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Le couperet
Adults in the Room
Adults in the Room
Si ce n'a pas la force de certains films ou autres documentaires sur l'époque, ça m'a permis de découvrir un personnage intriguant, participant involontaire (ou non) de l'horreur.
Amen.
Amen.
C'est également une remise en question sur les valeurs et ce qui importe le plus.
Un film qui dérange, qui montre du doigt, très bien interprété, magnifiques décors. À voir
Amen.
Music box
Malheureusement, je regrette les incohérences de l'intrigue. Déjà tout le film repose sur un postula tout à fait improbable : un SS est outré quand il apprend l'extermination des juifs et décide de se rebeller, tous ses collègues SS se rendent compte que c'est un traite... Mais ils le laissent faire. Bon, à la limite, ça permet d'introduire l'histoire, maladroitement certes, mais la fin justifie les moyens. Mais dans la dernière partie, le film tourne franchement au n'importe quoi.
Mais bon, si on passe outre, l'intrigue est tout de même intéressante. Les personnages assez bien construits et attachants. Certains passages du film sont émouvants. C'est donc un drame historique honnête, que j'ai pris plaisir à regarder.
D'un point de vue technique, je trouve malheureusement que le film vieillit assez mal. C'est sorti en 2002, c'est tout de même pas si vieux que ça, mais on retrouve pourtant dans ce film des choses d'un autre temps, qui sonnent franchement ringardes. Du genre, donner l'illusion qu'on est en plein air avec un paysage peint. De plus la mise en scène manque de modernité. Elle est souvent théâtrale, on pourrait presque écrire des didascalies, "le personnage entre coté jardin, baisemain au Pape, dit son texte, sort coté cour"
Néanmoins, les décors sont très soignés. Et surtout on a réussi à créer plusieurs ambiances : très fastueux au Vatican, tout en sobriété dans les maisons allemandes, miséreux à Auschwitz.
J'ai adoré l'interprétation de Mathieu Kassovitz. Il est franchement bouleversant par moment. Par contre le reste du casting est moyen. Ni bon, ni mauvais.
Amen.
Le Capital
Amen.
Le couperet
Eden a l'Ouest
Mad city
c'est un film vraiment intéressant.
La seule chose que je n'ai pas aimé, c'est la visualisation des trains en longs, en larges, sous différent plan, quand ils repartent vide. Un ou deux plans, oui, normal, mais j'ai trouvé qu'il y en avait beaucoup trop ... et que c'était des longs moment de coupures dans le film...
Par contre, j'ai explosé de rire en imaginant que le petit gamin blond avait chopé une crampe en faisant le salut nazi...
Amen.
J'en citerai deux qui remplissent ces conditions: "Z" et "Le Dictateur".
A l'encontre de Charlie Chaplin visionnaire dans "Le Dictateur", Costa-Gavras a banni l'humour mais utilise le scalpel de faits historiques. Il nous déroule donc un thriller palpitant soutenu dans son action par la superbe musique de Théodorakis. La paire Montand-Trintignant fonctionne à merveille. Les seconds rôles sont également à leur meilleur niveau: Irène Papas, Charles Denner, Bernard Fresson et Jacques Perrin.
Z