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Tous les films de Federico Fellini

Titta, un gamin à l'œil vif, s'échappe souvent de la pétaudière familiale pour aller rôder dans les rues et découvrir le monde. Il rencontre de drôles de gens : un colporteur mythomane, un accordéoniste aveugle, une buraliste à la poitrine accueillante, une religieuse naine, etc.

La vie provinciale en ce temps-là, c'est aussi le péril montant d'une parade fasciste, le fascinant passage, au large, d'un mystérieux transatlantique, des séances de cinéma agitées. Mais tout n'est pas drôle dans cette vie: la mère de Titta meurt, mais il se consolera vite au son de l'accordéon d'une noce campagnarde.

Le fascisme ne nous saute pas aux yeux d'emblée. Les gens sont si débonnaires et si drôles. Le village prépare une fête, on s'assemble sur la place, on apporte des meubles pour le feu de joie, la fanfare joue, les hommes admirent La Gradisca, si belle dans son manteau rouge à col de fourrure noire.

Elle, elle rêve à Hollywood et à Gary Cooper devant le cinéma dont le propriétaire se fait appeler « Ronald Colman ».

À l'école, les professeurs sont plus caricaturaux et ridicules les uns que les autres, avec une mention pour celui de Grec ancien qui multiplie les grimaces à chacune de ses démonstrations de bonne prononciation. Les élèves, eux, semblent concourir à qui sera le plus cancre, visages ingrats, corps difformes. Ils passent leur temps en classe à se donner des coups, à péter, à uriner.

Mais, surtout, ils passent leur vie à fantasmer sur les femmes du village et même sur leur professeur de maths. Tous les jours, même sous la pluie, ils rendent visite au « Monument de la Victoire », ange aux superbes fesses nues et rebondies. L'obsession sexuelle et la frustration qu'elle entraîne dominent toute leur vie d'adolescent.

Dans l'observation acide de la province italienne, le dîner familial et la dispute qui l'émaille reste un moment d'anthologie : La mère, Miranda, qui se met à loucher lorsqu'elle crie « Je deviens folle », avant d'annoncer « je vous tuerai tous ! je mettrai de la strychnine dans le potage ! », tandis que le père, Aurelio, fait mine de vouloir se suicider en s'écartant les mâchoires des deux mains, tous deux incapables d'attirer l'attention de l'oncle ou des enfants qui, habitués à un tel « cinéma » continuent à manger, imperturbables, tandis que le grand-père choisit de sortir aérer ses sphincters.

Mais le ton devient plus amer à partir de la fête fasciste. Fellini tourne d'abord la manifestation en ridicule, avec les clones du Duce, le défilé au pas de course à la « bersaglieri », les discours enflammés et convenus. Le ton devient doux-amer lorsqu'est érigé l'immense visage du Duce composé de milliers de fleurs, mais dont les yeux, énormes et fixes, font penser au Big Brother de George Orwell. Et alors que la nuit est tombée et que les réjouissances fascistes se poursuivent, un violon se fait entendre, surgi de nulle part, et égrène les notes de l'Internationale. L'émotion et la poésie se rejoignent en cet instant avant que la comédie ne tourne à l'aigre, car comme nous le montre Fellini sans avoir besoin de nous le dire, la poésie et l'émotion n'ont pas droit de cité dans l'Italie mussolinienne. Un déluge de feu sur le clocher de l'église où se cache le grammophone sacrilège, puis l'interrogatoire musclé à coups d'huile de ricin du père de Titta, viennent soudain nous rappeler à la triste réalité historique.

Amarcord est une chronique de l'Italie campagnarde et fasciste. Une chronique tantôt hilarante, tantôt amère voire inquiétante lorsque les manifestations du fascisme quotidien nous sont montrées dans toutes leurs brutalités. C'est aussi sans aucun doute le film le plus politique de Fellini, peut-être le seul. Mais, ici, le fascisme fait partie du décor, dans un village dont on nous dit que « 99 % des habitants sont inscrits au Parti ».

