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Woody Allen

Réalisateur

2 000 spectateurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Mayoune 2015-11-15T13:45:12+01:00

Biographie

A l'âge de seize ans, Woody Allen envoie des histoires drôles à différents chroniqueurs de journaux. Après avoir écrit des sketches pour la télévision et d'innombrables chroniques pour des magazines comme Playboy, il décide en 1961 de monter sur les planches. Il arpente ainsi les cabarets et les plateaux de télévision.

Il est remarqué par le producteur Charles Feldman, qui lui propose de réécrire le scénario de Quoi de neuf Pussycat? (1965) puis celui de Casino Royale (1967). A la même période, il remonte Lily la tigresse (1966), un film d'espionnage japonais, en le commentant et en y ajoutant quelques séquences. C'est son premier long métrage. Allen enchaîne en 1969 avec la comédie Prends l'oseille et tire-toi avant de jouer le rôle principal de Tombe les filles et tais-toi d'Herbert Ross (tiré de sa pièce Play it again Sam). Rares seront les autres cinéastes qui le dirigeront : Martin Ritt (Le Prête-nom, 1976) Godard (King Lear) ou Paul Mazursky.

En tant que réalisateur, Woody Allen opte d'abord pour un style burlesque et satirique comme en attestent Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander ou encore Woody et les robots, et le grand public voit en lui un petit bonhomme à lunettes d'une épouvantable maladresse. Il s'imposera toutefois grâce à des oeuvres plus personnelles, teintées de mélancolie, mais toujours pleines d'autodérision, comme Annie Hall (Oscar du Meilleur réalisateur et du Meilleur scénario en 1978), et Manhattan (1979), films dans lesquels s'illustre sa première muse, la pétillante Diane Keaton. Le cinéaste ira encore plus loin dans la gravité avec le très bergmanien Intérieurs (1978) et plus tard September ou Une autre femme.

Les années 80 sont marquées par la rencontre avec Mia Farrow, sa nouvelle égérie, qui apparaît dans tous ses longs métrages, de Comédie érotique d'une nuit d'été (1982) à Maris et femmes (1992). Adulé par les cinéphiles européens, le New-Yorkais est très épris de leur culture, puisant son inspiration chez Tchekhov (Hannah et ses soeurs, Oscar du Meilleur scénario en 1987), Dostoievski (Crimes et délits) ou Kafka (Ombres et brouillard). Un rien nostalgique, le cinéaste rend hommage au music-hall (Broadway Danny Rose), à la radio d'antan (Radio Days) et au septième art (La Rose pourpre du Caire, 1985).

Sa rupture avec Mia Farrow fait grand bruit (Allen partageant désormais la vie de la fille adoptive de celle-ci), mais cela n'entame en rien la productivité du cinéaste. S'il retrouve Diane Keaton le temps de la brillante comédie policière Meurtre mystérieux a Manhattan (1993), le réalisateur se plaît à faire appel à de talentueux comédiens de la jeune génération, comme Mira Sorvino, Edward Norton (la comédie musicale Tout le monde dit I love you en 1996) ou Leonardo DiCaprio (Celebrity). La dimension purement comique de ses films (Escrocs mais pas trop, Le Sortilège du scorpion de Jade) s'enrichit souvent d'une réflexion sur la création artistique : on peut citer Harry dans tous ses états en 1997, Hollywood ending ou Accords et désaccords.

Au milieu des années 2000, une rupture s'opère dans le "système allénien" : le cinéaste abandonne New York pour tourner trois films consécutifs à Londres. C'est d'abord le très noir Match point (2005), avec entre autres la troublante Scarlett Johansson, qui deviendra son actrice-fétiche, puis le plus léger Scoop et enfin Le Rêve de Cassandre, dans lequel il s'intéresse pour la première fois aux rapports entre frères. Woody Allen poursuit son périple européen en situant en Espagne l'action de son film suivant, justement intitulé Vicky Cristina Barcelona (2008) avec toujours Scarlett Johansson mais aussi Javier Bardem et Penélope Cruz.

