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Commentaires sur ses livres

Cédric Klapisch

Par PowLeen le 30 Septembre 2019 Editer
PowLeen
J'ai trouvé que le film était un peu long... globalement je m'attendais à quelque chose de plus intense. J'aime les acteurs principaux et les interprètes des seconds rôles également mais l'ensemble ne m'a pas vraiment convaincue...
A propos du livre :
Deux moi
Deux moi
Par Eparm12 le 23 Décembre 2014 Editer
Eparm12
J'ai beaucoup aimé ce film. Assez marrant, mais ce n'est pas tant le fait que j'ai rigolé parfois qui m'a fait adhérer au film, c'est plutôt son ambiance générale qui m'a séduite. Toutes ces petites trouvailles dans l'intrigue, ces personnes venues d'ailleurs qui se retrouvent dans un appart à habiter les unes avec les autres, la découverte d'autres cultures, l'ensemble rend le film vivifiant, très réaliste, on se croit dedans et on se dit que ce serait une formidable expérience que de partir comme ça, à l'aventure dans un pays étranger.

Le casting est judicieux, les acteurs sont très bons, les musiques magnifiques, l'air de l'Espagne se fait ressentir et ça fait du bien! Beaucoup de bien! J'ai passé un très bon moment et je conseille ce film. Je regrette simplement quelques temps morts et des passages un peu longs, mais le film est si bien fait que ces défauts sont comblés et passent presque inaperçus.
A propos du livre :
L'Auberge Espagnole
L'Auberge Espagnole
Par sylvains7 le 1 Octobre 2018 Editer
sylvains7
Coté scénario rien de bien original, ce qui ne veut pas dire déception. Les bons sentiments, les relations familiales, le temps qui passe sont des sujets qui font toujours mouche. C'est surtout du coté de la réalisation qu'il faut chercher les atouts. Jamais ma région natale n'avait été aussi bien portée à l'écran. Et jamais le travail des viticulteurs n'a été aussi bien décrit dans une fiction. Rien que pour cela, ce film vaut d'être vu.
A propos du livre :
Ce qui nous lie
Ce qui nous lie
Par jujulieee le 3 Juin 2017 Editer
jujulieee
Ce film est une pure merveille! Les images et le montage sont superbes, ce jeu sur les saisons donne un charme immense.
Pour l'histoire, j'ai trouvé les liens frères-sœur extrêmement bien exploités et très réels. Le milieu du vin dans lequel on est plongé est plus qu'un simple décor, on apprend à s'attacher à cet environnement autant qu'aux personnages.
Ensuite, je ne sais pas si c'est une habitude de l'auteur mais l'humour est très agréable :)
A propos du livre :
Ce qui nous lie
Ce qui nous lie
Par mimi92 le 12 Septembre 2023 Editer
mimi92
J'ai passé un agréable moment devant Ce qui nous lie. C'est à la fois un très bon film sur les relations entre frères et sœurs, distordues par la distance et le temps passé loin de l'autre et sur la viticulture. Les personnages sont entiers, rendus touchants et intéressants par leurs multiples qualités et défauts. La force de ce récit est que les personnages et les situations sont suffisamment en chaire pour que nous croyons sincèrement à leur histoire.
Le point d'attention porté sur la viticulture est tout aussi intéressant et réussi. J'ai aimé suivre les vendanges, comprendre à quel moment ces dernières doivent commencer, saisir la part d'instinct et d'expérience présente dans les décisions importantes prises par le viticulteur, complétée par les informations apportées par les sciences dures. Ce qui nous lie nous fait suivre presque toutes les étapes de la fabrication de vin au milieu de magnifiques paysages, composant la toile de fond d'une histoire très touchante sur les rapports humains, la famille et l'héritage.
A propos du livre :
Ce qui nous lie
Ce qui nous lie
Par Camille45 le 31 Mai 2022 Editer
Camille45
Un film absolument magnifique et que je recommande à tous !
Les scènes de danse sont émerveillantes et donnent envie de danser tout le temps du film. Il y a une énergie folle qui se dégage.
En plus de ça le casting est excellent et on rigole bien pendant certaines scènes ! Petit bémol sur le jeu d'actrice de Marion Barbeau mais ce n'est pas son métier et elle danse tellement bien qu'on la pardonne très vite !
On note aussi une juste comparaison entre la danse classique et la danse contemporaine par les lieux que chaque danse fréquente dans Paris. C'est très agréable de visiter la ville par ce biais.
A propos du livre :
En corps
En corps
Par Lurmione le 24 Avril 2022 Editer
Lurmione
Une pépite visuelle avec un début de film magnifique entre lumières et spectacles. L'histoire est belle et l'héroïne ni glorifiée ni ennuyante, on plonge dans son chagrin et ses timides envies. On apprécie la beauté de la danse mais aussi de ses amitiés, de ses relations. Une ode à la vie, à la danse et aux rêves qu'on doit poursuivre ou laisser pour en suivre de nouveaux !
A propos du livre :
En corps
En corps
Par PulcoCitronnade le 7 Avril 2022 Editer
PulcoCitronnade
Un film magnifique. Un vrai film feel-good qui nous fait ressentir plein d'émotions différentes, tout en restant très simple. J'ai trouvé qu'il tombait très juste. De belles scènes, j'ai beaucoup aimé la façon de filmer. Et surtout, nous avons eu l'opportunité d'assister à des spectacles de danse à travers le film donc super perspective ! Je le conseille volontiers !
A propos du livre :
En corps
En corps
Par pwachevski le 3 Avril 2022 Editer
pwachevski
Franchement, je partais pleine de confiance vers ce film : un casting sympa, un réalisateur sympa, des thématiques actuelles, et la promesse d'un truc plus original qu'une énième comédie romantique à deux balles. Bref, peut-être pas le film de l'année, mais au moins la promesse de passer un agréable moment. Mais c'est souvent quand on est le plus confiant qu'on est le plus déçu.

