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Certains l'aiment chaud
Certains l'aiment chaud
Certains l'aiment chaud
D’un côté, on réalise que l’époque n’a pas totalement changée : les dialogues, le réalisme, la réalisation n’ont pas vieilli comme du vieux français et on pourrait croire ça moins vieux…
D’un autre côté, il y a ce petit côté caricatural des années 50, Robert Strauss qui ressemble à Fernandel dans ses excès, une impulsivité de comédiens et des changements de réaction ultra-rapide sans subtilité qui peuvent faire adorer quelqu’un qu’on haïssait trois secondes plus tôt…
Cela étant, tout est bien mené et on passe un excellent moment dans ce quasi huis clos (plus facile à réaliser puisqu’il vient d’une pièce de théâtre…) avec sans cesse des petites idées ici et là, des sujets qui relancent l’intérêt sur une trame où l’on recherche un traitre, trame efficace…
Histoire d’évasion, de prisonnier, rien de particulièrement original depuis mais agréable à regarder, surtout avec le ton résolument badin que Wilder a voulu donner en mettant des allemands lourdauds, amusants et un peu bête dans des privations assez fantoches et pas très douloureuses pour nos américains bien portants et quasi grassouillets…
Stalag 17
Stalag 17
Il faut le voir en se remettant dans le contexte de l’époque, domination masculine et jeune fille bien élevée et bien sage.
Encore que ça reste assez moderne pour un film de 57.
Mais quel plaisir de voir le minois d’Audrey, sa fraîcheur, sa justesse, son énergie faussement naïve.
Etonnant et drôle Maurice Chevalier…
Beaucoup d’humour dans le scénario et une réalisation impeccable…
Il n’y a que Gary Cooper que je n’ai pas trouvé séduisant et presque plutôt à baffer…
Mais quelques scènes sont très amusantes à suivre, comme l’arrivée d’Audrey dans la chambre, la discussion Cooper/Chevalier ou l’excellent mari trompé !
Ariane
Jack Lemmon campe un milliardaire bien avisé qui s'envole pour l'Europe afin de rapatrier le corps de son père. Sur place, il y fera des découvertes...et pourquoi pas aussi l'amour ?
Avanti !
Ariane
Alors qu'on se le dise, cette comédie n'est pas toujours très fine non plus. Le traitement des personnages féminins est catastrophique : un objet, une bonniche ou une épouse gênante, vous préférez être quoi ? On joue sur des clichés énormes sur les trois pays (Allemagne = nazis, Russie = communistes, États-Unis = capitalisme, aucune nuance possible) et on va même reprendre le gag du travestissement. Mais elle dispose d'un fond politico-économique que j'ai trouvé très pertinent, et qui relève le niveau.
Mais surtout, j'ai été complètement emballée par la prestation d'acteur de James Cagney, qui est monté sur ressort, a une énergie folle, un débit impressionnant - surtout dans la seconde moitié du film. Il porte littéralement le film sur ses épaules, tout tourne autour de lui, il donne le ton et le rythme, et quel rythme. C'est un film sans aucun temps mort, finalement extrêmement distrayant et que j'ai même trouvé franchement drôle, malgré les réserves exprimées ci-dessus.
Deux réflexions/questions annexes que je souhaite partager :
- Si j'ai le choix, je regarde les films en VO, et dans ma version en tout cas, la grande majorité des phrases en allemand (prononcées ou écrites, dans les publicités, affiches, etc.) n'étaient pas traduites. C'est un bug de ma version ou un vrai choix du réalisateur ? Car si c'est un choix, je ne l'ai pas compris. Je suis loin d'être bilingue allemand, mais je percevais quand même l'essentiel du sens, et je pense que c'est un vrai manque par moment si on ne comprends pas ce qui est dit
- Je n'ai pas réussi à trouver d'information à ce sujet sur internet, mais je me demande vraiment s'il faut voir un lien entre le nom du personnage principal, C. R. MacNamara, et le controversé ministre américain Robert NcNamara ; la proximité entre les deux noms de famille (en plus pas très courants) et ce mystérieux "R." sont quand même troublants. Pendant le visionnage j'étais sincèrement persuadée que la cupidité, l'ambition toxique et l'égocentrisme de C. R. MacNamara était une critique a peine dissimulée contre Robert NcNamara et un ressort essentiel du film, aussi bien pour son humour que pour sa portée politique. Sauf qu'après vérification, je n'en suis plus vraiment certaine : le film date de 1961 et Robert NcNamara est devenu ministre la même année. Donc l'essentiel de sa carrière, et les choses les plus dérangeantes de sa carrière, n'ont pas encore eu lieu... A moins que Robert NcNamara était déjà suffisamment connu et controversé, avant même d'être ministre, pour mériter ce traitement ? J'avoue que le sujet dépasse ici mon champ de connaissance.
Un, Deux, Trois
Certains l'aiment chaud
Certains l'aiment chaud
Certains l'aiment chaud
Sept ans de réflexion
Sabrina
Une comédie sentimentale oui, pas à mourir de rire, ça c'est sûr ! C'est un peu apprêté. J'ai quand même regarde jusqu'au bout
Sabrina