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Un ticket pour l'espace
Il faut 1h, plus de la moitié du film donc, pour que le changement de vie du personnage arrive. Alors qu'on nous l'annonce pourtant dans le titre ! Je ne vous spoile rien ici, ce n'est pas une surprise, on est un peu là pour ça même. Le film a beau prendre au passage un vague tournant plus proche du thriller, ça ne décolle pas. Il y a une certaine tension qui fonctionne, dans le sens où on a envie de savoir comment les choses vont se passer maintenant. Mais qui n'efface pas le côté trop plan plan du film.
J'ai trouvé la morale du film franchement plus douteuse qu'inspirante. Ça n'a provoqué aucune émotion chez moi. Alors que sur le thème de la personne qui change de vie pour vivre ses rêves, bah il aurait été tellement simple d'être inspirant.
La réalisation est à l'image du reste. Pas fondamentalement mauvaise, c'est pas horrible à regarder, mais c'est affreusement plat. Dans la partie se passant en Serbie, on a cependant une photographie plus travaillée et quelques plans qui nous restent en mémoire. Mais à part ça, on ne retient rien. Idem pour la BO.
Côté interprétation, j'ai jamais compris le succès de Romain Duris, je ne le trouve pas naturel devant la caméra. Ça se voit qu'il joue, qu'il récite un texte, etc. Ses yeux pleurent mais son visage non. Mais les seconds rôles sont assez plaisants, que ce soit Marina Foïs, Catherine Deneuve ou Niels Arestrup.
L'homme qui voulait vivre sa vie
La Famille Bélier
C’est inventif d’un bout à l’autre, c’est drôle, ça rebondit sans cesse et sans tourner en rond…
Tout le monde s’amuse dans ses personnages…
Très bon moment.
Prête-moi ta main
Quel plaisir pour les fans de Kad et O de retrouver l'humour du duo dans ce film proche de la parodie, au point d'y aller parfois un peu trop fort. Car si certains gags sont lourdauds, ce "Mais qui a tué Pamela Rose ?" n'est pas sans rappeler, dans le style, "La cité de la peur" et de maniére générale le style des Nuls. Soyons clair : C'est trés con. Et c'est ce qui fait tout le charme des moins de 90 minutes de cette enquête. Alors ne cherchez pas trop : ce n'est pas du génie de mis en scéne, d'écriture, ou de quoi que ce soit, mais c'est drôle, jusqu'au boutiste et improbable. On y croise Kad, évidemment, Olivier, encore heureux, accompagné de Jean-Paul Rouve, jamais aussi bon que dans ce genre de rôle, Gérard Darmon, toujours présent quand il faut s'éclater un peu. Lionel Abelanski raméne sa trogne, Nicolas Marié aussi, sans oublier Alain Chabat, François Cluzet, Marina Foïs, et vous reconnaitrez même un Jeune Laurent Lafitte. Lartigau en profitait pour réaliser son premeir film, une dizaine d'années avant d'exploser avec La Famille Bélier. Pour le coup, il se contentait du minimum mais ne boudons pas notre plaisir, et rions !
Mais qui a tué Pamela Rose ?
Adapté d'une bande dessinée canadienne, Cet été-là positionne donc son histoire en France et, au delà d'un regard sur l'enfance plutôt juste, laisse trainer un drame dont on peu tout imaginer jusqu'à la fin, révélant alors un film bien plus tendre, triste, mais optimiste, qu'on aurait pus le croire. Alors certes, comme le film précédent de Lartigau (#jesuislà), ce film peut se montrer... lent. En réalité, lartigau a surtout décidé de raconter une histoire, qui lui tient à coeur, quitte à se permettre quelque plage qui peuvent sembler vide, mais qui sont nécessaires. Le résultat est des plus plaisant !
Cet été là
Les Infidèles
La Famille Bélier
La Famille Bélier
La Famille Bélier
Quelques histoires m’ont amusé mais, pas de bol, ce sont les plus courtes : Thibault (2 minutes), Simon (1 minute) et les Infidèles anonymes (9 minutes) ; les deux premiers, parce que la blague est courte et efficace, le dernier parce que Sandrine Kiberlain et les autres sont excellents et que les personnages ou situations caricaturales sont drôles.
Le reste du film, c’est beaucoup de blabla pour montrer de la fille dénudée ou en position, des discussions inintéressantes et répétitives, dans une ambiance souvent vaguement graveleuse sans qu’on en tire quelque morale ou conclusion que ce soit…
Passable.
Les Infidèles
#Jesuislà
La Famille Bélier
La Famille Bélier
Caricature des films dans l’espace, clin d’œil à divers films du genre, d’Alien à Jurassic Park, c’est beaucoup moins lourdingue que d’autres parodies. La subtilité en fait un film qui peut à la fois se regarder seul et à la fois en comparaison.
L’histoire est certes banale et basique mais les situations sont (dé)tournées avec humour et fraîcheur. Là aussi, c’est moins lourdingue que d’autres films du genre et ça apporte une légèreté qui fonctionne bien.
Bien joué, Canet s’éclate, Kad est nickel et Olivier est bon…
Agréable moment.
Un ticket pour l'espace