Je m'attendais pas du tout à cette ambiance, finalement très dramatique, la romance qu'on semblait pourtant nous promettre dès le départ, on n'en voit quasiment pas la couleur, et si comédie il y avait, elle n'a pas du tout su m'atteindre. J'ai trouvé qu'il y avait quelque chose d'assez pesant dans ce film, qui a sûrement vouloir être réaliste, se prend finalement peut-être un peu trop au sérieux, trop premier degré... Et sans pour autant être très réaliste, justement. On enchaîne tout de même une série d'énormes clichés, de l'insomnie où tu regardes un truc improbable sur Arte à la séance chez un psy caricatural à mort, de la scène gênant en famille "quoi tu as une dépression ? Tu es fou ?" (non, plus personne ne dit/pense ça) aux cauchemars tout aussi gênant, du travail déshumanisé aux transports en commun plein de miasmes, sans oublier la critique des réseaux sociaux écrite avec les pieds, à ça de t'expliquer que "moi quand j'avais ton âge, je recevais une pelure d'orange moisie à noël et j'étais heureux". A trop vouloir montrer la solitude du citadin moyen, on finit par créer des personnages aussi transparents et interchangeables que les inconnus qu'on croise dans la rue, pour lesquels on n'a aucune empathie, et auxquels on n'a pas envie de ressembler en fait. Oh et puis ce rythme absolument inexistant : au secours.

Cédirc Klapisch a toujours parlé de la jeunesse dans ses films, ce qui est un pari risqué sur le long terme, car on s'éloigne forcément tous les jours un peu plus de ce dont on parle. J'avais aimé "Ce qui nous lie", son précédent film, parce qu'il arrivait à continuer à parler de la jeunesse, avec la tendresse dans le regard d'une personne plus âgée sur les erreurs des plus jeunes ; je n'avais pas du tout ressenti de jugement ou d'incompréhension du réalisateur vis-à-vis des personnages qu'il présentait. Avec "Deux moi", on a par contre basculé dans autre chose. Là j'ai eu carrément l'impression de voir un film sur la jeunesse fait par un vieux con qui ne comprend absolument pas de quoi il parle, et dont le problème qu'il a avec les jeunes d'aujourd'hui, c'est juste qu'il en fait plus partie. Un naufrage donc.
A propos du livre :
Deux moi
Deux moi
Par MissFantastique le 18 Mai 2020 Editer
MissFantastique
Comme dans le Péril jeune, je retrouve dans l'Auberge espagnole cette vibration que Klapisch insuffle à ses films : un souffle, puissant, dynamique, étourdissant, celui de la jeunesse.