En 1914, le port de Naples est le théâtre d'événements peu banals. La haute société européenne, artistes et politiciens de renom, s'apprête, au cours d'une croisière, a disperser les cendres de leur diva adulée. Les premières manifestations de la guerre vont frapper de plein fouet les insouciants passagers...

Gelsomina a été vendue par sa mère a Zampano, qui la brutalise et ne cesse de la tromper. Ils partent ensemble sur les routes, vivant misérablement du numéro de saltimbanque de Zampano. Surgit Il Matto (le fou), violoniste et poète, qui seul sait parler à Gelsomina.

Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de souvenirs et de fantasmes. Surgissent des images de son passé, son enfance et l'école religieuse de sa jeunesse, la Saraghina qui dansait sur la plage pour les écoliers, ses rêves fous de « harem », ses parents décédés. Dans la station thermale où il s'est isolé, son épouse Luisa, sa maîtresse Carla, ses amis, ses acteurs, ses collaborateurs et son producteur viennent lui tourner autour, pour qu'enfin soit réalisé le film sur lequel il est censé travailler.

Interdit aux moins de 12 ans

Federico Fellini nous offre un portrait à contre-courant de ce séducteur mythique. Un regard froid sur la solitude d'un homme poursuivi par sa renommée.

La vie à Rome de 1930 à nos jours vue par un de ses admirateurs, Federico Fellini. Fresque monumentale où réalité et fantasmes du réalisateur sont étroitement mêlés.

Satyricon présente une société romaine en pleine décadence, où orgies et autres festins sont courants, la morale y étant absente. Loin des reconstitutions historiques et autres péplums, Federico Fellini nous raconte les pérégrinations de deux jeunes parasites de l'époque néronienne, Encolpe et Ascylte.

Le souvenir de sa precoce decouverte du cirque dans la Rimini de son enfance conduit Fellini a entreprendre un voyage a la recherche des anciens clowns et de leur memoire.

Cabiria se prostitue pour vivre, mais cette condition ne l'empêche pas d'être d'une désarmante confiance. Dépouillée par un amant qui tente de la tuer en la jetant dans le Tibre, humiliée par un acteur de cinéma qui lui fait découvrir un luxe vaniteux et l'oublie aussitôt que sa maîtresse revient, elle reste avide de vivre et garde ses principes de dignité.

Ses "collègues" peuvent bien la railler, elle se défend avec la force que lui donnent ses rêves et espoirs d'une vie meilleure, et rebondit toujours après chaque déconvenue.

Cabiria décide de participer à un pèlerinage avec l'espoir d'un changement miraculeux de sa situation.

Quelque temps après, dans une salle de music-hall, elle rencontre un homme qui, au-delà de sa méfiance, finit par lui sembler attentif, sérieux, travailleur et désintéressé. Lorsqu'il lui propose de l'épouser, son bonheur est immense : elle pense pouvoir enfin échapper à son sort..

L'aube pointe sur Cinecitta. Federico Fellini s’apprête à réaliser son nouveau film inspiré de "L'Amérique" de Kafka. C'est alors que surgit une équipe de télévision japonaise venue l'interviewer et lui parler de ses précédentes œuvres. Le Maestro leur explique les rouages du métier et leur fait visiter les studios et les décors du film qu'il est en train de tourner.

C'est l'histoire nostalgique, et parfois pathétique, de deux vieux danseurs mondains, un peu fripés, aux prises avec un monde hostile, où tout est dominé par la télévision et qui sont tous les deux convoqués pour exécuter trente ans plus tard un numéro de claquettes dans une gigantesque émission en direct.

Marcello rencontre, dans le train, une inconnue qui se dérobe à ses avances. Il décide de la suivre jusqu'à son hôtel où se tiennent les assises d'un congrès féministe.

