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Agnès Varda

Réalisateur

186 spectateurs

Activité et points forts

ajouté par yanglol 2014-02-05T22:12:20+01:00

Biographie

Agnès Varda, née Arlette Varda, est une photographe, réalisatrice de cinéma et plasticienne française, née le 30 mai 1928 à Ixelles, Belgique. Elle a notamment réalisé les films La Pointe courte (1955), Cléo de 5 à 7 (1962), Sans toit ni loi (1985), Les Glaneurs et la Glaneuse (2000) et Deux ans après (2002).

En 2002, l'ensemble de son œuvre cinématographique est récompensée par le prix René-Clair de l'Académie française.

Source : Wikipédia.

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Classement dans les cinéthèques

Diamant
34 spectateurs
Or
75 spectateurs
Argent
80 spectateurs
Bronze
59 spectateurs
Vu aussi
83 spectateurs
Envies
94 spectateurs
Pas apprécié
16 spectateurs
PAV
44 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 6.77/10
Nombre d'évaluations : 69

0 Citations 23 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Agnès Varda

Sortie France : 2017-06-28

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par pwachevski 2023-11-20T13:41:21+01:00
Les créatures

Le film aurait mérité un budget un peu plus conséquent, car malheureusement à de nombreux moments, pourtant clés du récit, on le sent un peu fait de bric et de broc, avec les moyens du bord. Ça commence dès la première scène d'ailleurs, avec cet accident de voiture complètement hors champ, qui donne un peu le ton à venir pour le reste du film. Je vais essayer cependant de passer outre ce défaut, pour plutôt retenir l'originalité du film et son ambiance assez remarquable.

On est sur un film fantastique, tirant parfois même sur la SF, où la frontière entre réalité et fiction est floue mais compréhensible au final pour le spectateur. On exploite pour cela des thématiques parfois assez classiques (comme le romancier qui se perd dans le livre qu'il est en train d'écrire) et parfois assez singulières (je n'avais jamais vu un film traiter de la manipulation de cette manière). Très vite, il s'installe une ambiance mystique, pesante, voire dérangeante - je pense à cette BO très grinçante. On n'est pas réellement dans un huis clos car le décor est ouvert, mais la situation insulaire de Noirmoutier fera que tout tournera toujours de près ou de loin autour de la même poignée de personnages, un peu à la façon d'un roman d'Agatha Christie.

La réalisation fait au mieux malgré ses moyens limités. La mise en scène est efficace, renforce l'ambiance étrange à coup de motifs récurrents, comme le damier, et de moments un peu surréalistes, comme quand le personnage parle aux animaux. Il y a un regard intéressant, mettant en valeur paysages et interprètes. Après ce n'est pour ma part pas la réalisation d'Agnès Varda que j'ai trouvé la plus aboutie ou créative.

L'ensemble forme un film original et que j'ai trouvé très plaisant à regarder. C'était distrayant, rythmé, avec cette pointe de suspense qui va bien. La seconde moitié du film m'a cependant semblé se tirer en longueur, malgré une très efficace conclusion. Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai trouvé que la partie "d'échecs" durait bien trop longtemps. On aurait pu aboutir exactement au même résultat en ne faisant jouer que 2 ou 3 coups aux personnages. J'aurais préféré qu'on utilise ce temps pour proposer peut-être plus de péripéties. La résolution de l'intrigue était presque trop rapide, trop évidente en fait.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-11-25T15:24:49+01:00
Lions Love (… and Lies)

J'ai de la sympathie pour Agnès Varda, mais ce genre de chose arrive même aux meilleurs : qu'est-ce que c'est que ce truc au juste ?!!

Le film assume le fait d'avoir été tourné sans scénario prédéfini et avec des acteurs en permanence défoncés. Bon. Bah que dire de plus que "ça se voit" ?... On ne dirait pas un film qui avait pour but d'être diffusé, mais plutôt une sorte de film de vacances gênant. Franchement, ça m'a fait penser aux Teletubbies, mais dans une version pour adultes et avec des vrais gens : j'ai littéralement détesté de bout en bout.

Le seul intérêt que j'y ai trouvé, c'est le côté "photographie d'une époque". Si vous vous intéressez au mouvement hippie notamment, vous y trouverez sûrement de la matière intéressante. On a aussi quelques chouettes plans de la Californie de l'époque. Mais pour les autres fuyez.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-11-25T15:34:46+01:00
L'une chante, l'autre pas

Ce film souffre d'une interprétation malheureusement inégale, si ce n'est carrément un peu fausse par moment. Je trouve aussi sa réalisation bien sans plus. C'est joli et propret, mais j'ai connu Agnès Varda proposant un regard plus pointu, plus abouti. Mais en revanche, en terme d'écriture, de scénario, de message et d'émotion, c'est pour le moment le film de la réalisatrice que je préfère. Malgré ses petits défauts, il y a quelque chose qui m'a sincèrement touché dans cette œuvre.

