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L'action est censée se dérouler en 1993 ; elle pourrait aussi bien avoir lieu de nos jours. Des organisations évangéliques existent aux Etats-Unis, telles Restoration Path, qui proposent à leurs membres des programmes afin de les guérir ou de guérir leurs enfants de leurs "déviations sexuelles".
Une fois Cameron installée à God's Promise, une fois le tour du propriétaire effectué et les différents locataires, dont chacun incarne stéréotypiquement une caricature (le Lakota transgenre, la rebelle fumeuse de joint, la fille en surpoids...), l'action fait du surplace. On est reconnaissant à Desiree Akhavan de ne pas l'avoir artificiellement dramatisée, qui refuse la facilité de dépeindre l'encadrement de God's Promise en dangereux tortionnaires. Mais on aurait aimé plus de nerfs à ce scénario qui en manque cruellement jusqu'à un dénouement téléphoné et prévisible que l'affiche du film nous a déjà révélé.
Come as you are - The Miseducation of Cameron Post
En ce qui concerne le scénario, c'est le point faible selon moi, j'ai eu du mal à cerner ou voulait aller l'histoire (et à vrai dire je n'ai toujours pas vraiment compris) c'est en fait assez descriptifs et dénonce les camps de conversions dans les années 90, mis à part cela, l'histoire ne va pas vraiment quelque part...
Une fin ouverte, point négatif pour moi, qui a rajouté à mon incompréhension quant au but de ce film.
Mon commentaire peut donner l'impression que je n'ai pas aimé, je ne pense pas vraiment avoir aimé, mais je n'ai pas vraiment détesté, disons qu'heureusement que les acteurs sont bons et qu'une certaine poésie et philosophie se dégage de ce film, mais tout est trop resté en surface, c'est dommage
Come as you are - The Miseducation of Cameron Post
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