Andrew Marton
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.42/10Nombre d'évaluations : 48
0 Citations 14 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Le film est assurément un joli coup de maître, bien exécuté. Mais cette machine bien huilée pâti un peu de sa tendance à la démonstration, de sa trame descriptive dénuée de toute émotion ou sensation et de ses quelques grands discours de guerre proprement hollywoodiens. J'ai eu du mal à encaisser la dernière heure, mais je lui reconnais son importance historique révolutionnaire pour l'époque.
Afficher en entierJe n'ai aucun souvenir de ce film, mis à part qu'il était long. Vraiment long.
Afficher en entierUn bon film mais trop long.
Afficher en entierCertainement le meilleur film qui retrace les événnements du débarquement en normandie.
Afficher en entierJ'ai essayé de le regarder deux fois et la seconde fois, j'ai juste adoré. Le film est très long et c'est bien car ça nous montre la longueur qu'à pris le lancement du débarquement. C'est fort, beaucoup de grands acturs comme Sean Connery, Bourvil, John Wayne ou Henri Fonda. En parlant d'Henri Fonda qui joue Spoiler(cliquez pour révéler)Teddy Roosevelt, je suis moins accroché par ce qui se passe autour de lui car je sais qu'il ne peut pas mourir. C'est comme dans Abraham Lincoln: Chasseur de Vampires, on peut moins s'attacher au personnage sachant qu'il ne peut pas mourir. Une scène qui me fait mourir de rire, c'est lorsque le personnage de Bourvil entend Spoiler(cliquez pour révéler)Jean a de longues moustaches à la radio. Avec le jeu de Bourvil, c'est juste hilarant.
Afficher en entierFilm très instructif, je trouve important de savoir réellement comment ce déroulait la Guerre, de reconnaitre l'incroyable courage de ces hommes, qui la peur au ventre nous ont rendus notre liberté. Je le trouve super bien réalisé avec la préparation du Débarquement et également comment les allemands ont réagis suite aux messages codés etc. Au final heureusement que Hitler avait pris un somnifère et avait ordonné de ne pas le réveiller, c'est fou mais ça a contribué a la victoire Française. Et dire qu'ils y avaient des allemands qui pensés que le débarquement ce passerait en Normandie et certains ne les ont pas cru, heureusement pour nous.
Afficher en entierexcellent film. Il retrace parfaitement bien l'histoire du débarquement. C'est très émouvant et réaliste. Franchement super
Afficher en entierThe Longest Day est un chef d'oeuvre à mes yeux, non pas seulement parce qu'il rassemble les grands acteurs mais qualité cinématographique. Retracer un événement historique à la fiction est purement magnifique. Nous connaissons tous l'opération Overlord, mais sans entrer réellement dans le détail, ni les différentes étapes pour arriver en France. Le nombre de fois que nous avons parler de cet événément historique en cours d'histoire. Je ne vais pas détailler chaque scène mais c'est un film de guerre qui mérite d'être vu, et sûrement le meilleur que j'ai vu jusque-là.
Afficher en entierIl fallait bien les 2h50 du film pour arriver à développer correctement une opération militaire aussi importante, complexe et avec autant de camps.
Tout est bien fait, bien rythmé et bien joué et je n'ai pas vu le temps passer tellement j'étais pris dans cette opération, suivant avec intérêt chaque camp dans ce qu'il a a accomplir pour que tout réussisse; regardant réussir ou échouer les soldats dans leurs manœuvres, sans lâcher pour autant... Le film aurait duré deux heures de plus que je prenais quand même.
Visuellement, c'est très bien fait, un travail de fou de gérer autant de personnes et de matériel pour recréer cette période cruciale de la Seconde Guerre Mondiale. Un excellent film.
Afficher en entierPremière adaptation du roman dont Malick s’inspira pour réaliser La ligne rouge. Ce film de guerre n’hésitait pas, pour l’époque, a nous montrer des images réalistes, parfois crues. Une belle découverte.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Andrew Marton
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) : 7 films
Twentieth Century Fox : 1 film
A.C.E. Films : 1 film
Security Pictures : 1 film
Ivan Tors Productions : 1 film
Ivan Tors Films : 1 film
Twentieth Century Fox Film Corporation : 1 film
Underwater Productions : 1 film
Biographie
Andrew Marton est un réalisateur hongrois, naturalisé américain, né à Budapest le 27 janvier 1904 et décédé le 7 janvier 1992 à Santa Monica en Californie.