Histoire d'un jeune qui part étudier à l'étranger, ce film est une ode à la convivialité, à la diversité, à la découverte et au partage humain qui transcendent les barrières de la langue ou des pays : Erasmus, synonyme d'une Europe unie et fraternelle.

Si le tableau paraît à première vue un peu cliché, voire utopiste, il fait figure de cadre chaleureux et bienveillant dans lequel on a envie de se perdre à notre tour : on veut rencontrer les colocataires de Xavier, que les acteurs rendent d'autant plus attachants (j'apprécie particulièrement la prestation de Cécile de France) on veut partager cet appartement avec eux, on veut vivre cette vie, entre études, amitiés, amours, bêtises et folies.

C'est la vie, rien qu'un tableau de vie, et c'est là tout le charme de ce film.
Klapisch nous présente un destin, une quête, celle de Xavier qui cherche à savoir qui il est : la quête d'une vie, quête universelle à la laquelle nous nous destinons tous.
L'identification avec Xavier a été immédiate : voulant intégrer un métier au ministère pour impressionner son père, il ne sait pas réellement ce qu'il veut parce qu'il ne se connaît pas lui-même.
Perdu, à la dérive, cette expérience en Espagne est une révélation : elle lui ouvre les yeux sur ce qu'il est vraiment, et ce pour quoi il est fait, l'écriture.

Spoiler(cliquez pour révéler)
Cette scène finale, où l'on voit Xavier courir à toute allure, fuyant le ministère et son bureau, souriant de toutes ses dents m'a réellement émue, j'en ai eu des frissons, et je criais devant mon écran "Cours Xavier, cours ! Sauve-toi, pars !" Peut-être que c'est à moi que je criais ces encouragements, peut-être que c'était à Xavier, toujours est-il que cet envol vers la liberté m'a mis les larmes aux yeux.


Film sur la quête de soi, sur la complexité et la diversité des relations humaines : quand l'amour et l'amitié se chevauchent et s'entremêlent et que les préjugés volent en éclat c'est la convivialité qui l'emporte, c'est le libre arbitre qui triomphe et on découvre enfin sa voie.

A la question qui sommes-nous, je pense que le film répondrait ainsi : nous sommes ce joyeux bordel, cette colocation désorganisée et un peu folle, nous ne sommes pas un individu à un instant T, nous sommes l'addition de nos expériences, nous sommes toutes les facettes que nous avons été réuni en un seul individu.
A propos du livre :
L'Auberge Espagnole
L'Auberge Espagnole
Par pwachevski le 18 Mai 2020 Editer
pwachevski
J'ai hésité à voir à ce film, car en fait, le dernier film avec le super combo Bourgogne-Vin-Famille que j'ai vu, c'est Premiers crus de Jerôme Le Maire, qui ne m'a franchement pas laissé un souvenir impérissable. Mais ce qui m'a finalement décidé à m'y attaquer, c'est le casting. Ana Girardot, Pio Marmaï et François Civil, c'est trois acteurs français de la "nouvelle génération" que je trouve hyper intéressants, de par leur jeu bien entendu, mais aussi pour leurs parfois audacieux choix de carrière.

Et ils ne m'ont franchement pas déçu ici, ils jouent tous les trois très bien, avec chacun au moins une scène vraiment lumineuse qui les font briller et met en valeur tout leur talent. Légère préférence peut-être, pour ma part, pour Ana Girardot (comment elle fait pour parler sans les consonnes ??!). Mais honnêtement, je pense que ça tient plutôt à l'écriture de son personnage qu'à l'interprétation à proprement parler.

Car c'est certainement le deuxième point fort du film, les personnages sont tellement justes. Principaux comme secondaires, il n'y en a pas un qui fait tâche, on peut se reconnaître dans chacun d'entre eux à un moment ou à un autre. On a également soigné l'écriture des relations entre les personnages. On voit vraiment une fratrie, une famille, avec ses hauts et ses bas. Et donc vous l'aurez compris, c'est le personnage de Juliette qui m'a le plus touché, avec lequel j'étais le plus en empathie.