On trace sur un peu plus d'une décennie le portrait de deux copines, Pauline et Suzanne, qui n'ont pas grand chose en commun, pas tout à fait le même âge, pas le même milieu social, pas la même vie. Mais elles sont malgré ça très proches, très complices car liées à jamais par le soutien mutuel qu'elles se sont apportées à un moment de leur vie. Sans jamais tomber dans le pathos, et même avec un humour assez mordant, il sera question de problématiques éminemment féminines, comme l'avortement, la maternité ou l'indépendance financière.

En 2023, on parlerait de sororité, mais je sais pas si on en parlait beaucoup à l'époque. Quoi qu'il en soit, c'est un film avec un message très moderne et surtout très positif. On a des femmes inspirantes, qui se soutiennent et ne se jugent pas. Et même si c'est forcement un film qui par essence parlera plus facilement à d'autres femmes qu'à des hommes, on ne les exclus pas. On n'est jamais dans l'opposition aux hommes, on ne les enferme pas dans un rôle de "méchant", on n'est pas du tout dans un militantisme forcé et clivant.

C'est aussi une très chouette photographie des années 1960/1970, un portrait plus global de la jeunesse de cette époque. Un bel hommage aux combats qui étaient les leurs et aux courants de pensée alors existants dans la société, qui font parfois écho aux nôtres.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-11-27T18:56:28+01:00
Documenteur

Il y a quelque chose de sincère et touchant dans ce film, sur le thème de la séparation amoureuse, alors que Agnès Varda, dans sa vraie vie, se séparait de Jacques Demy. Ce n'est pas frontalement autobiographique, mais on sent quand même bien que réalité et fiction se mélangent ; notamment quand Agnès Varda réalise la voix off. Il y a un coté un peu crépusculaire dans ce film, comme une séquence qui se referme et on sent que ce n'était pas la joie à ce moment dans la vie de son auteure.

Bien sûr qu'on a déjà vu des séparations amoureuses ou des couples qui battent de l'aile au cinéma, mais avec cette sincérité rarement. Par ailleurs, la majorité des scénaristes et réalisateurs étant des hommes, ce n'est pas forcément traité de la même façon. Ici on ressent bien plus une certaine position de vulnérabilité, une perte de se sens, de repères, de confiance, dans les autres et en soi. A part Lost in translation, de Sofia Coppola, je n'ai pas forcément quelque chose d'équivalent qui me vient spontanément à l'esprit. La question de la parentalité solo prend aussi une place importante. Sans révolutionner le genre, ça donne quand même une saveur originale à l'ensemble.

J'ai été moins séduite en revanche par la forme. Enfin pas tant les images, qui sont très belles, avec une recherche artistique évidente. Mais plutôt dans son approche pas vraiment narrative. Le plus souvent on nous montre des images "au hasard" sur lesquelles on vient poser une voix off. Ce n'est pas vraiment une histoire avec un début, un milieu et une fin, et ça m'a un peu noyé par moment. La BO est agréable mais trop discrète. Par ailleurs c'est un peu dommage que le film ne fasse qu'à peine une heure, on aurait aimé plus fouiller les choses par moment.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-12-12T19:35:15+01:00
Sans toit ni loi

Si j'ai trouvé des imperfections au film, j'ai tout de même été assez largement séduite par sa puissance et son audace. Je n'ai pas d'autre exemple de film similaire qui me vient spontanément à l'esprit. C'est un film qui fait le choix de suivre des marginaux, mais sans jamais chercher à "glamouriser" d'une quelconque manière la chose. On cherche pas à en retenir la liberté de ce mode de vie, le côté contestataire ou à développer idéologie. On nous en montre juste crûment la terrible réalité, dès les premières minutes du film.

Ensuite, on optera pour une construction atypique, faite d'une suite de flashbacks. C'est un jeu de piste, un puzzle pour essayer de comprendre qui était Mona. Il manque volontairement des morceaux, le film ne nous donne pas tous les éléments, mais suffisamment pour se faire une idée du personnage. Je pense que Sandrine Bonnaire fait aussi beaucoup pour ce personnage, car malgré ce côté morcelé, et brumeux, elle lui donne une vraie cohérence et densité.

