Commentaires sur ses livres

On se demande où nous emmène ce film et la fin est finalement décevante pour tant d'attente... Melange de genre dérangeant qui m'élance comique tragique et horreur.

The Wailing aurait pu devenir l'un de mes films d'horreur préférés. Au début, j'étais sûre que ce serait le cas. Très peu de jump scares, une ambiance extrêmement dérangeante et un jeu d'acteur très bon... Visuellement, c'est tellement bien travaillé que c'en est d'autant plus décevant de voir que le scénario est aussi bancal. C'est simple, la seule façon qu'on a trouvé pour le faire avancer, c'est de nous donner un personnage principal complètement débile (et détestable), de faire agir ce dernier et ceux qui l'entourent d'une manière parfois complètement illogique et de nous faire croire que personne ne se bouge le cul alors que tout le monde tombe comme des mouches dans le village. Un événement de cette ampleur aurait tôt fait d'attirer les curieux, de faire réagir la police (à moins qu'ils ne soient tous des incompétents ignorants et aveugles comme on nous les peint ici), de susciter une enquête quelle qu'elle soit, bref, d'avoir des conséquences. Or, alors que des morts reviennent à la vie et que des gens se font massacrer par leur propre famille, personne ne réagit. Bien sûr, si c'était le cas, je suppose que le scénario ne serait plus le même et qu'il serait résolu en deux fois moins de temps. Mais, franchement, qu'on ne me sorte pas des trucs du genre

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des flics découvrent que le vieux Japonais fait la collection des photos des morts du village et pratique des rituels chez lui, et leur réaction est de s'excuser du dérangement et de repartir tranquillement chez eux sans appeler leurs collègues sur les lieux pour arrêter ce vieux dingue, ou quand Hyo Jin, la fille du héros, poignarde une grand-mère, les flics n'en ont rien à carrer et la laissent chez elle sans aucun compte à rendre... Seulement deux exemples ici, mais ils décrédibilisent déjà pas mal le scénario. Puis, qu'on essaye de nous faire croire que le shaman du début est en fait un méchant alors qu'il n'a juste aucune raison de l'être et que ça n'ajoute strictement rien à l'histoire, si ce n'est une sorte de cliffhanger en carton, je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer. Il est aussi important de mentionner qu'on ressort de ce film avec de nombreuses questions, toutes sans réponse, et la fin ouverte, bien que sinistre à souhait, ne fait que rendre le tout encore plus confus. C'est un choix, qu'on aime ou pas, mais je ne peux m'empêcher de me demander si la(les) personne(s)ayant créer le scénario savai(en)t où elle(s) allai(en)t ou si le seul but était de créer une histoire de fantômes, de démons et de rituels sataniques, sans chercher à lier tout ça proprement et à leur donner un sens...

Alors, par où commencer?
Ma tante m'a recommandé ce film, je l'ai vu. Depuis, j'ai l'impression de ne pas être la même.
Le suspense est à son comble dans ce film sud-coréen. Le scénario fait en sorte qu'on doute toujours, qu'on ne sache jamais ce qui va se passer plus tard. De plus, c'est ambigu, et c'est pas négatif. Il y a des choses qu'on ne comprend pas vraiment de base qu'on comprend un peu plus tard et quand on l'apprend : bah on ne s'y attendait pas en fait.
Après avoir vu la fin vraiment surprenante, j'ai l'impression que mon point de vue a changé sur beaucoup de choses mais surtout sur une chose : on ne connaît jamais la véritable nature des gens.

Très bon polar très sombre et violent. Les coréens font décidément de supers film, rien à voir avec les paillettes d'Hollywood.

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Ici pas de happy end où les gentils gagnent. J'ai vraiment été tenue en haleine, on espère jusqu'au bout pour Mi-jin Kim, on observe avec fascination l'évolution de Joong-ho Eom, le héros. La police brille par son incompétence, de notre côté on observe ces scènes avec un sentiment mêlant incrédulité, rire et horreur. Le cinéma coréen est vraiment peu connu mais mériterait grandement de l'être plus.

The Strangers, sortie dans 39 salles en France ce mercredi, réalisé par Na Hong-jin, est une énorme claque.

Le scénario est construit d'une telle manière que l'on doute sans cesse, le suspense est présent tout du long. Alors qu'on s'attend à un film policier, la trame part dans une direction totalement inattendue. L'histoire rentre dans un délire qu'on ne peut retrouver que dans le cinéma asiatique et ça fait du bien. Ça fait du bien de voir un film qui sort un peu des sentiers battus.

En bref, un film incroyablement bien maîtrisé que ce soit dans l'intrigue ou dans l'ambiance qu'il installe (ambiance pesante qui fonctionne très bien notamment grâce à la musique). Les acteurs sont tous excellents et celle interprétant la petite fille m'a bluffé.

The Chaser est, on peut le dire un coup de maître. Et le plus impressionnant est qu'il s'agit du premier film de ce realisateur. Réussir du premier coup un film de cette qualité ça ne me donne envie de dire qu'une chose: Chapeau bas!

Ce film a tout pour plaire. Son histoire, sa musique, ses scènes, en particulier celle que j'ai trouver magnifique

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lorsque la petite fille apprend que sa mère est morte et qu'elle pleure dans la voiture avec la musique en fond sonore. Ça m'a juste donné envie de pleurer. J'ai d'ailleurs du verser 2, 3 larmes mais bon, ça reste entre nous. Et en plus il est coréen ( ça change des films américains auquel on est habitué ).
Enfin bref tout cela pour dire que vous devriez être en train de le regarder au lieu de lire mon commentaire parce que vous rater quelque chose.