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Du sable à perdre de vue.
Le soleil qui au loin vacille.
C'est le zénith.
Sur son chameau, un enfant attend. Il sait que par cette chaleur, il peut mourir. Et pourtant, il espère, il attend.
Un homme est parti chercher un des siens. Il attend son retour.
Tiens, un point au loin. Avec les rayons du soleil, il se transforme en une tâche trouble.
On entend les premières notes d'une musique. De la musique.
Le point se rapproche. Non, c'est un mirage! Sous cette chaleur, sans eau, seul, l'homme n'a pas pu revenir! Il ne peut pas avoir ramené son frère!
La musique s'accentue. Les notes deviennent plus distinctes. La silhouette de l'homme sur son chameau devient plus distincte.
Lawrence d'Arabie est revenu...
L'une des plus grande scène de tout le cinéma, l'une des plus grande musique de tout le cinéma. Lawrence d'Arabie: c'est le cinéma.
Lawrence d'Arabie
Lawrence d'Arabie
Lawrence d'Arabie
Alors oui , il est en noir et blanc.
Mais on fait vite abstraction tellement c’est du bonheur à regarder.
Celui ci pourrait se comparer à une pièce de Molière… j’exagère à peine.
N’hésitez pas ! Ca fait du bien de temps en temps.
Chaussure à son pied
Malgré la longueur (3h40) je ne me suis pas ennuyée et la longueur est nécessaire pour s'attacher aux personnages et comprendre cette fresque historique.
La seule raison pour laquelle je ne l'ai pas mis en diamant c'est que la fin m'a paru plus fade, moins palpitante...
Lawrence d'Arabie
Le Docteur Jivago
Vacances à Venise
Brève rencontre
Le film relate l'histoire d'une jeune irlandaise qui se marie avec un instituteur beaucoup plus âgé qu'elle et qui veut s'échapper de l'ennui en tentant une aventure avec un officier anglais. Le réalisateur élabore un film fort, bouleversant et juste sans sombrer dans le pathétique, usant d'une certaine violence et d'une certaine volonté à afficher clairement la bêtise humaine. Ainsi, on retrouve la trahison, le lynchage, le sadisme, la jalousie, le mépris, la haine. Cette haine est parfaitement traduite et exposée au spectateur, signifiant le rapport de force et les tensions entre les Anglais et les Irlandais.
Robert Mitchum endosse avec talent et sensibilité le rôle d'un homme qui doit subir les aventures de sa femme avec un autre. Sarah Miles remplit son rôle de façon intelligente, ne surjoue pas et demeure naturelle. Ce film réalisé en 1970 n'a pas pris une ride et détient le mérite de fouiller avec soin les personnalités de tous les personnages mis en place et mettre en valeur leurs qualités comme leurs défauts. En un mot, grandiose !
La fille de Ryan
Dans ce film, j’ai beaucoup aimé la façon les personnages sont traités, notamment Aziz, je l’ai trouvé très vrai et touchant. J’ai bien pu ressentir aussi le poids de la situation coloniale, le mépris de certains anglais. Les décors sont très beaux et impressionnants, comme dans les autres films de Lean, notamment la scène de la mosquée et les scènes des caves. On ressent bien la tension, le mysticisme liés à l’intrigue.
En bref, c’est une des rares adaptations que j’ai préférées aux livres.
La Route des Indes
Le Pont de la rivière Kwaï
Lawrence d'Arabie
Le Pont de la rivière Kwaï
Le Pont de la rivière Kwaï
Le Pont de la rivière Kwaï