Surnommé «Bandi» ou «Andy», sa présence à certains génériques est indiquée avec «Endre» pour prénom qui n'est que l'équivalent hongrois d'«Andrew» en anglais.
Après avoir terminé ses études secondaires en 1922, il fut pris par Alfréd Deésy (en) pour travailler à Sascha-Film en tant qu'assistant de rédaction. Là il attira l'attention d'Ernst Lubitsch qui le convainquit d'aller tenter sa chance à Hollywood où il arriva en 1923. Cette expérience le marqua profondément. De retour en Europe en 1927 il fut engagé comme rédacteur en chef à la société Tobis à Berlin puis comme assistant réalisateur à Vita-Film (en) à Vienne où il fut l'assistant de Max Linder pour deux films muets. En 1929 il réalisa en Grande-Bretagne Deux heures du matin et en 1934 il rejoignit dans le Tibet une expédition scientifique internationale financée par le Reich à des fins de propagande où participaient le célèbre alpiniste Günter Dyhrenfurth et des chercheurs de l'université de Zurich. Le résultat en fut son film Le Démon de l'Himalaya aux images fabuleuses dont il fit une nouvelle version en 1952 avec pour titre Tempête sur le Tibet. L'année suivante il revint en Hongrie où il tourna un seul film Elnökkisasszony dont le titre anglais est Miss President. Après avoir réalisé quelques films médiocres en Allemagne au cours des années 1930, il quitta ce pays en 1933 avec l'arrivée au pouvoir d'Hitler, fit la navette entre la Suisse, la Hongrie et l'Angleterre où de 1936 à 1939 il travailla avec Alexandre Korda à Londres. Avec le déclenchement de la seconde guerre mondiale il émigra aux États-Unis où il coréalisa plusieurs films dont les titres sont écrits dans la liste «assistant-réalisateur». En 1941, il épousa Lacerta avec laquelle il eut une fille, Tonda Marton-Bayer demi-sœur de deux belles-filles, Melinda Benedek et Barbara Benedek.
Pendant une dizaine d'années il travailla surtout pour la MGM qui lui permit de réaliser en 1950 son premier grand film, Les Mines du roi Salomon; ce fut, aussi grâce à ce film, que Ralph E. Winters et Conrad Nervig remportèrent en 1950 l'Oscar du meilleur montage.
En 1954, il fonda sa propre société de production avec Iván Törzs, Louis Meyer et László Benedek où il travailla jusqu'à la mi-1970.
C’est cependant comme coréalisateur qu’il s’illustra le plus. Il tourna une bonne partie des films L'Adieu aux armes (1957), avec une impressionnante bataille dans les Alpes italiennes, et Cléopâtre (1963) où il dirigea la reconstitution d'une contre-attaque avec une tortue lors de l'épisode où César veut dégager la porte de la Lune. C’est aussi lui qui tourna la spectaculaire course de chars dans Ben-Hur en 1959 distinguée en 1960 par un Golden Globe, prix spécial pour sa réalisation. En 1963, la poursuite que l'on voit dans La Chute de l'empire romain entre Commode et Livius est très dynamique tout comme l'attaque d'un bivouac par des loups dans Au pays de la peur. Selon l'article du 7 avril 1991 ayant pour titre Phantom directors du Los Angeles Times, c'est lui qui organisa le rassemblement de bateaux pour l'évacuation de Dunkerque dans Madame Miniver. On retrouve sa participation au tournage de scènes spectaculaires dans La Femme aux deux visages avec les séquences de ski, dans L'Émeraude tragique avec une explosion de montagne et dans Le Jour où la terre s'entrouvrira où l'on assiste à l'ouverture d'une gigantesque crevasse. Il fut utilisé en 1962 par Darryl F. Zanuck pour tourner les extérieurs des épisodes américains du Jour le plus long.
Une série d'entretiens menée par Joanne d'Antonio a été publiée peu de temps après son décès en 1992.
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