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Ce téléfilm traite autant de l'enquête sur ces crimes sordides que du simulacre de procès où la justice a tentée de faire porter (par tous les moyens possibles) le chapeau a trois adolescents qui avaient le malheur d'être différents des autres et donc de faire des suspects idéaux !!!
Beaucoup de mensonges, de non dits dans cette affaire !
C'est vrai que la fin peut paraitre un peu brutale mais en même temps le dossier n'a jamais été résolu, même si le texte a la fin nous apporte un éclairage nouveau et une nouvelle piste pour l'enquête.
Les 3 crimes de West Memphis
Chloé
Bien qu’au final, on ait une histoire bien cohérente et presque « normale », l’ensemble est présenté par bribes super mystérieuses, des petits bouts de puzzle qui s’emboîtent avec une totale justesse mais qui intriguent tout du long, jusqu’à livrer les solutions…
Que des personnages intrigants, intéressants, des situations logiques mais présentées de façons originales et décalées…
Et puis une réalisation qui donne une moiteur exotique, une pesanteur à l’ensemble – sans être glauque, juste légèrement étrange…
Bref, là, on a vraiment de la réalisation !
Exotica
Remember
Ici pas d'images chocs mais de la nuance, de la retenue. Ryan Reynolds est tout simplement remarquable.
A voir.
Captives
Il m'a énormément touchée, plus que la mère.. Le sujet du film est dur mais il est assez bien exploité je trouve. Le côté thriller est bon, on nous balade tout du long ! Le kidnappeur est terrifiant vraiment ! Un vrai maniaque ! Il m'a mis les nerfs en pelote !
Du côté des policiers, l'inspectrice est vraiment chouette , et forcément très exposée ( elle est médiatisée, elle sert d'appât), l'inspecteur quant à lui m'a révolté ! Quel con !
La fin, quelle fin ! A moitié heureuse, sincèrement je ne suis pas convaincue que l'inspectrice s'en sorte même si je l'espère. Les parents retrouvent leur fille 8 ans après, c'est dur, très dur. Je le redis mais j'ai adoré le personnage interprété par Ryan Reynolds ainsi que le pédophile qui joue parfaitement bien le malade mental :o
Captives
Captives
Je ne connaissais pas du tout la filmographie d’Atom Egoyan, hormis sa Chloé, que j’avais bien aimée, car j’ai lu beaucoup de critiques sur différents sites qui comparent la qualité de Remember à celle de ses autres œuvres, ce que je comprends parfaitement car faisant de même après que j’eus regardé plusieurs films d’un réalisateur, bien qu’ils ne soient pas du même registre. Cependant, je ne le peux pas présentement, alors je me baserai uniquement sur ce que j’ai vu dans la suite de mon commentaire, et Chloé.
Avant d’analyser la question controversée du scénario, divisant ceux qui l’ont adoré et ceux qui crient à l’obscénité et au scandale, des messages et la morale transmis et plus généralement de ce qu’il représente et symbolise, j’ai été déçue de la forme de ce film, qui m’a franchement ennuyée. Pas que son plan technique soit mauvais, parce qu’il ne faut pas exagérer non plus, sachant que ce n’est pas la vérité, mais que je qualifie de banal, fade et impersonnel, comme si le réalisateur n’avait aucun style particulier ni une patte caractéristique qu’il aurait pu apposer sur son travail. Pourtant, je me rappelle d’une jolie réalisation dans Chloé, réalisation non exceptionnelle mais sobre et intimiste, ajustée au thème et proposant une mise en scène dentelée et élégante, que l’on ne retrouve pas ici, qui demeure sobre mais peu recherchée. La bande-son est sirupeuse voire clichée, quoique loin d’être désagréable à écouter, je pense aux morceaux de piano, et les acteurs sont bons, leur prestation honnête, notamment le principal, Christopher Plummer. Le cœur du problème ne réside pas véritablement dans cette réalisation sans artifice ni fioriture, ce qui est une bonne chose car à l’inverse, aurait desservi le film, mais bien son absence de mise en scène, ce vide qui l’emplit, le film m’ayant paru très creux.
