Aki Kaurismäki
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 5.67/10Nombre d'évaluations : 21
0 Citations 9 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Ce film étant tourné dans ma ville, j'aimerai bien savoir à quoi il ressemble... à voir un jour...
Afficher en entierJ'ai eu l'occasion de visionner ce film avec à mon collège, L'histoire de ce film est vraiment intéressant autant que la mise en scène qui est faite exprès mais je n'est pas vraiment apprécier de ce coté la.
Et l'histoire par moment n'a ni queue ni tête.
Afficher en entierLes films de Kaurismäki n'ont rien perdus du charme qui faisait ses premiers films. Un monde particulier, souvent silencieux, intrigant, drôle , touchant, proche du conte. Celui-ci ne fait pas exception et le fait qu'il soit tourné en France (avec des acteurs français) nous rapproche encore plus de son univers.
Afficher en entierCe n'est pas le film le plus satisfaisant de Kaurismaki mais on y retrouve tout de même son style si particulier. Une ambiance noire et souvent farfelue, des tronches, des silences, un jeu d'acteur proche du mime, de l'émotion...Correct.
Afficher en entierJ'en garde seulement une immense impression de lenteur et de "tout ça pour ça" à la fin... Je crois que ça n'était pas vraiment pour moi.
Afficher en entierCe film ne m'a pas vraiment plu, j'ai eu beaucoup de mal à saisir l'humour. Les personnages ne sourient jamais et leurs histoires sont sombres. Mais les personnes qui étaient dans la salle de cinéma ont beaucoup ri!
Cependant l'histoire de Khaled était triste et attachante.
En revanche, j'ai eu du mal à comprendre celle de Wikhström.
Afficher en entierFilm touchant, à voir ! L'histoire est triste mais l'humour et l'humanité sont présents :)
Afficher en entierFilm avec une ambiance très particulière. J.Pierre Léaud joue le rôle principal. Excellente interprétation.Une lenteur propre au cinéaste mais qui ne freine pas l'attention du spectateur, du moins dans mon cas. On passe un bon moment ...
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Aki Kaurismäki
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Pyramide Films : 3 films
Pyramide Distribution : 3 films
Villealfa Filmproduction Oy : 2 films
Diaphana Films : 1 film
Biographie
Frère cadet de Mika Kaurismäki.
Facteur, plongeur de restaurant et critique de film avant de se lancer dans la réalisation cinématographique, Aki Kaurismäki réalise le documentaire The Saimaa Gesture, son premier film, en 1981. Une œuvre qu'il produit également, en collaboration avec son frère Mika (réalisateur entre autres d'I Love L. A. en 1998). C'est le début d'une longue collaboration, qui pousse Aki et Mika Kaurismäki à réaliser et financer pas moins du cinquième de la production assurée en Finlande depuis le début des années 80.
Metteur en scène d'une vingtaine de films en autant d'années, Aki Kaurismäki impose sa marque de fabrique dès Ariel (1988) : un mélange de comédie déjantée et de drame désespéré, peut-être hérité de son penchant notoire pour la bouteille. Un mélange auquel le cinéaste ajoute le rêve américain avec Leningrad Cow-boys go America, avant de plonger dans la noirceur de La Fille aux allumettes (1989).
Le début des années 90 voit le cinéaste s'exiler en Grande-Bretagne puis en France, où il réalise respectivement J'ai engagé un tueur (1990) et La Vie de bohème (1992) avec notamment Jean-Pierre Léaud. Un an plus tard, il donne une suite à Leningrad Cowboys Go America : Les Leningrad Cow-Boys rencontrent Moise.
Retour à des sujets plus sérieux avec Tiens ton foulard, Tatiana (1994), et surtout avec Au loin s'en vont les nuages, très ancré dans le quotidien avec son couple touché par le chômage et vainqueur du Prix œcuménique au Festival de Cannes 1996, où il était présenté en compétition. 1999 signe son détour par le cinéma quasi-expérimental avec Juha, film muet en noir et blanc, hommage aux mélodrames flamboyants de Douglas Sirk.
Aki Kaurismäki attire encore une fois l'attention du festival de Cannes en 2002, avec L' Homme sans passé. Cette œuvre représente sa plus grande consécration internationale, remportant le Grand Prix et le Prix d'interprétation féminine, en plus d'être nominé à l'Oscar de meilleur film étranger. Ce prix d'interprétation confirme entre autres le succès du partenariat entre le réalisateur et celle qui est devenue son actrice fétiche, Kati Outinen, ayant tourné dans plus de dix films du cinéaste.
Après une absence de cinq ans (si l'on enlève son rôle savoureux dans Aaltra), le cinéaste signe son retour en 2006 avec Les Lumières du faubourg, projeté à Cannes en compétition officielle. Ce film sur la solitude clôt donc la "trilogie des perdants" entamée avec Au loin s'en vont les nuages et L' Homme sans passé. Après une participation dans le film collectif Chacun son cinéma (2007), il revient en France pour tourner Le Havre, chronique sociale douce-amère portée par Kati Outinen, André Wilms et Jean-Pierre Darroussin.
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