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Billy Wilder

Réalisateur

716 spectateurs

Activité et points forts

ajouté par beckygirly 2013-12-21T21:47:20+01:00

Biographie

Billy Wilder est un scénariste, réalisateur et producteur naturalisé américain, né le 22 juin 1906 en Autriche et mort le 27 mars 2002 à Beverly Hills Californie (USA).

Après des études de droit au milieu des années 20, Billy Wilder débute comme journaliste à Vienne et trouve très vite sa voie dans l'écriture. Il devient scénariste pour la UFA et ouvre sa carrière par Les Hommes le dimanche de Robert Siodmak (1930). Le succès est immédiat et Wilder multiplie les collaborations. La montée d'Hitler au pouvoir le contraint à l'exil dès 1933. Il fait une halte en France, le temps pour lui de s'essayer à la mise en scène (Mauvaise graine), et s'expatrie aux Etats-Unis.

Ne parlant pas un mot d'anglais à son arrivée, il s'adapte, apprend la langue et reprend la plume, cette fois en anglais. Se contentant de traduire, ou de faire traduire, les scripts qu'il avait écrits en Europe, Wilder ronge son frein. Sa rencontre avec Charles Brackett s'avère déterminante. Le duo de scénaristes-dialoguistes délivre quelques joyaux de la comédie, pour Ernst Lubitsch (La Huitieme Femme de Barbe-Bleue, Ninotchka) ou encore Howard Hawks (Boule de feu, et son remake Si bemol et fa diese).

Sous contrat avec la Paramount, il reprend sa place derrière la caméra. Il impose dès son troisième film américain un univers personnel. Adapté de James M. Cain, Assurance sur la mort (1944) est un modèle de film noir. Il creuse cette veine sombre avec sa réalisation suivante, Le Poison (1945), où il aborde sans fard le thème de l'alcoolisme. Sous les yeux du spectateur, le héros (Ray Milland, oscarisé pour le rôle) sombre dans la déchéance. Le film vaut à Wilder le premier des six Oscars qu'il décrochera dans sa carrière. A l'avenir, Wilder ne fera plus montre d'une telle noirceur, mais ne se départira jamais pour autant d'une tonalité sombre, même dans ses comédies les plus débridées.

Son écriture ciselée, à laquelle Brackett et plus tard I.A.L Diamond ne sont pas étrangers, brille dans tous les genres, de la fable sociale (Le Gouffre aux chimères, son film préféré), politique (Un, deux, trois) au film policier (Temoin a charge). Mais le genre de prédilection de Wilder reste la comédie. Epaulé de quelques-uns de ses acteurs favoris, Walter Matthau, Jack Lemmon, William Holden ou encore Shirley McLaine, il passe maître dans l'art de la réplique qui fait mouche (La Garçonnière, La Grande combine) ou le cynisme (Stalag 17) le dispute à la loufoquerie (Certains l'aiment chaud, Sept ans de reflexion).

La filmographie du cinéaste ménage une place importante à la nostalgie. Les chroniques douces-amères y abondent, qu'elles prennent pour cadre Hollywood (Boulevard du crépuscule en 1949, Fedora en 1978) ou qu'elles mettent en scène un personnage romanesque (La Vie privée de Sherlock Holmes en 1970). Après avoir mis en scène vingt-six longs métrages et rédigé plus de soixante-dix scénarios, Billy Wilder prend sa retraite en 1981, à l'âge de soixante-quinze ans. Jusqu'à sa mort, il continue de recevoir les plus grands hommages du monde du septième art, dont un Ours d'or d'honneur à la Berlinale (1993).