Malgré l'émotion évidente du film, je n'ai cependant jamais réussi à m'attacher réellement à elle. C'était un choix de scénariste, mais elle est quand même un peu tête à claques. Notamment elle se montre parfois assez ingrate avec les gens qui l'aident. Ça a créé du coup un certain blocage me concernant, je n'ai pas réussi à complètement me faire emporter par le film.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-12-16T18:01:08+01:00
Kung Fu Master

Le film n'est pas forcément mauvais au sens mal fait ou pas distrayant. Mais je le classe dans cette liste car il m'a vraiment mise mal à l'aise.

Ce film parle d'une mère de famille qui s'entiche amoureusement... d'un camarade de classe de sa fille. Sauf erreur, on ne donne pas précisément l'âge de ce garçon, mais on parle à un moment d'un brevet des collèges blanc qu'ils viennent de passer, donc on est a priori autour de 13-14-15 ans. Il est joué par Mathieu Demy, né en 1972, film sorti en début d'année 1988, probablement tourné en 1987, donc 14-15 ans au moment du tournage. Face à une Jane Birkin de 40 ans au moment du tournage, donc clairement, on ne peut pas dire qu'on ne voit pas la différence de génération.

Le gros problème, c'est qu'on n'est pas juste sur un couple qui a une différence d'âge mais où tout le monde est en capacité d'exprimer un consentement (comme Perfect Mothers), ou dans une situation où l'adulte a un éclair de lucidité et dit stop (comme Un moment d'égarement) ou d'une situation où on y va mais en condamnant clairement le comportement de l'adulte (comme Le consentement), on parle vraiment d'une situation très borderline avec la légalité, si ce n'est illégale (du fait du flou artistique sur l'âge du garçon, difficile de trancher) et qui va durer tout le long du film et même s'amplifier au fil du film, comme si c'était une romance "normale".

Cette situation ne semble pas déranger outre mesure les différents personnages qu'on rencontre. Certains vont même jusqu'à l'encourager ! Ou alors si ça les dérange, ce n'est pas de la bonne manière. Lucy, la fille de Mary-Jane, est par exemple gênée par la situation du fait d'une certaine jalousie de se faire "voler" sa mère, et qu'elle aurait pu exprimer de la même manière si le garçon avait été plus âgé et même si ça avait été un homme de l'âge de sa mère.

Bref, en plus de la situation qui crée de base un malaise, j'ai été d'autant plus mise mal à l'aise par le fait que le film ne nomme jamais la chose, et ne semble pas plus la condamner. Je ne comprends pas ce qu'on cherche à nous dire alors. Que ce n'est pas si grave que ça ? Que c'est ok ? Qu'on pourrait sérieusement envisager une famille de ce type ? Pour moi c'est un non ferme, catégorique et pas négociable que cette situation n'est pas acceptable, donc je suis profondément dérangée par cette complaisance et je ne peux en aucun cas me sentir en empathie avec ce personnage.

A part ça, le film délivre quand même un message intéressant sur le SIDA et son traitement dans la société au début de l'épidémie. La réalisation est d'une excellente qualité, comme toujours avec Agnès Varda. Jane Birkin offre une interprétation subtile et délicate. Mathieu Demy m'a séduit par sa fraîcheur et son naturel. Charlotte Gainsbourg est par contre clairement de dessous, elle multiplie les gestes incontrôlés qui trahissent sa gêne devant la caméra et elle a une diction assez inaudible. Vous me direz, c'est aujourd'hui à l'âge adulte l'une des meilleures actrices françaises en activité, donc cette performance un peu ratée a clairement été sans grande conséquence. C'est même plutôt intéressant que de constater son évolution.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-12-17T15:52:07+01:00
Jane B.

Je n'ai rien de grave contre Jane Birkin, mais je n'en suis pas une fan. Du coup, l'idée d'un film biographique à son sujet, dans un autre contexte, ne m'aurait probablement pas attiré. Mais là je suis en train de me faire la rétrospective du cinéma d'Agnès Varda, donc il n'aurait pas eu de sens de faire l'impasse sur ce film pour de simples a priori.

Je suis contente de m'y être aventurée finalement, car j'ai trouvé ce film extrêmement original. Je n'ai jamais rien vu de tel. La réalisation reproduisant plusieurs tableaux de maître est déjà assez atypique, mais il est en plus très difficile de classer ce film tant il est foisonnant. Fiction ? Documentaire ? Film à sketchs ? Où s'arrête la vérité, où commence le mensonge ? Mais l'ensemble est plaisant à regarder, et conserve malgré tout du fond, avec quand même des points biographiques un peu premier degré et une émotion parfois sincère, beaucoup d'humour notamment.