L'année suivante, le réalisateur retourne dans sa ville fétiche pour les besoins de la comédie douce-amère Whatever Works, portrait d'un cinquantenaire dépressif emmené par un Larry David plus misanthrope que jamais. En 2010, sort dans les salles obscures Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu (présenté hors compétition au Festival de Cannes), une énième comédie sentimentale dont il a le secret, avec Josh Brolin, Naomi Watts, Anthony Hopkins, Freida Pinto et Antonio Banderas en tête d'affiche. Réalisateur profilifique, il tourne en moyenne un film tous les 18 mois, et en 2011 c'est à Paris qu'il pose sa caméra. Dans Minuit à Paris, il suit le parcours d'un couple de jeunes Américains en vacances dans la ville lumière. Encore une fois, il s'entoure d'un casting quatre étoiles comprenant Rachel McAdams, Owen Wilson, Marion Cotillard et... Carla Bruni, la première dame de France. Le film fait l'ouverture du festival de Cannes 2011.

Après Londres (Match Point), Barcelone (Vicky Cristina Barcelona) et Paris (Minuit à Paris), c'est à Rome que le réalisateur new-yorkais fait escale. Très influencé depuis sa petite jeunesse par le cinéma italien, Woody Allen tourne en 2012 To Rome with Love, une version moderne du Décaméron de Boccace. Dans un cadre ensoleillé, entre histoires d'amour et quiproquos, Allen marque une première collaboration exceptionnelle avec l'Italien par excellence, Roberto Benigni, accompagné d'Alec Baldwin, Penélope Cruz, Jesse Eisenberg, Ellen Page et lui-même.

2013 marque l'interruption de la série européenne de Woody Allen. Le cinéaste traverse à nouveau l'Atlantique et met en scène, entre la Côte Est et la Côte Ouest, une comédie dramatique qui brosse le portrait d'une New-Yorkaise névrosée, qui vient s'échouer chez sa soeur à San Francisco après l'échec de son mariage. Il y dirige pour la première fois la charismatique Cate Blanchett, et retrouve Alec Baldwin pour la troisième fois.

L’année suivante, Woody Allen tourne Magic in the Moonlight (2014), mettant en scène Colin Firth et Emma Stone sur la Riviera des années 20, dans une comédie magique et romantique.

(Allociné)

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Classement dans les cinéthèques

Diamant
367 spectateurs
Or
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Argent
1 175 spectateurs
Bronze
1 018 spectateurs
Vu aussi
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Envies
981 spectateurs
Pas apprécié
241 spectateurs
PAV
551 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.12/10
Nombre d'évaluations : 846

6 Citations 306 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Woody Allen

Sortie France : 2023-09-27

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par Davunk 2024-01-15T21:23:08+01:00
Tout le monde dit I Love You

Comme souvent chez Woody Allen, tout débute avec un couple. Elle espére un grand amour romantique, il veut lui offrir. Et ils se mettent à chanter. Ce qui sera le départ d'un film entre le film choral et la comédie musicale, avec même un léger brin de fantastique. DJ (Natasha Lyonne) va nous présenté sa famille, sa mére (Goldie Hawn), son beau pére (Alan Alda), son pére (Woody Allen), Sa soeur (Drew Barrymore), le copain de sa soeur (Edward Norton), son autre soeur (Natalie Portman), et ajoutez y un brin de Billy Crudup, de Tim Roth ou encore de David Ogden Stiers et de Robert "T-Bag" Knepper sans oublier, forcément, Julia Roberts et on tient un film dont rien que le casting donne envie d'aller au bout.

Heureusement, on y trouve aussi l'humour de Woody Allen, son Paris fantasmé, sa justesse dans des relations qui, pourtant, nous dépassé, et un rythme qui permet d'alterner humour et sérieux dans une joie communicative. Un excellent film !

