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Connaissant l'histoire du IV, on ne peut que deviner comment Rogue One va s'achever, et pourtant les combats, les décisions et les personnages nous font autant d'effet que si c'étaient de vieux amis, des héros eux aussi.
Bref, un gros OUI pour cette anthologie plus que réussie. En espérant que Disney continue ainsi et ne se sente pas trop pousser des ailes non plus.
Rogue One: A Star Wars Story
Rogue One: A Star Wars Story
Godzilla
Un chef pure d'œuvre.
The Creator
Godzilla
Rogue One: A Star Wars Story
Rogue One: A Star Wars Story
Rogue One: A Star Wars Story
Rogue One: A Star Wars Story
Rogue One: A Star Wars Story
Godzilla
Godzilla
Les films de science-fiction, hors grandes franchises, ne sont pas si courants, alors en grande amatrice, je ne passe généralement pas à côté, d’autant plus lorsque je pressens une petite pépite, ce qui fut le cas ici et sans surprise, c’est réellement un petit bijou du genre. Dans un premier temps, on peut se dire, rien de nouveau sous le soleil, des films sur l’IA on en a vu beaucoup, depuis de nombreuses années, c’est un sujet qui passionne et effectivement, ici, on n’invente rien de plus, les questions sont classiques de ce thème, on retrouve toutes les réflexions qui le composent, qui font toujours sa force malgré tout. Pour autant, là où ce métrage se détache totalement du lot, c’est sur la dimension humaine qui en ressort immédiatement, là où habituellement, l’IA est le méchant monstre des cauchemars, véritable croque-mitaine des technologies modernes, on le place dans ce cadre, dans une situation bien plus ambivalente, plus humaine, d’une sensibilité peu vue jusqu’à alors. Des robots, des machines qui doivent se battre pour leur liberté, sur qui tout le malheur du monde est sur les épaules, parce qu’il est plus facile de s’attaquer à des monstres jugés sans âme, qu’à des humains, pourtant, nous le savons tous, l’erreur est bien humaine et c’est là tout le fond du problème, est-ce que les véritables coupables de l’histoire, ce ne sont pas nous, nous, les monstres qui avons ruiné toute notre planète. La réalisation de Gareth Edwards est simplement sublime, magistrale, il nous offre un univers de science-fiction absolument bluffant, bien que très sombre, évidemment très futuriste, on retrouve pourtant cette volonté d’humaniser un cadre pourtant très technologique, de tenter de faire oublier les machines, au profit de l’humain. Visuellement, c’est un véritable petit bijou, assez grandiose dans ses grandes batailles, qui nous offrent un spectacle extraordinaire, doté d’effets spéciaux tout à fait maîtrisés, il se révèle plus doux, plus intimiste, le tout dans un parfait équilibre. En ce qui concerne le scénario, bien que le postulat de départ puisse être assez classique, abordant un sujet évidemment déjà vu, il parvient à nous livrer un récit qui sort du lot, qui fait toute sa force, toute son authenticité et qui finit par en faire un métrage unique en son genre. Bien que riche en action, c’est loin d’être seulement ça, c’est justement pour son intrigue annexe, par cette relation qui se noue à l’écran, par cette humanité omniprésente, qu’il fait la différence, devenant presque un film plus intimiste, bouleversant dans les questions qu’il aborde, c’est un récit finalement extrêmement fort, qui parvient à renverser tout ce que nous pouvions savoir sur le sujet. Quant au casting, il est absolument parfait, John David Washington y est intense de nuances, vrai coup de cœur pour le rôle de Gemma Chan et la petite Madeleine Yuna Voyles est simplement brillante de naturel.
En bref : Un film de science-fiction extraordinaire, magistral dans ses scènes de batailles, absolument grandiose par cet univers futuriste maîtrisé, il se révèle pourtant plus intimiste, plus humain que tout ce que nous connaissions jusqu’à présent, pourtant classique dans son traitement du sujet de l’IA, il va littéralement nous prendre à revers par un récit bouleversant, riche d’émotions, bien loin des machines sans âme auxquelles nous sommes tant habitués !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/10/31/the-creator/
The Creator
Vu en VF
The Creator
Ce film est à la fois touchant et juste. Il propose de très bonnes scènes d'actions, nous interroge sur la définition de l'humanité et nous émerveille par les visuels et technologies développées - cela inclut les stimulants, une forme d'intelligence artificielle, au cœur de l'intrigue.
J'ai été particulièrement marquée par la beauté des décors de The Creator. Le film a été tourné en décor naturel et place l'action en Asie du sud-est (la "Nouvelle Asie"). Les vues proposées sont vraiment magnifique ! J'ai également aimé la dichotomie entrainée par ce choix : les États-Unis, nation "uniquement" humaine et présentée au travers de son vaisseau l'USS NOMAD et de ses centres urbains, est opposée à la Nouvelle Asie, où les humains sont mêlés aux robots et aux simulants au milieu d'incroyables paysages naturels. La technologie n'éclipse pas ici la nature ; elle la magnifie.
Ces vues ont été par la suite retouchées sur ordinateur pour y insérer les créations de l'équipe du film. Cette technique, favorisée à celle de l'écran vert, a permis de diminuer significativement le budget nécessaire au tournage - une petite prouesse !
Que dire d'autres, à part le fait que j'ai l'impression d'avoir perçu la guerre du Vietnam au travers de ce film, l'aura de la bombe atomique derrière la puissance destructrice planante de l'USS NOMAD.
The Creator est une vraie réussite ; je ne peux que vous conseiller très chaleureusement de le voir en salle !
The Creator