Benoît Jacquot
Réalisateur
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Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 5.79/10Nombre d'évaluations : 87
0 Citations 41 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
J'ai trouvé ce film impressionnant ! Je ne m'attendais pas du tout à cela (normal vu que je n'ai pas lu le livre). L'histoire est juste poignante pour le thème du réalisme ! On voit le moindre détails de l'époque (les costumes, les lieux, la façon de parler etc.) et m'a impressionné ! Quant aux personnages ils sont tous stoïques mais intéressants, cela semble logique qu'ils soient stoïques vu que c'est un thème réalisme. J'ai trouvé ce film très bien faite ! A regarder immédiatement !
Afficher en entierLa troisième adaptation cinématographique du célèbre roman impressionne par la belle reconstitution historique. Costumes, décors, Jacquot récidive la réussite des "Adieux à la reine". Seydoux y trouve là son meilleur rôle à ce jour, les rôles secondaires sont également à la hauteur. Mais quel dommage que la plupart des dialogues soient inaudibles...
Afficher en entierDe très bons acteurs, costumes magnifiques. A part ça bof bof.... Pas grand chose.... Dans l'ensemble c'est assez lent et sans grand intérêt. Dommage que les personnages n'ai pas été plus creusés.
Afficher en entierLe très prolifique Benoit Jacquot nous propose cette fois-ci un film sur le thème du deuil et de ses étapes délicates. L'ambiance n'est pas à la rigolade, rappelle malheureusement des douleurs pour ceux qui ont connu ces passages difficiles mais utilise trop les écarts intellectuels pour aborder son sujet et plombe les émotions. Dommage.
Afficher en entierUn film qui avait l'air prometteur, un peu dans la veine de "L'Homme Idéal" mais j'ai été très déçue.
Isabelle Hupert et Gaspard Ulliel sont vraiment très bons, on y croit vraiment, mais l'histoire en elle-même n'est pas aussi trépidante que ce que j'attendais, je n'ai pas du tout été transportée par le film, malgré de très bonnes performances d'acteurs / actrices.
Afficher en entierUn bon film ou les deux acteurs principaux ont très bien joué leur rôle?
L'histoire est intrigante et au fur et a mesure que l'histoire avance, nous arrivons à la comprendre.
Le film est très bien et j'ai passe un bon moment.
Afficher en entierUn film sans grand intérêt si ce n'est la reconstitution historique (plus ou moins respectée d'ailleurs). Les acteurs sont convaincants et les costumes magnifiques.
Afficher en entierLa filmographie de Jacquot se poursuit, toujours en dent de scie. Malheureusement, ici, nous avons droit au plus bas. Une intrigue dont on se fout, des scènes répétitives, un suspens éventé qui ne marche pas. Seule Isabelle Huppert arrive à nous intriguer...Que l'on se rassure, le réalisateur ne peut guère tomber plus bas.
Afficher en entierCe n'est en soi pas un mauvais film. Les acteurs sont corrects et décors et costumes sont splendides. Pour autant, je n'ai pas apprécié ce film plus que ça. C'était intéressant, mais je ne le re regarderais pas.
Afficher en entierJe suis allée voir ce film au cinéma, et pourtant j'aurais bien aimé avoir des sous-titres, car je ne comprenais rien à ce que Léa Seydoux et Vincent Lindon disaient... Est-ce possible d'articuler ?
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Benoît Jacquot
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Pyramide Films : 3 films
Pyramide Distribution : 3 films
Wild Bunch Distribution : 2 films
Ad Vitam : 1 film
Océan Films : 1 film
ARP Sélection : 1 film
Centre National de la Cinématographie (CNC) : 1 film
Pathé Distribution : 1 film
Biographie
Benoît Jacquot est un jeune cinéphile de 17 ans lorsqu'il débute au cinéma comme assistant de Bernard Borderie sur un film de la série des Angélique. Au début des années 70, il tourne beaucoup pour la télévision, des documentaires (Jacques Lacan psychanalyse I et II) comme des adaptations d’œuvres de Kafka ou Blanchot.
Assistant de Duras sur Nathalie Granger et India Song, il choisit pour son premier film, L'Assassin musicien (1975), de porter à l'écran un roman de Dostoievski. La mise en scène très dépouillée et la diction atone des comédiens semblent faire de lui un héritier de Bresson, une impression que vient confirmer son deuxième opus, Les Enfants du placard. Mais le plus souvent, les films austères de Jacquot peinent à emporter l'adhésion de la critique et du public, y compris Les Ailes de la colombe (1981), ambitieuse adaptation de James avec Isabelle Huppert et Dominique Sanda. A la fin des années 80, c'est en fait grâce à ses travaux autour du théâtre, et destinés à la télévision, que le cinéaste est particulièrement remarqué, notamment grâce au limpide Elvire Jouvet 40.
Avec La Désenchantée, Jacquot prend, en 1990, un nouveau départ. Inspiré par la débutante Judith Godrèche, il signe l'émouvant portrait d'une adolescente exaltée. C'est autour d'une autre jeune comédienne, Virginie Ledoyen, qu'il construit ensuite La Fille seule (1995), oeuvre épurée qui lui vaut les éloges de la presse internationale. Avec Le Septième Ciel, il fait un nouveau pas vers le grand public et dès lors, les stars se bousculent pour être devant sa caméra : Huppert (L' Ecole de la chair, présenté à Cannes en 1998), Adjani (Adolphe) ou encore Deneuve (le téléfilm Princesse Marie).
Le sentiment amoureux est son thème de prédilection, mais Jacquot, devenu un des auteurs les plus prolifiques du cinéma français, fait surtout preuve d'un éclectisme rare : après un nouveau détour par le théâtre (La Fausse Suivante, fausse captation et brillant exercice de style), il signe un film d'époque sur la vie de Sade (2000), mais aussi un opéra (Tosca). En 2004, il surprend encore en tournant en noir et blanc et en DV A tout de suite, récit d'une cavale interprété par Isild Le Besco, sa nouvelle muse, qu'il emmène ensuite en Inde à l'occasion de L'Intouchable, présenté à Venise en 2006.
Il entreprend ensuite un nouveau voyage, pour une île d'Italie cette fois, à l'occasion de Villa Amalia, adaptation du roman de Pascal Quignard, film qui marque ses retrouvailles avec Isabelle Huppert (2009). L'année suivante concrétise les impondérables de son cinéma quand il réunit pour Au fond des bois, sa désormais fétiche Isild Le Besco dans une nouvelle plongée au sein du 19ème siècle, autour d'une variation ambiguë sur le sentiment amoureux.
En 2011, le cinéaste, fidèle à son amour des films en costumes, signe Les Adieux à la reine, une fiction historique qui relate les derniers jours de la Reine Marie-Antoinette, à l'aube de la prise de la Bastille, en 1789. Pour les besoins de cette nouvelle fresque, le réalisateur dirige une belle brochette d'actrices, puisqu'il réunit devant sa caméra Léa Seydoux, Virginie Ledoyen et Diane Kruger.
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