Giulietta est une femme bourgeoise qui vit aisément dans une riche demeure avec son mari et deux soubrettes. Ses parents et sa famille la distraient d'un univers aseptisé. Mais elle découvre que son mari, qu'elle aime naïvement, lui est infidèle. S'ouvre alors à elle un univers mental extraordinaire, dans lequel son esprit mêle rêve et réalité. On découvre en Giulietta non plus la bourgeoise conformiste, mais un être d'une extraordinaire richesse intérieure.

Dans une petite ville balnéaire animée seulement par le carnaval et la période des vacances, cinq jeunes gens mènent une vie de désoeuvrés, d'inutiles, qui leur vaut d'être appelés "Vitteloni", "les grands veaux"...

Augusto, Roberto et Picasso, trois escrocs minables, parcourent l'Italie en quête de nouvelles victimes. Leur combine favorite consiste à se déguiser en hommes d'église pour abuser certains fidèles trop crédules. Mais Augusto, le plus âgé, commence à être las de cette existence. Fatigué, il pressent que l'heure de la dernière escroquerie est proche...

Ivo Salvini est un rêveur, qui entend la voix de la Lune chaque fois qu'il se penche sur un puits. Cette nuit là, elle a quelque chose d'important à lui dire. Du moins le croit-il assez pour se laisser entrainer dans un étonnant voyage au coeur d'une étrange contrée : un pays de merveilles où Ivo espère retrouver la belle Albina, et lui rendre l'escarpin qu'il lui a autrefois dérobé..

Marcello Rubini, a quitté sa province italienne pour Rome dans le but de devenir écrivain. Mais celui-ci est devenu chroniqueur dans un journal à sensations. Il fait donc la tournée des lieux dans lesquels il est susceptible de décrocher quelques scoops afin d’alimenter sa chronique. Un soir, las de la jalousie maladive de sa maîtresse Emma il sort avec Maddalena.

Le lendemain Sylvia, une grande star hollywoodienne fait son arrivée à Rome…

L'Amour à la ville ou cinq histoires presque vraies, réalisées par cinq grands metteurs en scène italiens sur la misère de l'amour à Rome dans le ton du néoréalisme social.

- Suicides Manqués, de Michelangelo Antonioni

- Agence Matrimoniale de Federico Fellini

- Les Italiens se retournent d'Alberto Lattuada

- L'Histoire de Catherine de Francesco Maselli

- Le Bal du samedi soir de Dino Risi

Dans une minable petite troupe de music-hall, Kecco partage la vedette avec sa fiancée Melina et l'opulente Valeria. Un soir, il est accosté par 3 une jolie jeune fille qui rêve de conquérir gloire et fortune. Kecco, qui s'est présenté à elle comme le directeur de la troupe, tente de la faire accepter par ses camarades, mais ceux-ci, qui souffrent déjà mille peines pour s'assurer nourriture et logement, ne veulent pas d'une comédienne de plus...

Dans un oratoire du XIIIe siècle, un orchestre symphonique d'une quarantaine de musiciens répète une œuvre d'un compositeur qui n'est jamais mentionné. Le représentant syndical de l'orchestre vient prévenir les musiciens qu'une équipe de télévision va venir filmer la répétition, et interviewer les musiciens qui le souhaiteront. La répétition en question va se dérouler dans une atmosphère de plus en plus imprévisible...

Jeunes mariés, Ivan et Wanda partent en voyage de noces à Rome. Ivan, organisé et méthodique, a déjà planifié entièrement le séjour, comprenant une visite chez sa famille et auprès du Pape. Mais ce n'est pas du goût de son épouse, qui préfère s'éclipser pour aller rencontrer son idole, le Cheikh blanc, héros d'un célèbre roman-photo. Néanmoins quand Wanda le rencontre enfin, elle déchante totalement, une déception qui pourrait bien perturber son mariage.

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