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Evidemment, ce film est extrêmement bien joué et bien tourné, mais la musique reste tout de même son plus gros point fort. Stressante, presque angoissante, cette bande-son, qui accompagne en grande partie chaque scène du film, m'a fait frémir et sursauter plusieurs fois alors même qu'il ne se passait rien à l'écran. La scène de la douche est iconique et beaucoup la retiendront par la suite, mais encore une fois, à titre personnel, elle ne m'aura pas marquée plus que ça. Le scénario est en béton et bien que le retournement de situation soit prévisible, j'ai été scotchée en découvrant la fin. J'ai deviné le secret de Norman bien avant le dénouement, non, ce qui m'a définitivement scotchée, ce sont les explications venues après éclairer ma lanterne. Elles étaient réalistes, bien justifiées, bien illustrées et m'ont finalement donné la chaire de poule.
J'aurais juste une petite critique à émettre : je pense que le rythme du film est un peu lent, sans pour autant que je me sois ennuyée, cependant, j'aurais préféré que l'histoire soit plus dynamique. Extraordinaire pour l'époque (sorti en 1960), ce film témoigne du génie d'Alfred Hitchcock et reste encore à ce jour un pilier du 7ème art. Je le conseille absolument.
Psychose
Bref je suis assez mitigé.
L'ombre d'un doute
Les oiseaux
La cinquième colonne
C'est la fin qui m'a en revanche laissé une impression perplexe, en comparaison avec le reste de l'œuvre. Celle-ci semble s'étendre légèrement, trainant sur la finalité de l'intrigue, avec des longueurs dérythmant la pulsation déjà un peu molle de la réalisation. Ainsi, dans les dernières scènes, l'on ne finit plus vraiment par croire à cette histoire, l'on décroche presque. La séquence finale n'arrange d'ailleurs rien, aussi abrupte que décalée du reste, donnant soudain à voir une scène de sitcom américain.
Le film reste malgré tout campé par une série de personnages à la composition tout à fait satisfaisante, avec des individus intrigants, pleins d'ambivalence, le tout surmonté par le duo James Stewart et Doris Day. James Stewart à qui l'on a confié ici une partition plus dramatique qu'à l'habitude, mais dont le personnage est finalement rendu fade et antipathique, face à à l'interprétation plus réussie de sa partenaire Doris Day, qui elle, déploie un naturel et une jeu tout en nuance épatant, entre la crainte et l'inquiétude.
Bref, le tout fait quand même une bonne sousoupe.
L'homme qui en savait trop
Et je n'ai pas vu passer les deux heures du film tellement je voulais savoir où ça allait aller, pourquoi ça leur arrive, le tout pour avoir une explication partielle qui laisse de la part à l'imagination et un final de qualité.
Le réalisateur a su titiller la curiosité, mais aussi, et c'est bien la première fois que je vois ça dans un film du réalisateur, émouvoir le temps d'une scène…
Le duo James Stewart et Doris Day marche bien, l'histoire est bonne, clairement un bon Hitchcock.
L'homme qui en savait trop
Rebecca
Le crime était presque parfait
Les oiseaux
Fenêtre sur cour
La mort aux trousses
Psychiatre, le docteur Edwardes vient prendre son poste dans une clinique. Il n'est pas le docteur Edwardes mais un malade qui se fait passer pour le docteur Edwardes et prétend l'avoir tué.
Amnésie de l'origine des troubles, paranoïa, sentiment de culpabilité, schizophrénie : les mots sont prononcés.
Pour s'en sortir, le pseudo Edwardes va pouvoir s'appuyer sur le savoir d'une psychiatre le docteur Constance Petersen. Coup de foudre en un regard entre Ingrid Bergman et Grégory Peck. Et s'il doit y avoir enquête, cela passer par l'investigation des rêves.
Une psychanalyse sauvage qui viole toutes les règles de la psychanalyse : le docteur Petersen est amoureuse de son patient. Elle lui tient lieu de maman. Elle se donne pour objectif de la sauver de lui-même.
Et pour ceux qui n 'aurait pas compris, elle fait appel à l'analyste qui l'a formée et qui est le portrait craché de Freud. Un psychanalyste est forcément vieux, porte la barbe, fume le cigare (ici la pipe). Et le vieux psychiatre de se comporter avec le docteur Petersen comme si elle était sa fille et lui son père. On fonce ensuite dans les clichés machistes (on est dans les années 40). Une femme amoureuse est forcément stupide, aveugle... Elle a besoin de papa pour remettre du rationnel.
Vient la séquence d'analyse. On plonge dans le rêve du pseudo Edwardes. La séquence fut imaginée par le peintre Salvador Dali. Une séance suffit pour tout déverrouiller et donner du sens à l'origine du trouble dont souffre le faux docteur Edwardes. Plus fort que le feuilleton En thérapie que j'adore. Le reste du film relève du polar.
A mon humble avis, Hitchcock va ensuite faire mieux avec Pas de printemps pour Marnie
La maison du Docteur Edwardes
Fenêtre sur cour
Je dois dire que j'ai dû me faire violence pour appuyer sur play et le visionner aujourd'hui... et j'ai été très positivement surprise pour mon premier Hitchcock !
Pour un film de 1960, je trouve qu'il a incroyablement bien vieilli. La photo est magnifique, les acteurs jouent tous incroyablement bien -et sont tous très beaux-. Le rythme est bon, ni trop lent ni trop rapide et je dois dire que je trouve le scénario, quand on le replace dans le contexte cinématographique de l'époque, très original, avec une fin intéressante pour des non connaisseurs.
J'ai pu voir tout au long du film que Hitchcock est un amoureux du détail et de la justesse... pour le plus grand plaisir des cinéphiles en herbe.
Psychose
L'inconnu du Nord-Express