(source: Allociné)

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Classement dans les cinéthèques

Diamant
147 spectateurs
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312 spectateurs
Argent
233 spectateurs
Bronze
184 spectateurs
Vu aussi
218 spectateurs
Envies
169 spectateurs
Pas apprécié
12 spectateurs
PAV
85 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.94/10
Nombre d'évaluations : 193

3 Citations 67 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Billy Wilder

Sortie France : 2018-01-31

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par Eastwood 2021-07-23T13:22:16+02:00
Sept ans de réflexion

Je n'avais pas encore vu ce classique de Marilyn Monroe. Le parfum sulfureux que dégageait le film à sa sortie paraît bien désuet aujourd'hui. Cette histoire tirée d'une pièce de théâtre à succès est en soit banale et vaut surtout pour la plaisante plastique de la célèbre actrice. Cependant c'est une gentille petite comédie de mœurs qui se laisse regarder.

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Commentaire ajouté par KmiCM 2021-08-03T11:45:14+02:00
Certains l'aiment chaud

Un grand classique hollywoodien qui reste incroyable malgré le temps qui passe!

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Commentaire ajouté par Citron38 2022-07-06T19:41:20+02:00
Certains l'aiment chaud

Superbe comédie.

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Commentaire ajouté par Maniemanon 2022-12-04T19:05:17+01:00
Certains l'aiment chaud

Un film culte à voir au moins une fois dans sa vie, extrêmement drôle. Il est très intéressant en ce qui concerne des sujets qu'il dénonce Spoiler(cliquez pour révéler)tel que le comportement déplacé de certains hommes envers les femmes, toujours d'actualité, que subi un des hommes.

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Commentaire ajouté par pwachevski 2023-02-11T20:36:53+01:00
Un, Deux, Trois

Il est excessif de dire que je n'aime pas Billy Wilder, dans la mesure où, très honnêtement, je ne connais qu'une part infime de son travail. Mais j'ai toujours un a priori avec lui car je bloque totalement sur ce que je crois être son film le plus célèbre : Certains l'aiment chaud. Sans dire que la cancel culture c'est génial, il y a quand même très naturellement des intrigues qui restent universelles et d'autres qui ne parleront plus au public 10-20-30-40 ans plus tard. Enfin bref : je ne comprends pas comment une comédie basée sur une blague aussi gênante et désuète que "des hommes se déguisent en femmes et peut-être même qu'ils sont pédés" ne soit pas tombée dans l'oubli... Et j'ai donc toujours avec lui la crainte de tomber sur un film du même niveau.

Alors qu'on se le dise, cette comédie n'est pas toujours très fine non plus. Le traitement des personnages féminins est catastrophique : un objet, une bonniche ou une épouse gênante, vous préférez être quoi ? On joue sur des clichés énormes sur les trois pays (Allemagne = nazis, Russie = communistes, États-Unis = capitalisme, aucune nuance possible) et on va même reprendre le gag du travestissement. Mais elle dispose d'un fond politico-économique que j'ai trouvé très pertinent, et qui relève le niveau.

Mais surtout, j'ai été complètement emballée par la prestation d'acteur de James Cagney, qui est monté sur ressort, a une énergie folle, un débit impressionnant - surtout dans la seconde moitié du film. Il porte littéralement le film sur ses épaules, tout tourne autour de lui, il donne le ton et le rythme, et quel rythme. C'est un film sans aucun temps mort, finalement extrêmement distrayant et que j'ai même trouvé franchement drôle, malgré les réserves exprimées ci-dessus.

Deux réflexions/questions annexes que je souhaite partager :

- Si j'ai le choix, je regarde les films en VO, et dans ma version en tout cas, la grande majorité des phrases en allemand (prononcées ou écrites, dans les publicités, affiches, etc.) n'étaient pas traduites. C'est un bug de ma version ou un vrai choix du réalisateur ? Car si c'est un choix, je ne l'ai pas compris. Je suis loin d'être bilingue allemand, mais je percevais quand même l'essentiel du sens, et je pense que c'est un vrai manque par moment si on ne comprends pas ce qui est dit Spoiler(cliquez pour révéler)(la scène de l'interrogatoire notamment)

