Commentaires de films faits par Serpent_a_Plumes
Répliques de films par Serpent_a_Plumes
Commentaires de films appréciés par Serpent_a_Plumes
Répliques de films appréciées par Serpent_a_Plumes
Marvin : J’espère que t’es parents t’on offert une pierre tombale pour ton p’tit Noël !
Marvin : Jamaaaiiiis !
Kevin : Ouais ?
Harry : Y’a rien qui me ferais plus plaisir que de te descendre. Buter un jeune garçon ça me pose aucun problème à moi. Tu saisis ?
Kevin : Hum hum.
Harry : Mais là, comme on est pressés, j’te propose un marché. Tu jettes ton appareil en bas et on te fera pas de mal. T’entendras jamais plus parler de nous. D’accord ?
Kevin : C’est promis ?
Harry : Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer !
Kevin : Ok !
Monsieur Hector : Monsieur, c’est le concierge.
Johnny : Je savais que c’était toi ! Je t’ai reniflé depuis que tu es sorti de l’ascenseur. La nuit dernière aussi tu est venu ici, hein ?!
Monsieur Hector : Euh ... oui monsieur, je suis venu ici.
Johnny : Tu étais ici ! Et tu t’es bécoté avec mon p’tit frère !
Monsieur Hector : Haaaaaa ... j’ai bien peur que vous fassiez erreur.
Johnny : Ne raconte pas ça ! Tu te bécotes partout avec tous l’monde ! Smuffy ! Al ! Leo ! Kenny Moy avec sa jambe de bois ! Le Grec ! Boule de flamme ! Cliff !
Cliff : Non ! C’est un autre !
Johnny : J’en passe, et des meilleurs !
Monsieur Hector : Je ne sais pas exactement de quoi il s’agit mais ... j’ai bien peur que vous fassiez une erreur. Nous cherchons un jeune garçon.
Johnny : D’accord, je veux bien te croire ... mais pas ma mitraillette ! Mets toi à genoux et dis moi que tu m’aimes.
Monsieur Hector : A genoux ... Je vous aime !
Johnny : Il va falloir faire mieux que ça !
Tous ensemble : Je vous aime !
Johnny : Peut être que je me fous dedans ... mais je vais te croire. C’est pour ça que je vais te laisser partir. Je vais te donner le temps que je compte jusqu’à trois pour que tu te tires d’ici, et après ça, toi, ton sale bluff et ta tête de traitre ... hors de ma vue !
Kate : A Brook.
Peter : C’est pas à Megan ?
Buzz : Brook, donnons ça à Brook.
Peter : Et ça c’est à Kevin, passe ça à Kevin.
Kate : Passe ça. Passe ça à Kevin ...
Tante Leslie : Passe ça à Kevin.
Rod : Passe ça à Kevin.
Sondra : A Kevin.
Buzz : Passe ça à Kevin.
Megan : Passe ça à Kevin.
Linnie : Passe ça à Kevin.
Tracy : Passe ça à Kevin.
Fuller : Passe ça à Kevin ... Kevin est pas là.
Tracy : Kevin est pas là.
Linnie : Kevin est pas là.
Megan : Kevin est pas là.
Buzz : Kevin est pas là.
Sondra : Kevin est pas là.
Rod : Kevin est pas là.
Tante Leslie : Kevin est pas là.
Kate : Kevin est pas là.
Peter : Quoi ?!
Kate : Ahhahahaha ... Kevin !
Kevin : Quoi ?!
Buzz : Ma blague était puérile et j’ai eu tort de la faire.
Oncle Frank : Puérile ou non, moi j’peux dire que j’ai trouvé ça tordant.
Buzz : Et je tiens à faire mes excuses à mon petit frère. Kevin, je suis désolé.
Kate : Oh Buzz, c’est vraiment gentil. Kevin, tu n’as pas une réponse à faire ?
Buzz : Battu sur toute la ligne, morveux.
Kevin : J’ferais pas d’excuse ! J’ai fais ce que j’ai parce que Buzz m’a humilier et étant donné qu’il s’en tire toujours, j’me suis vengé. Et si vous êtes tous assez bête pour avaler ses mensonges, ça m’est égal que votre voyage en Floride soit gâché. Qui a envi de passer Noël dans un horrible climat tropical ?
Peter : Kevin !
Kate : Kevin, si tu sors d’ici je t’avertis que tu vas dormir au 3ème.
