Emilio Estevez
Réalisateur
Activité et points forts
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.42/10Nombre d'évaluations : 12
0 Citations 5 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Quel beau film !
Trés émouvant, tres même et qui me conforte dans l'envie d'aller en pélerinage à Compostelle.
Ce film a en plus une âme et une bonne moralité, même si on le cache on a tous une chose a améliorer et même si on cache ça par autre chose.
Moi, j'ai vraiment trés aimer j'en ai même verser quelques larmes.....
Allez tous devant vos écrans !
Afficher en entierQu'il est long ce chemin de Compostelle...Sous forme de guide touristique, on accumule les clichés, les petites incohérences, les bons sentiments. Les scènes se suivent et se ressemblent. Malgré cela, on a tout de même très envie, dès la fin du générique terminé, de préparer son sac à dos...
Afficher en entierC’est un bon film. Si on enlève tous les passages de 30 secondes où on suit un type qui marche pour regagner sa voiture et où il ne se passe rien, qu’ils ouvrent un frigo et il ne se passe rien, qu’ils font un truc et il ne se passe rien. Ah ! Et aussi si on enlève toutes les scènes de blabla qui ne servent strictement à rien. Bref, si on réduisait le film à un épisode de 23 minutes d’une série, ce serait un bon épisode. Evidemment, il faudrait retravailler deux trois trucs : le flic qui en veut à mort aux deux éboueurs sans qu’on sache pourquoi, les trois types qui trouvent un cadavre dans les poubelles et trouvent plus intelligent de le cacher plutôt que prévenir la police, les gros méchants qui posent leur arme parce qu’on menace de tuer un homme dont ils n’ont rien à faire… Ouais, ça pourrait faire un excellent court métrage de 10 minutes… Bien sûr, il serait blindé de banalités vu que ce film accumule tous les clichés possibles et les blagues grasses où des air-bag pleine d’excréments explosent, mais si on enlève à peu près tout, ça devrait passer… En fait, c’était bien nul, comme film…
Afficher en entierUn sacré voyage que ce Camino, surtout avec les quatre personnages qu'on suit pendant tout le film. Le casting marche très bien et le lien entre Daniel et "Boomer" est bien montré (comment pouvait-il en être autrement quand le réalisateur est le fils de l'acteur principal?)
J'aime le coté sombre de Tom et Sarah que contrebalance le côté plus joyeux de Joost et Jan.
Les personnages sont bons, la musique va bien et je n'ai eu qu'une envie, prendre le sac et aller marcher avec eux.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Emilio Estevez
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Version Originale / Condor : 1 film
Twentieth Century Fox : 1 film
Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) : 1 film
Buena Vista Pictures : 1 film
Showtime Networks : 1 film
Hammerstone Studios : 1 film
Biographie
Fils de Martin Sheen et frère aîné de Charlie Sheen.
Emilio Estevez entame sa carrière d'acteur à l'âge de 18 ans et fait une interprétation remarquée dans Outsiders de Francis Ford Coppola. Le succès du film le propulse du jour au lendemain au rang de jeune espoir hollywoodien. En 1985, Emilio Estevez participe à plusieurs projets. Il adapte et joue dans le thriller That was then... this is now avec Morgan Freeman et prête ses traits à un jeune lycéen rebelle dans The Breakfast Club. La même année, sa notoriété se confirme grâce à St. Elmor's Fire, et Repo Man d'Alex Cox, dans lequel il tient le premier rôle vedette.
L'année suivante, Emilio Estevez prouve l'étendu de ses talents en réalisant et en écrivant le scénario du drame Wisdom, dans lequel il joue auprès de Demi Moore, sa compagne de l'époque. Sous la direction de Stephen King, il interprète le rôle principal dans Maximum Overdrive, un film mêlant horreur et science fiction, puis enchaîne avec la comédie policière Etroite surveillance (avec Richard Dreyfuss). Young Guns et sa suite, Young guns 2, permettent à l'acteur de découvrir l'univers du western. Entretemps, il réalise, interpréte et écrit le thriller Men at work et fait tourner son père Martin Sheen.
Dans les années 90, il s'essaie à la science-fiction (Freejack), donne dans la comédie familiale (Les Petits champions) et retrouve Richard Dreyfuss dans Indiscrétion assurée. Il produit et signe The War at Home, un drame avec Charlie Sheen, qu'il retrouvera une fois de plus, à l'occasion du tournage de Classé X.
Les années 2000 permettent à l'acteur de s'essayer à la réalisation pour le petit écran. Après avoir tourné dans le western Sand, Emilio Estevez se lance dans la réalisation des épisodes des séries télévisées telles que Le Protecteur , Les Experts : Manhattan, Cold Case : affaires classées (Cold Case), Juste cause. En 2006, Emilio Estevez livre son cinquième long métrage Bobby, où il rend hommage à Robert F. Kennedy.
source : allociné
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