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Hâte de voir la deuxième partie de la révolte.
Hunger Games, Episode 3 : La Révolte, Partie 1
Hunger Games, Episode 2 : L'embrasement
Autant je comprends certains changements
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
On retrouve quelques références à l'histoire de base.
(Vu en VF)
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
Constantine
J’adore l’univers des hunger games, cette démarche autour des jeux me fascine et j’ai adoré découvrir les origines et les mécanismes de création. Bien sûr tout paraît étrange, il s’agit de la dixième saison des hunger games, tout est encore nouveau à leur époque et les moyens proposés n’étaient pas forcément hors norme. Néanmoins, les jeux dans une arène aussi peu développée ne sont pas dérangeant, au contraire. On découvre une nouvelle facette des jeux encore plus cruelle que celle auquel on a été habitué.
Je n’ai pas envie de me perdre dans des détails de films qui m’auraient plus je préfère donner directement ceux qui m’ont dérangés.
Déjà parlons du choix des acteurs. Le président Snow est superbement représenté (je trouve), on retrouve bien la dégradation du personnage au cours du film à travers le regard de l’acteur et je trouve cela grandiose.
J’ai beaucoup plus de mal avec Lucy Gray. Alors qu’on nous offre une image des tributs crades et mal en point celle ci apparaît toute belle et maquillée comme si la saleté ne l’affectait pas. De plus, même s’il ne s’agit pas du tout des mêmes films, j’aurais apprécié une actrice qui puisse réincarner la prestance de katniss
Mais dans l’ensemble c’est un bon film peut être un tantinet trop long mais qui explique bien le caractère de snow 60 ans plus tard.
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
Mon soucis avec ce film a été la dernière partie. J'ai été complètement saisi par l'histoire au début (plus de la moitié du film). Le pourquoi et le comment Snow fait les choses étaient vraiment chouette. Et c'est vrai que jusqu'au bout je me demandais bien comment il allait déraper (pas encore lu le roman). Et malgré cette question enthousiasmante, j'ai trouvé la fin lente et sans saveur, en contraste énorme avec le début. Un réel manque de dynamisme, à tel point que j'ai cru qu'il ne restait que quelques minutes aux films (mais non, en fait, loin de là). Et jusqu'à la fin ça s'est traîné ! Ce qui a radicalement fait modifier mon avis sur le film.
Je pense néanmoins et sincèrement qu'il s'agit d'un bon film, d'un bon préquel, et peut-être un des meilleurs de la saga. Les fans sauront apprécier cette lenteur à la fin !
Louons encore le talent des acteurs, notamment Snow incarné par Tom Blyth, qui apporte au film une saveur toute particulière.
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
L'idée d'un nouveau Hunger Games avait de quoi inquiéter : ce nouveau film allait-il être, comme beaucoup de suite ou spin-offs de sagas, un résidu de fond de tiroir colmaté à la va-vite à coups d’effets numériques pour satisfaire quelques fans ? En réalité, le projet était dans les cartons depuis 2017, et il est le résultat d’un travail manifestement rigoureux. En tout cas, c’est le ressenti que donne le résultat final, car très peu de franchises peuvent se targuer de s’être aussi bien maintenues au fil des épisodes, notamment en se risquant à l’exercice du prequel.
Pour parler des qualités du film, il faut déjà noter que malgré sa longueur, jamais le rythme ne lasse ni n’épuise. Si les actes bien distincts donnent parfois l’impression d’une trilogie rentrée au chausse-pied dans un seul film (la transition entre des phases de l’histoire radicalement différentes est parfois perturbante), les personnages sont réellement développés. Les séquences qui requièrent des respirations et du suspense, elles, sont volontiers étirées sans en faire trop (comme la scène de “chasse” en forêt).
Par ailleurs, la direction artistique est à la hauteur de la saga originale, avec un Panem “vintage” inspiré de nos propres années 60 et 70 et des Hunger Games encore peu sophistiqués. Il faut dire que le film est visuellement plutôt réussi, avec une mise en scène solide et élégante. Mention spéciale à la séquence d’attentat dans l’arène et à son plan à 360° qui aligne les explosions. Un pari casse-gueule qui réussit finalement à en mettre plein la figure. Toutes ces qualités ne font pas du film un chef-d'œuvre, tant s’en faut, mais elles sont autant de marqueurs d’un travail honnête (à défaut d’être génial) qui offre aux fans et aux moins fans un blockbuster malin et efficace, dont la saga originale n’a pas à rougir. Ceci étant dit, il est tout de même temps de s’attarder sur les défauts qui tirent le film vers le bas.
Comment ce name-dropping complètement artificiel de Katniss et la citation de sa révérence iconique pouvaient provoquer autre chose qu’un terrible grincement des dents ? Rachel Zegler se repose donc surtout sur des mimiques irritantes, qui rappellent davantage l’immaturité du jeu d’une Keira Knightley dans Pirates des Caraïbes que le charisme d’une Jennifer Lawrence dans les premiers volets de la saga.
Heureusement, autour d’elle, la galerie de personnages secondaires consolide efficacement l’ensemble, Viola Davis et Peter Dinklage en tête. (sans oublier Jason Schwartman en présentateur télé, qui reproduit à merveille les attitudes de Stanley Tucci). Avec des looks impayables et une psychologie fine et intéressante (à tel point que le souhait d’un spin-off sur ces personnages-là se ferait presque sentir), ils apportent tout son sel au film, et renvoient parfaitement la balle au personnage de Snow dont le virage idéologique est plutôt bien écrit et négocié.
La bonne idée étant notamment de faire de Snow le personnage principal, qui subit la misère et l’humiliation qui vont nourrir sa violence, et de permettre au spectateur de s’y identifier pour que chacun puisse voir en soi le risque du glissement vers la haine.
Encore une fois, sous le spectacle, c’est une écriture intelligente qui achève de faire de cet Hunger Games un film à la hauteur de ce qu’on pouvait en attendre.
Vu en VO
Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur
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