Fuller : Oui, avec moi.
Kevin : Et à part ça, quoi de neuf ?
Oncle Frank : Tache de pas gâcher mon voyage, espèce de petit casse pied ! Il coute un paquet de fric à ton père !
Kevin : Oh, j’voudrais surtout pas vous faire ça, Monsieur Gripsou.
Buzz : Voilà un jeune homme très perturbé.
Ouais ! Ouaiis !
Ce mec dont tout l’monde parle
Je m’demande qui ça peut être
Parce que c’est moi, le mec le plus costaud
Le plus costaud qu’on puisse connaitre
Quand ils me voient marcher dans la rue
Ils se taisent en voyant mon gros cul hey hey
Et ils font une tête de moule parce qu’ils savent que je suis le roi
Du Jerk woooooo !
Sors toute suite de là sale petit pervers, ou j’te flanque la baffe du siècle !
Ooohoohh ! Mon p’tit cul nul ! Mon cul !
Harry : Ba exactement ce qu’il nous a fait. Je vais lui brûler la tête au chalumeau.
Marvin : Je vais lui péter la figure avec un fer !
Harry : Je vais lui balancer une boite de peinture en pleine tronche.
Marvin : Et moi je vais lui transpercer les pieds !
Marvin : Harry ?
Harry : Ba pourquoi t’as retiré t’es pompes ?!
Marvin : Et pourquoi t’es déguisé en poulet ?
Snakes : D’accord Johnny. Mais comment on fais pour mon pognon ?
Johnny : Quel pognon ?!
Snakes : Jo a dis que tu avais du fric pour moi.
Johnny : T’en est sur ? Combien faut il que je te donne ?
Snakes : Jo a parlé de 20% cash !
Johnny : Dommage qu’il soit pas là pour confirmer.
Snakes : Qu’est ce que tu veux dire ?
Johnny : Il prend son bain au dessus. Tu reviendras quand il en sortira. Hey ! En attendant j’vais quand meme te filer quelque chose, Snakes !
Marvin : Snakes ?
Johnny : Tu vas avoir droit à 10 p’tites secondes pour déplacer ton gros cul dégueulasse ! Hors de chez moi sinon j’te plombe les boyaux avec du calibre 12 !
Snakes : Très bien, Johnny ! Pardonne moi, je pars tout de suite !
Johnny : 1, 2, 10 ! Tu peux garder la monnaie ça ne me dérange pas.
Marvin : Harry !
Harry : Ba qu’est ce qui se passé ?
Marvin : Ba je sais pas qui est là mais y’a un type qui vient de se faire flinguer !
Harry : Hein ?
Marvin : Y’a des mecs qui ont pris notre et ils y sont encore. Ils sont deux j’crois. Ils se sont disputes et y’a un des mec qu’à tirer sur l’autre.
Harry : Qui c’était ?
Marvin : Mais je sais pas ! Je crois que j’ai reconnu une des voix. Et j’ai déjà entendu le nom Snakes quelque part.
Harry : Snakes ?! Snakes, Snakes ... moi j’connais pas de Snakes.
Marvin : Si Snakes. Oh, tirons nous Harry !
Livreur de pizza : C’est le livreur, monsieur, j’ammène votre pizza.
Johnny : Dépose là sur le pas de la porte et fout l’camp !
Livreur de pizza : Ok. Voilà. Mais et pour mon argent ?
Johnny : Quel pognon ?!
Livreur de pizza : Ba ... il faut bien que vous payiez votre pizza.
Johnny : Tu en est sur ? Combien faut il que je te donne ?
Livreur de pizza : Ca fais 11$80, monsieur.
Johnny : Tu peux garder la monnaie ça ne me dérange pas.
Livreur de pizza : Sale rapiat !
Johnny : Hey ! Tu vas avoir droit à 10 p’tites secondes pour déplacer ton gros cul dégueulasse ! Hors de chez moi ou sinon j’te plombe les boyaux avec du calibre 12 ! 1, 2, 10 !
Marvin : Ouais !
Harry : Tu sais ce que ça sent ?
Marvin : Le poisson.
Harry : Ca sent la liberté !
Marvin : Non, ça sent le poisson.
Harry : La liberté ! Et le pognon !
Marvin : D’accord, d’accord, la liberté ...
Harry : Dépêche-toi, allons nous en avant que quelqu’un nous vois.
Marvin : Et le poisson.
