Eran Riklis
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.71/10Nombre d'évaluations : 14
0 Citations 8 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Un très beau film, j'ai juste regretté sa lenteur.
Afficher en entierUn super film, qui dénonce la réalité des choses, enfin.
Afficher en entierUn israëlien se prend d'amitié pour un enfant palestinien. La vie quotidienne durant la guerre décrite au début du film est d'une grande force. Malheureusement, dès que les deux premiers rôles se rencontrent, on tombe dans la simplicité, l'histoire devient trop prévisible. On regarde sans déplaisir, notamment pour les magnifiques paysages, mais il manque une étincelle pour être totalement séduit.
Afficher en entierUn film qui se laisse regarder , plein de bonnes intentions, mais néanmoins peu crédible.
Afficher en entierCe n'est pas du tout mon genre de films puisque j'ai été le voir ce matin-même avec le collège. J'ai été agréablement surprise ! C'est clairement le meilleur film des 3 films qu'on a vu avec Collège au cinéma (j'ai détesté les 2 autres donc bon...)
On a travaillé rapidement dessus avant d'aller le voir pour connaitre un peu l'histoire.
J'ai absolument adoré les images, les plans, la réalisation est superbe ! L'histoire est aussi très intéressante puisqu'elle parle du conflit Israélo-palestinien à travers ce procès pour des citronniers...
Il n'y a pas de paroles superflues et parfois, tout passe par le visage des acteurs, j'ai adoré cette subtilité, juste ces expressions ! J'ai aussi aimé la fin, c'est pour moi la fin la plus appropriée (mes amies ne sont pas d'accord mais elles n'ont pas aimées donc forcément...)
Attention, spoiler de la chose que je n'ai pas aimé dans l'histoire... Spoiler(cliquez pour révéler)La seule chose que je n'ai pas aimé est le moment où l'on apprend que l'avocat a un enfant et une femme en russie et qu'il l'a abandonné ! Quel lâche ! Et après il ose draguer Salma ! Puis se marier avec la fille du premier ministre Israélien ! Non mais n'importe quoi...
Sinon je vous le conseille, je l'ai trouvé intéressant mais pas trop prise de tête ! Il montre bien le conflit à travers des personnages.
Afficher en entierL'absurdité de l'administration poussée à son paroxisme, le délire de la situation en Israël. Mais au delà de tout cela, un bon film, de bons acteurs, une réalisation un peu statique mais qui, au final, colle plutôt bien à cette attente : la mariée qui attend son futur époux et en dépassant tout ça, tous les peuples de la région qui attendent enfin la paix, broyés par cette situation politique infiniment complexe et ubuesque à la fois. Et puis en toile de fond, évidemment, la condition féminine, et en point de mire, l'imperceptible certitude que l'espoir ne pourra vraiment naître que le jour où les femmes pourront enfin prendre leur destin en main, en laissant les hommes à leurs querelles ancestrales et stériles. Aragon avait raison : la femme est l'avenir de l'homme...
Afficher en entierDans l'ensemble trop classique, le film arrive tout de fois à nous toucher partiellement le coeur. L'interprétation reste correcte sans être exceptionnelle, la réalisation conventionnelle et le scénario souvent prévisible. Reste quelques belles scènes et une b.o. irréprochable pour rendre le film correct.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Eran Riklis
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Pyramide Distribution : 2 films
Wild Bunch Distribution : 1 film
MACT Productions : 1 film
Pathé Distribution : 1 film
Biographie
Né en 1954 à Jérusalem, Eran Riklis est élevé aux États-Unis, au Canada et au Brésil. Diplômé en 1982 de la National Film School de Beaconsfield, en Angleterre, il signe son premier long métrage, On a Clear Day You Can See Damascus, un thriller politique tiré d'une histoire vraie, en 1984.
Sept ans plus tard, il tourne Cup Final, salué par la critique internationale et sélectionné dans plusieurs festivals dont Venise et Berlin, puis Zohar, qui s’impose comme le plus grand succès du box-office israélien des années 90.
Eran Riklis réalise ensuite Vulcan Junction, un hommage nostalgique au rock and roll, puis Temptation, l’adaptation d’un best-seller israélien. C’est alors qu’il signe La fiancée syrienne qui obtient 18 récompenses internationales parmi lesquelles le Prix du public du festival de Locarno, le Grand Prix des Amériques et les Prix de la critique internationale (Fipresci) et du public au festival des films du monde de Montréal.
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