peut être qu'on paye pas de mine comme ça parce qu'à nous trois on a que cinq jambes, deux paires d'yeux et quatre poumons et demi mais nous disposons également de deux douzaine d’œufs alors si j'étais vous j'irais m'abriter à l’intérieur.

- Ce sont des choses qui arrivent, la semaine dernière le mien a avalé une cigarette.
- Hier moi j'ai retrouvé le mien dans le sèche linge.
- Moi je me suis trompé de bébé à la crèche.
- J'ai trouvé le mien flottant dans les toilettes.

Surveilles tes pensées car elles deviennent des paroles.
Surveilles tes paroles car elles finissent pas devenir des actes.
Surveilles tes actes car ils deviennent finalement des habitudes.
Surveilles tes habitudes qui finissent pas devenir ton caractère.
Et surveilles ton caractère qui fini par devenir ta destinée.
On devient fatalement ce que l'on pense.

- t'es vraiment un imbécile on te la déjà dit je suppose ?
- ouai, on me l'a déjà dit.

On ne peut pas demander au soleil de briller d'avantage. Ni aux nuages de retenir la pluie.
Pour un homme, une Geisha ne peut être qu'une demi épouse.

Vous n'êtes pas un salaud Mark mais vous faites beaucoup d'effort pour l'être.

Avant la guerre, ma volonté ne me servait qu'à faire des choses futiles, comme ne pas manger de chocolat par exemple.
Je devais penser que si j'arrivais à me contrôler alors le monde autour de moi commencerait peut être à avoir du sens.
Je suppose que j'étais vraiment naïve à l'époque.

- Tu es mort Dennis.
- Eh bien si je suis mort avec qui discutes-tu ?

Maintenant ma volonté me sert à t'attendre, Eddie, A prendre soin de toi, à t'aimer.
je dois croire qu'un de ces jours tu seras enfin rétabli.

On commence tous notre vie avec un rêve, pas vrai ?
Pour un joueur de tennis c'est d'atteindre la final d'un tournois de grand chelem sur le cours central : le très au lobe, le smash, jeu, manche et match, vous êtes le champion, vous êtes le numéro un.
Mais pour la plus part des joueurs de tennis ça ne reste que ça, un rêve; la réalité est une toute autre.

- Qu'est ce que vous faites là haut ?
- Rien, je cherche les toilettes.
- Vous êtes coincée ?
- Comment faisez-vous ? Vous ne savez pas que c'est impoli de demander à une dame si elle est coincée ? ... Oui, je suis coincée.

- Alors, c'est une dingue ? Si elle est devant toi répond juste oui ou non.
- Hein ?
- Où est-ce que t'es là ?
- Chez moi.
- Oh Gus mais c'est pas vrai, je le savais. Pourquoi est ce que t'es chez toi ?
- Parce que j'y habite ?
- Tu sais pas ce que tu devais faire ce soir ?
- Sortir les poubelles ?
- Gus, t'es habillé ? Je veux te voir sur ton trente et un quand j'arrive. A tout de suite
...
- Tu l'as fait exprès ? Dis moi que tu l'as pas fait exprès ?
- Je savais pas.
- Cette excuse ne marche plus.

- Tu vas pas me croire.
- Dis moi je la connais peut-être, comment elle s'appelle ?
- je sais pas.
- Comment ça tu sais pas ? N'importe quoi.
- Je sais que c'est une danseuse.
- Elle fait du streap tease ?
- Non, crétin c'est une vraie danseuse.
- Ah d'accord les danseuses, c'est magique
- Son visage il est ... ses yeux, ils sont si ... son teint ... pouh. Enfin tu vois.

- Aller pioche. Celles-ci appartenaient à deux jeunes il y a quelques années. Ils étaient assez naïfs pour imaginer qu'ils resteraient ensemble jusqu'à la fin de leurs jours.
- Qu'est ce qui c'est passé ?
- Il c'est passé, la vie, un truc, le temps quoi. C'est plus ou moins la même chanson à chaque fois.
- Ou bien peut être que l'un d'eux est partit pour quelqu'un d'autre.
- Si c'est pas les sentiments qui se sont envolés.

- Ton problème c'est quoi ?
- Tu te rend pas compte à quel point c'est dangereux internet.
- La seule chose qui soit dangereuse ici maman, c'est toi.
- Je te protège, c'est tout.
- Tu la protège de quoi, d'une vie normale, ta fille ?

- Ton vieux va mieux ?
- lequel ?

Tu as chassé ce souvenir trop encombrant de ta mémoire et je t'ai laissé l'oublier parce que je pensais que ça serait trop lourd pour toi de vivre avec un tel secret. Je croyais te protéger et finalement je t'ai fragilisé. Je m'en veux tellement. Je ne peux pas être fière du chemin que j'ai emprunté mais je peux tellement être fière de toi. Tu vaux cent fois mieux que lui, et depuis toujours.
Il est temps pour toi de vivre.