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Notre histoire
Le symbole d'une époque.
Je pense également à la prestation de Miou-Miou, de Brigitte Fossey, de Jeanne Moreau et d'Isabelle Huppert dont c'était les débuts à l'écran.
Je me souviens des critiques qui oscillaient entre la virulence et grand souffle ou la bourrasque à laquelle on ne résiste pas.
Les Valseuses
En effet, en tant que femme, pas évident d'apprécier un film où toutes les nanas sont considérées comme de la chair fraîche mise à libre disposition de nos deux protagonistes. Ce duo est d'ailleurs présenté dans le résumé comme des "révoltés", ce qui est l'euphémisme du siècle : ils ne sont ni plus ni moins que des hommes complètement immatures au comportement immonde - mais comme ils sont beaux et malins, on leur pardonne, n'est-ce pas ?
Autrement, c'est bien écrit, bien joué, bien filmé. Mais le propos est nauséabond, surtout parce qu'il est difficile de percevoir le positionnement du cinéaste par rapport aux frasques de ses personnages. Ainsi, la majorité des rapports sexuels dépeints sont tout simplement des viols, mais ne sont jamais reconnus comme tels - et ça ne m'étonnerait pas que ni le réalisateur, ni les acteurs n'en aient eu conscience. Tout est présenté sous couvert de la fameuse libération sexuelle (ce qui, rétrospectivement, montre bien l’ambiguïté de ce mouvement, pas vraiment à l'avantage des femmes).
Peut-être aurais-je été moins mal à l'aise si j'avais vu ce film en connaissance de cause, en m'attendant à une comédie érotique dépeignant des fantasmes très masculins. Je l'aurais pris moins au sérieux, sans doute.
Les Valseuses
Combien tu m'aimes ?
Les acteurs
Buffet froid
Merci la vie
Tenue de soirée
Mais c’est pas très grave : le film n’en a pas non plus.
C’est la mode du genre Beckett, Ionesco, on parle pour ne rien dire…
Il y a une idée donnée dès le début : Clavier et Depardieu (laborieux tous les deux) sont des personnages qui errent sans but en suivant un scénario.
Sauf que la blague, la mise en abyme est amusante la première fois. Eventuellement la seconde. A la 300ème, on se lasse méchamment…
Donc vas-y, ils vont dans une boulangerie, un bar, une night-club… Ils pourrait aussi bien visiter un garage, le métro, l’Australie ou la lune que ça serait pareil, on s’en fout du sens, on remplit comme on peut ce film d’1h19 qui en paraissent 50, ce film qui pourrait durer 10 minutes comme 10 jours…
C’est du sous-Dupieux pas inspiré, du sous-Mocky sans charme…
Bref, j’ai pas aimé.
Convoi exceptionnel
Ce vulgaire là c'est de l'art !
Calmos
Préparez vos mouchoirs
Trop belle pour toi
A mon sens, pour qu'un film (ou un livre) absurde fonctionne, il faut quand même que malgré l'absurdité, on arrive à traiter correctement d'un thème, grave de préférence. Il faut qu'on offre un ton décalé, mais qui n'empêche pas d'être sérieux quand il le faut. Et il y avait pourtant tellement de matière à aller explorer dans ce film, avec l'alcoolisme du personnage principal, sa situation d'échec, sa dépression, sa folie, son cancer,... Mais jamais on ne va l'explorer. Ou pas réellement. On n'en propose pas un traitement très sérieux, comme si on avait voulu faire une comédie plus qu'un drame. Sauf que ça ne marche pas plus, car c'est pas vraiment drôle quoi. L'humour n'est pas suffisamment présent pour faire basculer le film dans la comédie. L'ensemble peine à nous atteindre, à nous faire nous attacher aux personnages, et à nous toucher.
Résultat ? Bah au bout d'une toute petite demi-heure à peine, on commence sérieusement à s'ennuyer. L'impression que tout à déjà été dit. Que le film n'a plus rien à nous apporter. Qu'un format court ou moyen métrage aurait été plus adapté. Il nous aurait en tout cas épargné les développements et le final too much à souhait, et un peu de mauvais goût quand même.
Je mets tout de même le film en vu aussi, car j'ai apprécié la prestations des acteurs principaux. On retrouve un Jean Dujardin en grande forme, qui porte complètement sur ses épaules le film, avec son interprétation juste et très sensible. Dans un tout autre style, Albert Dupontel est survolté comme on l'aime. Anne Alvaro est quand à elle discrète mais elle propose un jeu délicat et convainquant. La réalisation est également plutôt agréable.
Le bruit des glaçons
Convoi exceptionnel
Calmos