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Commentaire ajouté par Justadream 2024-01-17T22:38:51+01:00
Coup de chance

Je ne sais vraiment pas si j'ai aimée ou pas, sympa à voir une fois ! Mais c'est un peu un genre de film répétitif

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-01-22T19:21:52+01:00
Harry dans tous ses états

Harry est emmerdé. Il subit un blocage de l'écrivain. Dans le même temps, il revit ses souvenirs tel qu'il les a écrit...

Etrange exercice entre la comédie et le film à sketchs, Harry dans tous ses états aligne un lourd casting (Woody Allen, Jufy Davis, Julia Louis-Dreyfus, Billy Crystal, Tobey Maguire, Stanley Tucci, Robin Williams, Peter Jacobson) pour illustrer les idées comiques de Woody Allen. Un comédien flou, un homme se mettant à parler à la mort, ou même un petit tour en enfer, le tout saupoudré des questionnements existentiel habituels du réalisateur qui use aussi de son humour. Alors si ce film ci manque de la cohérence de ses plus grandes oeuvres, il n'en demeure pas moins une belle réussite à même de plaire !

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-01-29T00:53:45+01:00
Celebrity

Un écrivain raté et sa femme, enseignante, se séparent aprés 16 ans de mariage. Si elle rencontrera vite quelqu'un, lui s'interrogera beaucoup...

Celebrity est un film qui traite de... la célébrité ! Etonnant non ? Nationale, locale, mais de la célébrité. Et pour cela, Woody Allen s'est adjoint un sacré casting : Kenneth Branagh, Judy Davis, Winona Ryder, Leonardo DiCaprio, Mélanie Griffith, Famke Janssen, Hank Azaria, Charlize Theron, J.K. Simmons, Jeffrey Wright et une trés courte apparition de... Donald Trump ! La palme du rôle surprenant revenant à un Dicaprio en acteur imbu de lui même, violent, accro au sexe... Dommage que Celebrity, qui atteint presque les 2h, se montre surtout trés bancal, et paraisse durer une bonne heure de plus. Non qu'il soit mauvais mais son Noir et Blanc sent le dépassé, son rôle principal semble avoir été écrit pour Woody lui même, et le reste à l'avenant : un Woody Allen sans la verve, sans la force; Juste un bon film en somme...

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-02-05T19:03:34+01:00
Accords et Desaccords

Emmet, musicien de Jazz qui ne se prend pas rien, se considère comme le deuxiéme plus grand derriére Django Reinhardt, écarte tout ce qui peu l'éloigner de la musique...

Sean Penn incarne ce rôle dans ce qui s'apparrente à un faux biopic, raconté entre autre par Woody Allen. On y croise aussi Anthony LaPaglia, Uma Thurman, Gretechen Mol ou encore Samantha Morton. L'histoire, elle, peine un peu à se développer et profiter surtout de son rythme entrainant, de sa jolie BO et du style Allen, toujours percutant quand il le veut. Alors certes, ce n'est pas trés incarné, le personnage d'Emmett Ray est, par moment, sacrément détestable, mais le film reste globalement plutôt réussit pour un fin de tiroir récupéré...

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-02-12T17:45:39+01:00
Escrocs mais pas trop

Ray sort de petites prisons, où l'on menés ses petites escroqueries. Et il décide de braquer une banque en louant un petit local à proximité. Pour la façade, il y ouvre une boutique de cookie sans s'attendre au succés qui suit...

Escrocs mais pas trop pourrait retrouver la verve, la folie des premiers Woody Allen. Probléme : si la premiére partie est incroyablement drôle, Woody Allen se passant même de grands noms, la seconde est plus bancal malgré quelques saillies humoristique assez réussit. Globalement, ça se regarde bien, ça diverti mais on sent le côté bancal de l'entreprise assez rapidement. Et ce malgré les présences de Michael Rapaport et de Hugh Grant. Alors oui, globalement ça fonctionne bien et on rit parfois, voir même assez souvent. Mais ça ne suffit pas. Les personnages secondaires manquent de profondeur, et l'intrigue perd trop vite de sa force. Dommage.

