Commentaires de films faits par Noone
Répliques de films par Noone
Commentaires de films appréciés par Noone
Répliques de films appréciées par Noone
A ranger dans le rayon des films vite oubliés.
Oui, il y a de l'action mais toujours aucun moment qui peut donner envie de s'intéresser à l'univers de ces soldats de l'ombre mis ici en pleine lumière.
Et du coup, j'ai suivi sans vraiment m'intéresser aux personnages, aux confrontations (pourtant bien faites) et j'ai eu un film d'action sympa mais vite oubliable.
Le film déroute un peu par moment, peut choquer par cet acte odieux sur personne vulnérable mais il a tellement pris le temps de développer l'histoire de ces deux hommes et de Benigno surtout qu'on peut comprendre (sans excuser), pourquoi il en est arrivé là.
J'ai aimé l'histoire, j'ai apprécié les personnages masculins et féminins, j'ai apprécié les qualités d'Almodovar sur ce film, à voir d'autres du même réalisateur s'il sait être aussi bon.
C'est terriblement humain, de cette humanité qui ne sait se regarder que dans l'épreuve, voir et comprendre sa fragilité et la montrer dans sa réalité crue.
Bernard Campan est très bon et accompagne très bien l'excellente Isabelle Carré qui a su montrer toute sa beauté... son humanité au service de son personnage.
Un film touchant que je conseille!
Je le reverrai dans quelques années, en espérant que mon avis sur ce film aura changé.
Non que le résultat final soit une insulte à l'original, j'ai eu ma dose de psychologie du personnage principal et des camps opposés à son sujet mais où est passé le côté crade de Détroit et la violence de la trilogie originale?
Là, tout est aussi propre que l'armure et je n'ai pas trouvé l'ambiance d'avant. Et du coup, le côté aseptisé de l'histoire ne m'a pas permis d'apprécier l'ensemble du film.
C'est propre, efficace... facilement oubliable.
Dans ce troisième opus, la psychologie (et le corps) de Murphy/Robocop en prend un coup et va le pousser au-delà des limites de l'homme et de la machine.
Ce n'est pas forcément bon, il y a clairement quelques mauvaises idées mais dans l'ensemble, si on le colle au reste de la trilogie, ça passe.
Il reste quelques pistes de réflexion sur le mélange des technologies et de l'humain, la réalisation de Kershner reste bonne mais ça sent déjà la fin de vie de la saga.
Le film commence à accuser son âge mais je trouve justement que, dans ce genre de cas, ça permet de voir l'évolution des technologies. Ici, c'est en avance sur son époque mais ça reste tout de même assez raide niveau déplacement.
L'évolution de l'agent Murphy est prenante, cet équilibre incertain entre ce qu'on lui a implanté dans sa mémoire et ses souvenirs et sa confrontation avec l'extérieur et ses collègues montre les qualités de l'esprit humain qu'il reste au malheureux policier.
L'univers est bien, l'histoire est bonne, un Verhoeven que je suis content d'avoir enfin découvert.
Si je n'ai pas été convaincu par le film, il m'aura au moins donné envie de lire les bandes dessinées dont il est l'adaptation.
C'est très bien écrit et filmé, les acteurs font bien le boulot, il me manque juste, comme pas mal de monde, un petit plus pour apprécier les personnages, qu'importe le côté.
Un film que je reverrai avec plaisir.
Ce n'est pas mauvais, les danses et les chants assez bons mais il me manque ce travail sur les relations entre les élèves pour apprécier l'ensemble.
Le casting fait énormément dans cette histoire, j'ai beau ne pas le voir souvent, je me souviens sans problème de chaque personne tellement ils sortent de l'ordinaire.
Ils ont chacun leur personnalité, leurs envies, leurs rêves et malgré les différences, il n'y a pas de grande concurrence entre eux et j'ai aimé les voir évoluer durant les années de leur formation.
Un très bon Alan Parker.
147 minutes pour développer le changement de vie de Slimane, ouvrier qui va perdre son emploi, jusqu'à l'ouverture de son restaurant, en perdant beaucoup de temps avec des histoires de famille qui ne mènent nulle part sinon à montrer qu'elle n'est pas si soudée que ça, c'est dommage et on a pas vraiment envie d'aller au bout. Et au vu de la fin, le réalisateur ne savait pas non plus quoi en faire.
Heureusement, les quelques indices grappillés ça et là donnent un portrait intéressant de ce vieil homme et de cette jeune femme qui se bouge pour lui.
Je n'ai pas apprécié plus que ça l'ensemble, la manière de développer l'histoire mais j'ai aimé Slimane et Rym, c'est toujours ça de pris.
Une très bonne suite!
Le Wakanda est encore plus visible, ce n'est plus juste les tribus et le palais, c'est aussi le peuple et ses coutumes,ses costumes et les différents lieux qui composent ce pays.
Quelle richesse visuelle et sonore, brillamment soulignées par des musiques à sonorité africaine.
La visite était déjà bonne mais avec ce nouveau peuple qui apparaît, cette cité aux mille possibilités, on passe encore un niveau.
L'histoire est (malheureusement pour lui), bien servie par ce départ qui touche le Wakanda et la princesse Shuri en particulier, qui va passer beaucoup de temps à se chercher et trouver la force de continuer. J'ai apprécié cette intégration, cette émotion qui se dégageait des scènes, c'est la première fois que je vois ça et c'est clairement un bel hommage et une sacré performance pour ceux qui ont travaillé avec lui...
Un excellent volet, avec quelques défauts mineurs mais que je reverrai avec plaisir en attendant le troisième.
C'est une découverte sympa que je reverrai avec plaisir de temps en temps.
Il m'a manqué (Kevin Bacon) le poids de la communauté autour de Ren et son envie de liberté, la relation difficile entre Ariel et son père et les doutes de ce pasteur qui s'essaie à tout maîtriser sans y parvenir. Il me manque aussi la femme du pasteur à la fois si effacée et si forte...
Cette version a de bons moments mais il me manque les valeurs et les doutes, les relations entre les personnages que j'avais dans le premier et que je n'ai pas trouvé ici.
De cette confrontation des grands héros de cette tragédie grecque, c'est la première que je vois être à la fois classique dans sa réalisation mais avec un rythme qui ne s'essouffle pas et ne souffre pas de son âge (même si un peu tôt pour s'en rendre comte).
Un excellent divertissement pour cette immersion dans la littérature grecque.
Même si le film peut paraître long et ne pas aller au fond des choses, j'ai apprécié qu'il reste en surface, laissant au spectateur s'imaginer ce qu'il faut de force mentale pour un pareil périple.
Un très bon film de Peter Weir.
Un très bon documentaire!
J'ai apprécié l'histoire d'Ignacio et Enrique, de leur enfance qu'ils "revivent" suite à la lecture de la nouvelle écrite par Ignacio, du secret gardé qui n'a pas fait de mal qu'à eux.
J'ai aimé voir les différences évoquées sans que ce soit choquant, sans forcer le trait ou imposer comme ça se fait aujourd'hui. Oui, Ignacio est devenu comme ça et ça ne me gêne absolument pas...
C'est un régal d'écriture, d'interprétation, de psychologie... le tout avec retenue mais en grattant tout de même des sujets sensibles. En tout cas, ça me donne envie de continuer la filmographie du réalisateur et celle de Gael Garcia Bernal.