se réchauffer.
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+1
date : 13-06-2014
J’étais heureux de vous connaître. Peut-être, dans d’autres circonstances, on aurait
pu…. ?
pu…. ?
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+3
date : 13-06-2014
Il faut une femme pour nous rappeler que c’est tout de même La Veille de Noël. »
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date : 13-06-2014
Tâchons de survivre cette guerre pour lui.
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+2
date : 13-06-2014
Mourir demain est encore plus absurde que d’être mort hier.
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+5
date : 13-06-2014
Ils n’en parleront pas, parce que personne ne les croira, ni même les comprendra.
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+4
date : 13-06-2014
Qu’il faut frôler la mort pour se rendre compte du temps qui s’envole: c’est ça la plus terrible.
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+3
date : 13-06-2014
C’était la messe la plus importante de ma vie. Ces hommes ont été attirés à l’autel
comme vers une flamme. Même ceux qui ne sont pas pieux sont venus se réchauffer.
comme vers une flamme. Même ceux qui ne sont pas pieux sont venus se réchauffer.
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+1
date : 13-06-2014
Il me faut rester ici avec ceux qui souffrent, qui ont perdu la foi – ma place est là
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date : 13-06-2014
Le pays ? Mais qu’est ce qu’il sait le pays sur ce qu’on souffre ici ? Je vais vous dire moi, je me suis senti plus proche des Allemands, que ceux qui crient « Mort aux Bosches » chez eux bien au chaud devant leur dinde aux marrons !!
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+4
date : 13-06-2014
Faut pas vous sentir obligé d’envahir Paris pour prendre un verre chez moi.
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+2
date : 13-06-2014
Continuez à mentir ! Jusqu'à ce que ce soit vrai !
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+3
date : 13-04-2014
Catherine de Médicis : Anjou va nous quitter. Mon cœur saigne, tu sais. Mes enfants, je les aime tant tous les trois... (Margot la regarde) Je veux dire tous les quatre.
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date : 13-04-2014
La reine Margot : Leur santé est à l'image de son désir pour vous. Ils sont tous malades.
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date : 13-04-2014
La reine Margot : - Et alors ? Mon père vous a fait dix enfants, sans jamais quitter une seule fois le lit de sa maîtresse.
Catherine de Médicis : - Il m'a aimée à sa façon. Il m'a fait dix enfants en effet...
Catherine de Médicis : - Il m'a aimée à sa façon. Il m'a fait dix enfants en effet...
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date : 13-04-2014
Catherine de Médicis : J'ai voulu la paix, Margot ! La paix pour le Royaume, la paix pour mes enfants. À partir d'aujourd'hui tu ne quitteras plus le Louvre, comme ça tu resteras avec ton mari et vos amis protestants.
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date : 13-04-2014
Charles IX : Vous voulez la mort de l'Amiral ? Moi aussi ! Moi aussi ! Mais alors tous les autres dans toute la France doivent y passer avec lui. Pas un seul ne doit rester. Pas un seul qui puisse venir m'en faire le reproche !
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date : 13-04-2014
La reine Margot : Jésus dirait à votre roi : exposez-vous à la noyade, exposez-vous aux vents de l'océan, partez de cette Cour. Mais n'attendez pas d'être la victime, ou le témoin d'une catastrophe ! Moi je vous dis, fuyez ce soir, maintenant ! Ils ont tué votre mère la première, aujourd'hui ils ont voulu tuer Coligny, demain ce sera vous.
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