Ce sont aussi des personnages qui ne sont pas lisses. On n'hésite pas à leur trouver des défauts. Mais c'est "assumé", et du coup, on regarde ces défauts sans agacement ; c'est justement ça qui rend les personnages crédibles. Et ce qui est très intéressant, c'est que là on prend conscience que ce n'est clairement plus le Cédric Klapish du "Péril jeune" ou de "L'Auberge Espagnole" qui réalise ce film. Si ce réalisateur nous parle toujours de la jeunesse, il ne nous en parle plus du tout de la même manière. Dans ses premiers films, c'était un réalisateur de la même génération que ces acteurs, à peine plus âgé qu'eux, et qui se mettait au même niveau qu'eux. Alors qu'ici, il y a une génération d'écart entre le réalisateur et les acteurs, et ça change complètement le regard qu'on porte sur les comédiens et les personnages. Le réalisateur devient la figure paternelle qui manque aux personnages, mais sans être dans le jugement et sans faire vieux con. On porte au contraire un regard très tendre, presque amusé, sur les erreurs et les défauts de la jeunesse. Et c'est pour ça que ça marche.

Malheureusement, j'ai trouvé le reste de l'écriture du film un peu faible. Soyons honnête, ça manque un peu de scénario ! C'est une tranche de vie, comme on dit. Il n'y a pas vraiment de début, pas vraiment de milieu et pas vraiment de fin. On n'a pas une vraie évolution de la situation des personnages entre le début et la fin. On sait pas trop où on va, ni se qu'on cherche à nous raconter. Alors je ne peux pas dire que ce soit désagréable, parce que les personnages sont forts et variés, parce que c'est plutôt rythmé, les émotions qui en ressorte sont sincères, il y a des touches d'humour qui fonctionnent,... Mais je vois mal comment on pourrait avoir un franc coup de cœur ou être profondément marqué par ce genre d'intrigue.

Par ailleurs, la narration m'a semblé brouillonne. On dirait vraiment qu'on ne savait pas comment raconter l'histoire tant on mélange les techniques de narration différentes. On a par exemple des scènes avec une voix off, celle du personnage Jean, ce qui donne l'impression que c'est le héros du film, que c'est SON histoire, puisque c'est lui qui la raconte. On a des flashback vers un passé éloigné (l'enfance des personnages) et vers un passé proche (retour au début du film à un moment). On a aussi des scènes qui sont simplement racontées au présent, qui ne nécessitent aucun narrateur externe, aucune voix off, et qui mettent sur un pied d'égalité Jean, Juliette et Jérémie, comme un vrai film choral. Parfois on va passer beaucoup de temps sur une courte période de temps, à d'autres moments on va faire des ellipses de plusieurs mois. Bref, on en fait trop, ça manque d'une ligne directrice claire, et finalement ça dessert le film plus qu'autre chose.

La réalisation est quand à elle propre, on ne peut pas dire le contraire. Mais mis à part le regard qu'on porte sur les personnages - j'en parle plus haut - je ne lui trouve que peu de "valeur ajoutée". Elle n'est finalement pas assez engagée à mon goût. C'est à dire que les paysages sont magnifiques, mais on fait rien pour les rendre encore plus beaux, par la photographie ou la lumière, ou par des scènes un peu contemplatives. On a des acteurs bourrés de talent, mais on ne fait rien pour les magnifier encore plus, par des cadrages un peu plus audacieux par exemple. C'est dommage.

J'ai le même sentiment pour la BO, qui passe complètement inaperçue sur toute la durée du film. Et une fois qu'on arrive au générique de fin, c'est à dire le moment auquel on accorde autant d'importance qu'à sa première paire de chaussettes, voilà qu'on nous sort une chanson originale, spécialement composée pour le film, et chantée par Camélia Jordana. Pourquoi ? Pourquoi quand on prend la peine de composer une chanson originale qui colle au thème du film, quand on mobilise là encore une jeune artiste française de la "nouvelle génération" pleine de talent, on lui réserve un sort pareil ? Pourquoi ne pas avoir mis en valeur ce travail dans le film lui même ? C'est doublement dommage.

