Bruno Podalydès
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.22/10Nombre d'évaluations : 89
0 Citations 34 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
un film lunaire et poétique sur les petits bonheurs de la vie. Une petite friandise que se déguste avec plaisir.
Afficher en entierCe film est tiré d'une bande dessinée et très bien repris. Je me suis bien amusé à le voir.
Afficher en entierUn film vraiment pour les enfants, humour un peu lourd parfois et vraiment sans intérêt. Je trouve que Bécassine n'est pas totalement la même que dans la bande dessiné. Elle parle dans un français correct et depuis quand invente-t-elle des inventions géniales ? Elle est censé être maladroite et ne pas avoir de cervelle. Par contre, elle a du cœur, comme dans la bd.
Afficher en entierCurieuse idée que de vouloir adapter le personnage très désuet de Bécassine. Et pourtant, le charme opère. La reconstitution historique est plaisante, la photographie est lumineuse, quelques idées émerveillent et l'émotion est souvent présente.. Dommage que le scénario ne soit qu'une succession de situations plus ou moins prenante.
Afficher en entierCertains passages vraiment très drôles
Afficher en entierUn film agréable et plaisant . Quelques bons moments de rire, au milieu des gags un peu plus lourds. Une critique de nos nouveaux modes de travail . Les acteurs principaux sont au top.
Afficher en entierLe scenario n'a rien d'extraordinaire, mais l'intérêt du film vient de la performance des acteurs. En tout cas, il se moque efficacement de ces entreprises qui s'imposent un management soi-disant moderne et cool, avec un verbiage aussi décalé qu'inutile. Il se moque en même temps des évolutions de nos sociétés face au progrès technologique. Alors oui, c'est une parodie, donc une exagération de ce que pourrait être l'avenir, et c'est à ça que servent les fictions. Les acteurs sont parfaits, et la mise en scène calme. On n'oublie pas les petites scènes de romance et épisodes de la vie familiale, véritables invariants dans un monde qui va de plus en plus vite. Bref, un film sympa, et rassurant au final.
Afficher en entierCe film est une jolie critique des emplois précaire actuel, de la modernisation angliciste des start-up qui parlent bizarre et inventent des façons de travailler hallucinantes.
Bon, le point de départ est super bancal : pourquoi cette société qu’on ne comprend pas trop ce qu’elle fait veut absolument aller dans ce petit patelin ? Dis donc comment ça tombe bien que Podalydes cherche un boulot et vienne de ce patelin ! Ouiiiiii, malgré toute son incompétence, il est embauché ?
A part ça, il y a quelques scènes sympas, surtout dans les idées pour Arcimboldo et dans le jeu de Sandrine Kimberlain.
Mais outre que ça sonne parfois un peu naïf, c’est super redondant et à force de tourner en rond, un peu ennuyeux… Et je n’ai jamais vu Vanessa Paradis aussi mauvaise !!!
C’est bien fait, alors ça passe, mais ça ne me restera pas en tête des années…
Afficher en entierUn homme va jusqu'au bout de son rêve : naviguer sur son voilier alors qu'il n'y connaît rien. Aucun détail n'est laissé au hasard (en apparence) : ouverture d'un carnet de bord, étude de marché, achat de tout le matériel nécessaire (dont la casquette de capitaine), corne de brume, apprentissage des nœuds marins...
Dans cette démarche maniaque, il sera aveugle à tous les signes signes négatifs (vendeurs du bateau incompétents/roublards, vraie valeur du bateau,...).
En étant plus ou moins sourd, de surcroît, aux aspirations des membres de sa famille (désir de patio de sa femme, désirs sexuels de son aîné, désir de théâtre du second...).
Et comment tout cela aboutit au fiasco, comment l'illusion du contrôle total aboutit à la "catastrophe" annoncée, au pétage de plombs.
Une comédie avec une structure tragique ; et des personnages très justes ...
Afficher en entierL'agence immobiliére Wahou et ses 2 agents présentent, pour les vendre un appartement et une ancienne maison avec "beaucoup de cachet".
Voilà pour résumer le sujet de ce Wahou !, sorte de film à sketch basé sur les présentations que vont effectuer les deux agents auprés de différents potentiels acheteurs plus ou moins conciliants, agréable, et aux aspirations réelles parfois douteuses. On oscille entre rire et soupir selon les sketchs, malgré un casting qui envoie avec entre autre Karin Viard, Bruno Podalydes, Sabine Azema, Eddy Mitchell, Agnes Jaoui, Manu Payet, Felix Moati, Roschdy Zem ou encore Denis Podalydés. Un peu moins d'une heure 30 de film qui n'aura jamais totalement l'effet escompté mais permet de passé un moment agréable, même si on l'oubliera bien vite...
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Dédicaces de Bruno Podalydès
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Biographie
Bruno Podalydès est un scénariste, réalisateur et acteur français, né le 11 mars 1961 à Versailles (Yvelines). Il est le frère de l'acteur Denis Podalydès.
Il fut élève du lycée Hoche à Versailles en seconde. Son père était pharmacien et sa mère professeur d'anglais. Sa grand-mère maternelle dirigeait la librairie Ruat à Versailles.
Il a d'abord réalisé des films d'entreprises pour Air France2.
Son premier film Versailles Rive-Gauche, un moyen métrage, est très remarqué et remporte le Prix du Public et une mention du Jury au festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand, le prix du jury et de la critique au festival de Chamrousse et enfin le César du meilleur court-métrage en 1993.
Il réalise en 1994 un deuxième court-métrage « Voilà » sélectionné à la Mostra de Venise.
Entre avril 1994 et septembre 1995, Bruno Podalydès tient une chronique dans les Cahiers du cinéma intitulée « L'un n'empêche pas l'autre »
Son premier long métrage, Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers) met en scène un jeune homme hésitant, Albert Jeanjean qui au cours du film rencontre trois femmes qui vont le faire évoluer. C'est le second volet de la trilogie des gares. Alors que Bruno Podalydès a voulu que Versailles Rive-Gauche relève essentiellement du comique de situation, il conçoit ce second volet comme une comédie de caractère. Il existe aussi une version longue du film sous forme de six épisodes, dite version interminable, initialement conçue comme une série pour la télévision et finalement sortie en DVD en novembre 2008. Le film reçoit le César de la meilleure première œuvre en 1999.
Liberté-Oléron (2001) est une comédie sur les vacances.
Bruno Podalydès a tourné deux adaptations de l'œuvre de Gaston Leroux avec comme héros Joseph Rouletabille et son comparse Sainclair, Le Mystère de la chambre jaune et Le Parfum de la dame en noir.
En 2009, il clôt la Trilogie des gares avec Bancs publics (Versailles Rive-Droite). Le film est un échec public relatif avec un total de 260 000 entrées.
En 2011, il réalise Adieu Berthe, l'enterrement de Mémé. Le film, écrit avec son frère Denis, est conçu comme une suite de Liberté Oléron6. Le film est sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs au 65e Festival de Cannes 2012. Le film y est bien accueilli avec une « standing ovation ». Avec 660 000 entrées en France, le film est aussi un succès en salle après l'échec relatif du précédent film.
Pour la réalisation de son film Vous n'avez encore rien vu, Alain Resnais demande à Bruno Podalydès de mettre en scène Eurydice de Jean Anouilh avec une troupe de jeunes acteurs. Les images de Bruno Podalydès sont ensuite projetées aux acteurs/personnages du film de Resnais qui se remémorent alors la manière dont ils ont eux-mêmes joués les différents rôles de la pièce.
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