Cependant le film est tellement original et difficile à classer que j'ai un peu de mal à le noter. Je le met en "vu aussi", pas parce que je ne l'ai pas aimé, mais plus parce que je saurais pas où le mettre ailleurs.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2024-01-01T21:05:13+01:00
Jacquot de Nantes

Jacques Demy par celle qui a longtemps été sa femme, Agnès Varda. Le résultat est un film émouvant, bénéficiant en plus d'une superbe mise en scène. C'est également un film très riche, avec de multiples facettes, à la fois biographie, déclaration d'amour, testament, hommage à son cinéma et portrait de la France pendant la seconde guerre mondiale. C'est une ode à l'enfance et aux rêveurs, mais qui montre aussi le travailleur acharné qu'il était. Bref, j'ai vraiment adoré cette expérience.

A revoir tout de même quand j'aurais complété ma filmographie de quelques œuvres supplémentaires de Jacques Demy, car je n'avais malheureusement pas toutes les références. Mais loin de ternir mon plaisir au visionnage, ça me donne plutôt envie d'y (re)plonger au plus vite.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2024-01-07T17:52:54+01:00
Les glaneurs et la glaneuse

Très chouette documentaire sur le fond et sur la forme.

Sur le fond, du fait du thème bien entendu. Ça a un peu vieilli, mais honnêtement pas beaucoup. Aujourd'hui on donnerait sûrement une tournure un peu plus écolo à la chose, mais c'est bien tout. Les situations, les populations qu'on nous montre, l'émotion qu'elles provoquent parfois, l'absurdité d'un système, tout cela est toujours très pertinent. Bien sûr que le traitement est orienté, mais c'est assumé, donc ça ne m'a pas vraiment dérangé. Sauf peut-être sur un point, la vision un peu naïve et idéalisée de cette vie en marge de la société, qui rencontre quand même ses limites à un moment (et que je n'avais pourtant absolument pas ressenti dans "Sans toit ni loi" de la même réalisatrice, avec un thème un peu similaire).

Sur la forme, j'ai trouvé remarquable qu'on ait su mettre autant d'humour dans ce documentaire, sans jamais rogner sur le message. C'est vraiment la plus grosse qualité du film je pense. Ce n'est ni plombant, ni culpabilisant, on n'est pas donneur de leçon, on ne prétend d'ailleurs pas avoir la solution au problème. Le film bénéficie par ailleurs du regard aiguisé de sa cinéaste de réalisatrice. Si on ne révolutionne pas l'interview face camera, on a su intégrer dans le documentaire des séquences bien plus artistiques, qui donnent là encore une saveur assez unique au film.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2024-01-07T18:44:03+01:00
Les cent et une nuits

Dernière œuvre cinématographique de la riche carrière d'Agnès Varda, qui n'a plus fait que des documentaires ensuite. Ce film sonne globalement comme un vaste hommage au cinéma et à une passation de pouvoir vers des artistes plus jeunes. C'est un film de cinéphiles, bourré de références, ou alors il ne faudra pas craindre les spoilers (par exemple quand Depardieu et Piccoli discutent des façons dont ils sont déjà morts au cinéma, en nous racontant de vraies fins de film). Le film bénéficie d'un casting 5 étoiles à la hauteur de ses ambitions. C'est aussi un film avec une mise en scène remarquable de créativité. Les décors et costumes sont riches et soignés.

Bref les qualités ne manquent pas... Mais bizarrement je n'ai pas accroché plus que ça pour autant. J'ai trouvé le scénario assez banal, justifiant mal le fait de dérouler toutes ces références et personnages, qui bien trop souvent ressemblent à de simples effets de manche. C'est foisonnant, mais ça tourne à vide, et l'ennui n'est jamais loin par conséquent. Je l'ai trouvé également très plat en termes d'émotions.

Je trouve que d'autres réalisateurs, qui ont pu proposer des films un peu dans le même esprit, aboutissaient à des résultats bien plus équilibrés, comme Hugo Cabret de Scorsese par exemple. Même Agnès Varda elle-même a, selon moi, bien mieux atteint ce but dans son précédent film, Jacquot de Nantes, qui derrière un hommage au seul Jacques Demy, parle bien du cinéma de façon générale.

Pas mauvais, mais je pense qu'elle a fait bien mieux dans sa carrière.

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Dédicaces de Agnès Varda
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Studios

Ciné Tamaris : 8 films

La Sept Cinéma : 2 films

Films A2 : 1 film

Ministère de la Culture : 1 film

20th Century Fox : 1 film

StudioCanal : 1 film

Athos : 1 film

Ciné-Tamaris : 1 film

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