- C’est moi Snakes, j’amène la came Johny...
- Dépose la sur le pas d’la porte et fou le camp !
- D’accord Johny, mais comment on fait pour mon pognon ?
- Quel pognon ?
- Joe m’a dit que t’avais du fric pour moi.
- Tu en es sur ? Combien faut-il que j’te donne ?
- Joe m’a parlé de 20% cash.
- Dommage qu’il soit pas la pour confirmer, il prend son bain au dessus, tu reviendras quand il en sortira. En attendant, je vais quand même te filer quelque chose Snakes... Tu vas avoir 10 p’tites secondes, pour déplacer ton gros cul dégueulasse, hors de chez moi sinon j’te plombe les boyaux avec du calibre 12 !
- Très bien Johny pardonne moi je pars tout de suite !!
- Un, deux... DIX !!
La grand mère : Oh ça c'est une longue histoire mon petit coeur...
Petite fille : Raconte moi !
La grand mère : Non, pas ce soir il est tard. Dors.
Petite fille : J'ai pas sommeil, s'il te plait, raconte.
La grand mère : Oh c'est inutile... Voyons, il faudrait sans doute pour commencer que je te parle de ciseaux !
Bill Boggs : Alors Edward, as-tu bien employé ta journée ?
Edward : Mme Monroe a voulu me montrer l’endroit de son salon de beauté, il y aura un rayon cosmétique pour vous.
Peg Boggs : Oh ! Bill n’est-ce pas extraordinaire !!
Bill Boggs : Génial !
Edward : Et ensuite elle m’a emmené dans le débarras et elle a enlevé tout ses vêtements...
Brent : Ah non monsieur elle est partie au supermarché acheter des pampers pour nous tous.
Brent : Connard ! Si Dieu nous l'avait mise comme ça on se pisserait dans la figure !
Bagoo : Mais oui madame Walsh, je parle parfaitement la langue espagnole et si ça peut vous aider je me ferais un plaisir de communiquer avec Rosalita.
Mme Walsh : Tu me sauves la vie viens avec moi Clark (Bagoo) veux-tu ?
Bagoo : Mais avec plaisir madame Walsh.
[Un peu plus tard]
Mme Walsh : Chemises et sous vêtements dans le second tiroir, jetez tout dans des boites en carton, ne vous embêtez pas à faire des valises. Clark, peux-tu lui traduire tout ça ?
Bagoo : Mais bien sûr madame Walsh.
Mme Walsh : Oh c'est formidable.
Bagoo [A la femme de ménage, en espagnol] : La marijuana en haut. La cocaïne et les amphés au milieu. L'héroïne en bas. Toujours bien séparer les drogues.
Mme Walsh : Là c'est le grenier. Monsieur Walsh tient à ce que personne n'y monte jamais ! Ça doit être pour ça qu'elle est toujours ouverte.
Bagoo [En espagnol] : Ne montez jamais là-haut, il y a les instruments de torture sexuelle de monsieur Walsh.
Mme Walsh : Ça c'est le placard aux fournitures. Vous y trouverez tout ce qu'il vous faut, balais brosses, chiffons à poussière et tous les produits. J'aimerai que la maison soit propre quand ils viendront la démolir. Clark, peux tu traduire ?
Bagoo [Toujours en espagnol] : Si vous faites mal le travail, vous serez enfermée là avec les cafards pendant quinze jours sans boire ni manger.
Mme Walsh [Qui comprend rien à l'espagnol] : D'accord Rosy ? On est d'accord ? Vous serez très bien avec nous vous verrez. Viens Clark on a encore beaucoup à faire. Tu as l'air de parler l'espagnol couramment
Rosalita [Seule dans la pièce, en espagnol] : Je suis dans une maison de fous !
Mikey : Encore plus dingue que la fois où Michael Jackson est v’nu dans ta maison pour pisser un coup ?
Brent : Encore plus dingue que la foi où t'as sauvé ces vieux dans l’incendie de la maison de repos ?
Bagoo : Et j’parie que c’est encore plus dingue que cette autre foi où t'as bouffé ton poids en pizzas.
Choco : D’accord Brent... Michael Jackson n'est pas venu dans ma maison pour pisser un coup... mais sa soeur l'a fait !
Bagou : Si tu te trompes c’est toi qui va être molle !
Martin - Faut faire confiance au copain, ça rentre par une oreille, ça ressort par la capote.