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L'histoire est originale et on s'évade de l'Angleterre pour découvre les États-Unis et sa communauté magique. L'idée de devoir chercher les animaux dans la ville est excellente avec de l'humour qui est bien dosé.
Je ne sais pas trop mais l'idée d'obscures est bien cherché mais la façon dont ils ont choisi d'interpréter n'est pas à mon goût. Tout cela parce que je n'ai aucun intérêt pour Credence (je n'ai franchement jamais réussi à m'accrocher, ni Mr. Graves
Franchement j'ai bien aimé le film et le revoir après 5 ans depuis mon premier visionnage, ça fait un bail.
Les Animaux Fantastiques
Les Animaux fantastiques 3 : Les Secrets de Dumbledore
- Lily, après tout ce temps…
- À jamais…
Harry Potter, Épisode 7, Partie 2 : Harry Potter et les Reliques de la mort
Harry Potter, Épisode 7, Partie 1 : Harry Potter et les Reliques de la mort
Harry et Ron : À la bibliothèque, et… ?
Harry Potter, Épisode 6 : Harry Potter et le Prince de sang mêlé
Ron : - Donc en gros, si t’as envie d’aller aux toilettes…
Hermione : - Charmant Ron ! Mais ouais, en gros c’est ça l’idée.
Harry Potter, Épisode 5 : Harry Potter et l'Ordre du phénix
Difficile de faire confiance à son médecin…
Heureusement, cela ne fonctionne pas de cette façon en Europe … J’espère 😉
Marchands de Douleur
Harry Potter, Épisode 5 : Harry Potter et l'Ordre du phénix
Mais alors par contre, je n'ai pas détesté mais j'ai carrément haï la forme. Qu'on essaye de mettre un peu d'humour dans tout ça pour pas que ce soit plombant : ok. Mais pas comme ça. Dès les premières secondes j'ai été crispée par la réalisation. On est dans le parfait cliché du blockbuster américain, mais vraiment dans tout ce que ces mots peuvent avoir de connotation négative. C'est grandiloquant, ce n'est pas élégant, ce n'est pas bien dosé. On multiplie les effets de style ringards, comme l'effet faux documentaire, les arrêts sur images, les images coupées en 3... On navigue dans des décors trop grands et aseptisés. On a l'impression que les personnages, notamment féminins, sont là pour faire un défilé de mode. Le mariage ne prend pas du tout, on se croirait dans Fast & Furious, alors qu'on a pourtant un pur scénario de drame. Malgré le propos, j'ai trouvé le film horriblement froid. Je ne me suis pas du tout attachée aux personnages, je n'ai pas été embarquée par l'intrigue, touchée plus que ça par le dérapage qu'on nous décrit.
Côté interprétation, j'ai bien aimé Emily Blunt, qui malgré les défauts évidents du film ne lâche pas l'affaire, donne le meilleur d'elle-même, et permet d'éviter le naufrage. Par contre les autres acteurs ne m'ont pas marqué. J'ai trouvé Chris Evans complètement à côté, et même un peu faux par moment, non ? Et on ne voit pas assez les autres acteurs pour qu'ils nous marquent réellement. Alors qu'il y avait de la bonne idée pourtant, le personnage d'Andy Garcia notamment, j'aurais vraiment aimé le voir plus. C'est sympa aussi d'avoir ressorti du placard Catherine O’Hara, qu'on a pas beaucoup vu cette dernière décennie, voire les deux dernières (voire les trois dernières en fait...).
Marchands de Douleur
La crise des opioïdes aux US a longtemps fait parler et le fait encore. Ici, on va parler de la commercialisation du Lonafen, produit censé en remplacer un autre, en étant plus efficace mais aussi addictif. Des informations que les études taieront. Le résultat, ce sera des gens qui vont se faire des millions, et d'autres qui vont mourir. Marchands de douleur est une triste histoire passé sous le vernis d'un film de braquage, qui commence par nous présenter son héroïne comme une femme sans foi ni loi avant de la changer parceque ça l'arrange bien. Comme bien des oeuvres de Yates, les idées sont là mais le résultat n'est pas aussi bon qu'attendu à cause de cet équilibre jamais vraiment trouvé. Reste que ça se regarde et que c'est instructif !