- Je n'ai pas réussi à trouver d'information à ce sujet sur internet, mais je me demande vraiment s'il faut voir un lien entre le nom du personnage principal, C. R. MacNamara, et le controversé ministre américain Robert NcNamara ; la proximité entre les deux noms de famille (en plus pas très courants) et ce mystérieux "R." sont quand même troublants. Pendant le visionnage j'étais sincèrement persuadée que la cupidité, l'ambition toxique et l'égocentrisme de C. R. MacNamara était une critique a peine dissimulée contre Robert NcNamara et un ressort essentiel du film, aussi bien pour son humour que pour sa portée politique. Sauf qu'après vérification, je n'en suis plus vraiment certaine : le film date de 1961 et Robert NcNamara est devenu ministre la même année. Donc l'essentiel de sa carrière, et les choses les plus dérangeantes de sa carrière, n'ont pas encore eu lieu... A moins que Robert NcNamara était déjà suffisamment connu et controversé, avant même d'être ministre, pour mériter ce traitement ? J'avoue que le sujet dépasse ici mon champ de connaissance.

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Commentaire ajouté par Rayathea 2023-03-19T22:27:36+01:00
Ariane

Charmante comédie romantique signée Billy Wilder,dans laquelle une jeune violoncelliste va tomber sous le charme d'un tombeur international. Comme bien souvent chez le réalisateur la comédie est finement ciselé,cependant le rythme est parfois un peu en dessous du reste,mais tout ça à tout de même un grand atout de séduction qui en fait un très bon Wilder.

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Commentaire ajouté par Kami-Kirimusi 2023-05-03T21:41:41+02:00
Avanti !

Je n'ai pas particulièrement aimé ce film ni détesté, mais je préfère "Certains l'aiment chaud" quand même !

Jack Lemmon campe un milliardaire bien avisé qui s'envole pour l'Europe afin de rapatrier le corps de son père. Sur place, il y fera des découvertes...et pourquoi pas aussi l'amour ?

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Commentaire ajouté par Cellophane 2023-05-30T09:19:03+02:00
Ariane

Bien sûr, le film a vieilli.

Il faut le voir en se remettant dans le contexte de l’époque, domination masculine et jeune fille bien élevée et bien sage.

Encore que ça reste assez moderne pour un film de 57.

Mais quel plaisir de voir le minois d’Audrey, sa fraîcheur, sa justesse, son énergie faussement naïve.

Etonnant et drôle Maurice Chevalier…

Beaucoup d’humour dans le scénario et une réalisation impeccable…

Il n’y a que Gary Cooper que je n’ai pas trouvé séduisant et presque plutôt à baffer…

Mais quelques scènes sont très amusantes à suivre, comme l’arrivée d’Audrey dans la chambre, la discussion Cooper/Chevalier ou l’excellent mari trompé !

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Commentaire ajouté par Kascobol 2024-01-23T00:36:58+01:00
Stalag 17

Le réalisateur nous fait croire à’une comédie légère, mais en fait, il signe un bon film de guerre sur le quotidien des prisonniers de guerre.

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Commentaire ajouté par Cellophane 2024-01-30T14:00:08+01:00
Stalag 17

Regarder un film 70 ans après sa sortie, c’est étonnant.

D’un côté, on réalise que l’époque n’a pas totalement changée : les dialogues, le réalisme, la réalisation n’ont pas vieilli comme du vieux français et on pourrait croire ça moins vieux…

D’un autre côté, il y a ce petit côté caricatural des années 50, Robert Strauss qui ressemble à Fernandel dans ses excès, une impulsivité de comédiens et des changements de réaction ultra-rapide sans subtilité qui peuvent faire adorer quelqu’un qu’on haïssait trois secondes plus tôt…

Cela étant, tout est bien mené et on passe un excellent moment dans ce quasi huis clos (plus facile à réaliser puisqu’il vient d’une pièce de théâtre…) avec sans cesse des petites idées ici et là, des sujets qui relancent l’intérêt sur une trame où l’on recherche un traitre, trame efficace…

Histoire d’évasion, de prisonnier, rien de particulièrement original depuis mais agréable à regarder, surtout avec le ton résolument badin que Wilder a voulu donner en mettant des allemands lourdauds, amusants et un peu bête dans des privations assez fantoches et pas très douloureuses pour nos américains bien portants et quasi grassouillets…

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