S'il faudrait faire un bilan de tout cela, je dirais que c'est un film qui m'a fait passer un bon moment, et auquel j'ai trouvé de belles qualités. Seulement, il y a des maladresses, et il manque quelque chose qui aurait fait passer le film de simplement sympathique à très bon.
A propos du livre :
Ce qui nous lie
Ce qui nous lie
Par Cellophane le 4 Août 2019 Editer
Cellophane
Je ne m'attendais pas du tout à a ça. Klapisch, généralement, c'est décalé, dynamique, avec des pointes d'humour.
Là, on est totalement dans l'inverse. Jamais vu un Kalpisch aussi lent, aussi nostalgique, avec des gens aussi mal dans leur vie...
Au-delà de ce qui m'a déstabilisé, j'ai eu du mal avec l'histoire. Ou plutôt, le manque d'histoire.
Trois frères et soeurs, un qui a du mal à s'affirmer face à son beau-père, un qui ne sait pas où il en est avec sa femme et sa famille, une qui essaye de s'affirmer comme patronne...
Mais il n'y a pas de trame générale, ce sont des tranches de vies, les jours passent, les choses évoluent doucement, pas de faits majeurs, de rebondissements... Juste des petits glissements.
Une lenteur qui m'a posé un peu de problème pour m'intéresser à ces trois personnes auxquelles je ne me suis jamais vraiment attaché...
Alors cela étant, tout le monde est top ! La réalisation est fluide, les comédiens sont excellents...
C'est juste que j'ai eu du mal à rentrer dans ce film qui m'a paru parfois être presque plus un documentaire fictionné qu'autre chose...
A propos du livre :
Ce qui nous lie
Ce qui nous lie
Par LoliV le 5 Août 2015 Editer
LoliV
Il serait dommage de ne réduire " Les poupées russes " qu'à une simple suite de " L'auberge espagnole" . Chaque film se suffisant à lui même, on n'est certainement pas loin de Truffaut et des aventures de son Antoine Doinel. Alors sans hésiter on attend un troisième épisode !
Ceci dit restent les mésaventures tragi-comiques de Xavier et de ses amours ratées, ses errements et ses interrogations sans fin sur le sens qu'il voudrait donner à sa vie. Et puis trouver l'amour, enfin. Le vrai ! Romain Duris est excellent, quant à Kelly Reilly, elle est tout simplement à tomber par-terre ! Ceci dit, A. Tautou et Cécile de France sont, elles aussi, excellentes.
Bref un très bon film, qui se laisse voir et revoir sans déplaisir.
A propos du livre :
Les Poupées russes
Les Poupées russes
Par Lilymilou le 18 Septembre 2014 Editer
Lilymilou
Film peu intéressant, mais ça passe le temps... Il y a des moments marrants, d'autres très longs.
A propos du livre :
Riens du tout
Riens du tout
Par Cellophane le 8 Avril 2024 Editer
Cellophane
Un film chorale, avec son avantage et inconvénients.
L’avantage, c’est qu’il se passe toujours plein de choses puisqu’on suit plus d’une vingtaine de personnages. Pas de temps mort, la petite vieille rigolote, le mec coincé amusant, le petit couple mignon, le stagiaire, le vigile black qui se la pète un peu, les rayons peinture, jouet, etc.
L’inconvénient, c’est que chaque personnage est un peu caricatural, pas le temps de développer une personnalité complexe ou une réelle évolution. Tout le monde est assez simpliste et d’un bloc.
Et puis l’histoire est vraiment hachée à suivre tout ce petit monde, on passe rapidement d’une formation à un changement, du saut à l’élastique à Noël, du déguisement de Carnaval au marathon…
Au final, on a quelque chose de sympathique, pas désagréable en soi parce qu’on a plein de petits « sketchs », mais une trame un peu faible, pas aboutie, dont le message n’est pas clair : tous ensemble, on s’en sort ? A quoi bon puisque le système est pourri ? Il y a des patrons sympas ? Quoi qu’on fasse, les gens ne s’entendront pas ?
Gentillet.
A propos du livre :
Riens du tout
Riens du tout

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