Marchands de Douleur
Ces dernières années, nous avons pu voir, nombre de films ou même de séries, dénonçant les méthodes de l’industrie pharmaceutique, d’autant plus depuis la crise majeure des opioïdes qui touche les États-Unis et qui ne cesse de faire des victimes, plongeant des villes entières dans le chaos le plus total, dans lesquelles il n’est presque plus possible de vivre en sécurité. Ce métrage, c’est l’exemple typique de la façon dont tout a commencé, un médicament révolutionnaire, un anti-douleur puissant, qui a pour vocation exclusive, de lutter contre les souffrances extrêmes liées aux cancers, uniquement dans ces cas précis, il faut bien le préciser, en cela, oui, ils sont utiles, oui, il est important de pouvoir supporter l’insupportable. Mais c’est lorsque l’on commence à dépasser ce cadre, à le prescrire à tour de bras, pour n’importe quel petit bobo, outrepassant les règles établies de l’autorité de la médecine, c’est par ces comportements, que l’on crée la dépendance, que l’on pousse des milliers de personnes dans les bras de l’addiction, tout ça pour quoi, le profit tout simplement, gagner toujours plus. Nous serons les témoins impuissants des rouages de cette industrie, qui avait peut-être de bonnes intentions au départ, mais dont l’argent a gangrené peu à peu la morale, parce que lorsque des sommes exorbitantes tombent sur votre compte en banque, il est difficile d’ignorer la facilité avec laquelle vous les avez obtenues, au risque de perdre toute humanité. La réalisation de David Yates est absolument percutante, il met en lumière cet univers fait de contrastes, le milieu extrêmement froid de la médecine, plus particulièrement celle liée à la douleur, qui vient se mêler au faste, à la fête, à cet argent sali par les magouilles, c’est extrêmement saisissant de réalisme. Visuellement, bien que très simple, c’est la brutalité de l’univers qui fait toute sa force, parfois très crû, tout ce dont nous sommes témoins est pourtant riche de vérités, ce commerce de la souffrance nous saute littéralement au visage, nous frappe par sa violence et par le manque d’humanité qui peut en ressortir. En ce qui concerne le scénario, il est parfaitement écrit, tiré d’une histoire vraie, il retranscrit à merveille la montée en puissance de cette industrie, les rouages, les manipulations, qui l’ont entraînée toujours plus loin, dépassant leurs propres limites, jusqu’à ce qu’il soit trop tard, qu’il n’y ait plus aucun retour possible et que les victimes soient innombrables. C’est le récit d’un destin qui a fait la différence, que l’on peut aisément comprendre, parce que l’argent, c’est le nerf de la guerre et que lorsque quelqu’un dépend de vous, on peut être prêt à tout, mais difficile de faire machine arrière lorsque l’on se rend compte que tout dérape, pourtant, certains ont eu le courage d’agir, malgré les risques. Quant au casting, il est incroyable, le duo Emily Blunt/Chris Evans est d’une efficacité redoutable et on peut noter la présence extrêmement charismatique d’Andy Garcia.
En bref : Un film terrifiant de réalisme sur les rouages de l’industrie pharmaceutique, sur leurs méthodes de ventes, sur leurs manipulations, leurs magouilles, disons-le clairement, ce qui était un médicament miracle, essentiel pour certains, va devenir la pire des drogues, conduisant à une crise des opioïdes sans précédent, parce que c’était facile, parce que l’argent coulait à flot et que l’humanité qui aurait dû être leur fil conducteur, s’est vue annihiler, simplement pour le profit de quelques-uns !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/11/07/marchands-de-douleur/
Marchands de Douleur
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Ron : Croyez-moi, Professeur, je me pose la même question depuis six ans.
J'ai tellement rigoler dans ce film à chaque petite phrase du genre ! J'ai adoré !
Harry Potter, Épisode 6 : Harry Potter et le Prince de sang mêlé