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Commentaire ajouté par Cellophane 2024-02-19T08:34:06+01:00
Coup de chance

Je ne sais que dire tellement j’oscille entre le cool et le pas cool…

La première demi-heure est assez longue à installer à cause de sa banalité – aucun dialogue percutant, scène originale, cadrage surprenant, situation loufoque… On dirait que Allen fait ce qu’il sait faire sans se fatiguer, ça se passe, c’est tout.

Et puis le mari qui s’y met, c’était déjà plus pertinent, j’ai marché dans les petites astuces de l’enquêtrice, le couple plus proche et intéressant…

Bon, je trouve que Niels Schneider a un charisme de bulot mais Lou de Laâge a le droit d’aimer les bulots…

Et puis vers 50 minutes, quand le mari s’énerve, j’ai trouvé qu’il avait des problèmes de riche qui ne me touchaient pas, avec des solutions de riche qui m’étaient inaccessible. C’était dommage parce que j’étais quand même bien entré dans le film…

Valérie Lemercier qui s’en mêle, il y a un côté amusant mais aussi une mollesse dans la réalisation et les réactions qui contrebalance.

D’ailleurs, d’une façon générale, de Le Tonquédec aux discussions de groupe, du métier de Lou De Laäge au roman de Niels Schneider, tout est assez mou, fade.

Je ne sais pas si c’est l’âge, si Allen ni croit plus, mais j’ai trouvé que l’ensemble manquait de folie, de mordant, d’énergie, du dynamisme ou du mordant qu’il met d’habitude dans ses scènes et dialogues, comme s’il faisait le strict minimum pour assurer son 50ème film…

Quant au final, comme le reste, j’oscille entre cynisme bienvenu et facilité navrante…

En tous les cas, pas le film de Allen qui m’aura marqué…

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-02-19T18:00:15+01:00
Le sortilège du scorpion de jade

CW Briggs est enquêteur d'assurance. Avec sa nouvelle chef, ce n'est pas le grand amour et quand il se fait hypnotiser lors d'une soirée, et que l'hypnotiseur use en plus de son emprise pour lui faire dérober des bijoux de grande valeur...

Avec ce film, Woody Allen retrouve toute sa verve et va s'aider de Dan Aykroyd, Helen Hunt ou encore Charlize Theron pour rendre hommage aux vieux films d'enquête mais avec son humour, sa verve habituelle. On retrouve dans le personnage de CW tout ce qu'on aime dans les personnages du bonhomme. Petites phrases bien placés, couardise masqué, gentil loser, mais le tout passé au crible des films du genre des années 40. Et c'est tout l'amour du cinéma de Woody Allen qui rejaillit dans ce trés réussit "Sortilége du Scorpion de Jade" !

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-02-19T18:08:36+01:00
Sounds from a town I love

Alors oui. Forcément, filmer des gens qui se parlent au téléphone à New York, à priori, ça n'a rien de fou. Mais ce court de 3 minutes trouve sa force ailleurs. En l'occurrence dans son contexte : réalisé aprés les attentats du 11 Septembre 2001, il le fut pour que Woody rappelle son amour de New York, de sa vie, de ses sons. Ainsi, aprés quelques discussions apparait le trés simple "I love New York". Fort.

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Commentaire ajouté par Davunk 2024-02-26T18:03:57+01:00
Hollywood Ending

Val est réalisateur mais sa gloire est passée, il enchaine maintenant les téléfilms et es pubs foireuses. Quand son ex femme, maintenant en couple avec un producteur, lui propose de refilmer New York, il accepte sans hésiter. Mais pas de bol, il devient aveugle à la veille du tournage...

Woody Allen lire ici un film dont il a le secret... ou presque. parcequ'avec 1h52 au compteur, le concept finit par tourner en rond dans la derniére partie du film alors qu'il fonctionnait particulièrement bien au début. Si Woody incarne son personnage habituel de loser, il est ici accompagné entre autre par Téa Leoni et Debra Messing. On croise même Tiffany Thiessen. Hollywood Ending n'est pas un sommet de Allen, c'est un bon film malgré tout, à la fois drôle et qui rappelle la passion du bonhomme pour sa ville, et pour le cinéma en général...

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