La lenteur du récit est agonisante mais justifiée, car elle se superpose au jeu et à la vitesse d’exécution de Plummer, interprétant un vieil homme dont on suit les mouvements tremblotants du début jusqu’à la fin du film, puisqu’il se centre sur son personnage, Zev, atteint de « démence sénile » bien que j’exècre purement et simplement ces termes, autrement dit d’Alzheimer, et qui traque le soldat SS ayant massacré sa famille au camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz, lors de la Seconde Guerre Mondiale.
Si l’on parvient à faire abstraction de cette forme loin d’être à la hauteur du propos, difficilement je l’admets, il me faut revenir sur le fait que j’ai été séduite par le synopsis du film, qui a le mérite d’être une fiction et de ne pas se révéler être un semi-documentaire sur le sujet, qui m’a semblé, n’hésitez pas à me rectifier, très original et encore jamais traité de la sorte au cinéma. Il s’agit d’une vengeance personnelle, histoires que j’adore, allez savoir pourquoi, d’une personne du troisième âge effectuant un revenge road movie, en somme, auquel le concept de l’excellent Memento de Christopher Nolan s’y greffe ; un Memento d’une personne du troisième âge entreprenant une chasse roadée movie sur fond de vendetta sanglante évoquant les tourments, blessures et traumatismes de la guerre, qui n’en sont ni plus ni moins que la cause.
J’ai donc regardé ce film en partie pour son résumé prometteur sur le papier, mais aussi dans le cadre du challenge de l’été (la nationalité du film est canadienne, pas de chance), mais encore une fois, j’ai été déçue de l’exécution de ce scénario de base, n’étant décidemment pas à la hauteur de celle de Plummer non plus.
En effet, le film aborde énormément de problématiques malheureusement incomplètes dans leur traitement, tout comme le contexte historique antérieur inexistant
De plus, la trame et la narration sont proches de celles d’un thriller lambda et cliché, plates, linéaires, sans aucun relief et prévisibles, car au lieu du maintien du suspens, on nous annonce dès le départ qu’il y aura quatre homonymes de cet SS que Zev recherche, et que l’on se doute bien que le bon d’entre tous sera le dernier qu’il confrontera. Le suspense est avorté avant que la tension n'ait pu être instaurée, même si certaines scènes sont prenantes et les rencontres sympathiques, bien qu’elles ne soient pas parvenues à m’émouvoir, autre aspect plutôt grave, car je n’ai pas été un seul instant victime d’un déferlement émotionnel comme je le souhaitais, ni même ressenti quoique ce soit devant si ce n’était de l’indifférence et de la stupéfaction, dans le mauvais sens du terme.
Les personnages ne sont pas très développés hormis le principal, et tous les secondaires, même Max, sont inutiles, tels que le fils de Zev et sa femme. Les trois premiers homonymes sont caricaturaux et nous apparaissent davantage tels des symboles qu’autre chose, ce qui en soi est assez intelligent, même si un effort davantage conséquent aurait pu être effectué à ce niveau car ce film serait également un drame psychologique à mon sens, alors octroyer une psychologie approfondie aux personnages aurait été bienvenue. Or, concrètement, on n’en retient strictement rien à la fin du film, excepté rapidement une nouvelle fois le personnage de Plummer, qui est assez bien construit.
Enfin, la conclusion, qui se veut être un twist final, est peut-être l’élément-clef le plus décevant du film : elle ne donne pas tout son sens au film comme on aurait pu le croire, même si elle y parvient partiellement, référencée au titre, mais s’avère être un tour de magie du réalisateur car rien, absolument aucun indice ne nous le prouve pendant l’intégralité du visionnage, ce qui ne rendra pas les revisionnages riches en découvertes, non. Et malgré tout, cette fin est ambiguë et très dérangeante par rapport à la morale qu’elle délivre, mettant les victimes et les bourreaux sur un pied d’égalité,
Vous l’aurez compris, j’ai été très déçue de ce film qui sur le papier est incontestablement excellent, mais qui dans les faits se révèle fade, oui, et la fin interrogatrice, pour ne pas dire révoltante. Ou alors, peut-être est-ce moi qui n’ai rien compris au film, mon interprétation ayant été faussée d’emblée par des éléments, aspects et perspectives objectivement moyens.
Un sujet extraordinaire dont en résulte un ensemble froid et quelconque, je refuse.
Remember
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Chloé
Captives
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J'ai vraiment beaucoup aimé ce film.
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