Jalil Lespert
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.03/10Nombre d'évaluations : 198
0 Citations 79 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Bof, j'ai pas accroché... Il a du talent, je ne remet pas cela en question, mais je ne trouve pas sa vie hyper dingue... On aurait pu en faire un documentaire ou quoi mais en faire un film... je trouvais pas ça spécialement intéressant
Afficher en entierAdapter Feydau et le transposer à l'époque moderne avait de quoi séduire et au final, c'était pas si mal que ça, même si c'est pas porté par des acteurs que j'apprécie beaucoup. On sent toujours trop le côté théâtre un pu lourd mais ça passe.
Afficher en entierAdapter Feydeau au cinéma est une prise de risque. Son humour a du mal à traverser le temps. Alors si on ajoute, comme ici, des acteurs insupportables qui font un concours de cabotinage, l'oeuvre tourne vite au supplice. Après une demi-heure de projection, le film devient difficile à regarder. Un quart d'heure plus tard, l'ensemble devient intenable et la touche stop de la télécommande met fin à la torture.
Afficher en entierTragique, "Nos vents contraires" est un de ces films noirs où la tristesse est omniprésente. Des évènements dramatiques s'enchainent, et le réalisateur joue sur l'ambiance, les paysages, pour créer une atmosphère sombre. Les acteurs, Benoit Magimel en particulier, jouent avec leurs tripes, on ne peut que se laisser emporter par l'émotion.
Afficher en entierBeaucoup aimé l’ambiance du film, pesante et prenante, même quand il ne se passe rien, parce que c’est super bien habité par les comédiens.
On a notre lot de surprises et rebondissements qui accrochent jusqu’au bout, une fin satisfaisante…
Pourtant, le truc est un poil tordu quand même…
Plein de fois, on se demande pourquoi se compliquer autant la vie par moment…
Les complications ne sont donc là que pour embrouiller le spectateur dans un premier temps puis le surprendre dans un second. Mais dans la vie, il est plus que probable que tout serait bien moins tordu… Ce qui amènerait, certes, à ce qu’il n’y ait pas de film…
Mais là, du coup, le film m’a plu pour l’ambiance mais je l’ai trouvé tiré par les cheveux pour l’histoire.
En tout cas, la réalisation est efficace et les souvenirs bien menés. Pas désagréables.
Afficher en entierUne très bonne comédie, avec de chouettes acteurs et beaucoup d'humour.
Afficher en entierJ'ai regardé ce film parce que j'aime bien Pierre Niney, et c'est une très belle découverte! Je ne suis pas du tout familière du milieu de la mode mais j'ai beaucoup aimé ce film, les 1h 45 sont passées très vite!
Afficher en entierUn bon thriller. On avait peur que l'histoire soit peu passionnante, mais au contraire, on arrive à être accroché jusqu'au bout. Le suspense est présent et les retournements de situation empêchent qu'on devine la suite au fur et à mesure. Il y avait plusieurs fins possibles, mais celle qu'on nous sert en vaut une autre... Très bons jeux des acteurs, tout à fait crédibles, et l'ensemble des scènes est réaliste.
Afficher en entierFilm très intéressant pour en apprendre plus sur la vie d'Yves Saint Laurent.
Afficher en entierQuel régal de voir cette pièce de théâtre, ce vaudeville adapté au cinéma.
Cette ambiance des années 60 et tous ces quiproquos c'est vraiment plaisant.
Les acteurs sont en verve et la réalisation est très belle et soignée.
J'ai totalement adoré et adhéré !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jalil Lespert
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Biographie
Adolescent, Jalil Lespert accompagne son père Jean, comédien de théâtre, à un casting : l'un et l'autre sont engagés, car le réalisateur Laurent Cantet recherche deux acteurs pour interpréter un père et son fils dans son court-métrage Jeux de plage (1995). Laissant de côté des études de droit, Lespert décroche en 1999 son premier rôle dans un long-métrage (Nos vies heureuses, le film-fleuve de Jacques Maillot), et reçoit un prix d'interprétation à Clermont-Ferrand pour ses prestations dans deux courts, dont l'un est signé Pierre-Erwan Guillaume, cinéaste qu'il retrouvera en 2004 (L' Ennemi naturel).
En 2000, c'est encore grâce à Laurent Cantet que Jalil Lespert accède à la notoriété : dans Ressources humaines, premier long-métrage du cinéaste, il est Frank, étudiant en école de commerce venu faire un stage dans l'usine où travaille son père. Seul acteur professionnel de la distribution, il livre une performance intense qui lui vaudra le César du Meilleur espoir masculin. Sorti quelques semaines après le film de Cantet, Un dérangement considérable, dans lequel il campe un aspirant footballeur amoureux de la mère de son meilleur ami, vient confirmer le talent et la sensibilité du comédien.
Jalil Lespert enchaîne alors les tournages, affichant une prédilection pour les rôles de composition. Sensuel jardinier (Sade), paumé obsédé par le culturisme (Vivre me tue), et plus tard boxeur (Virgil), l'acteur d'origine franco-algérienne incarne un émigré Italien fuyant le fascisme dans Bella Ciao. Resnais lui confie en 2003 un personnage de gigolo - dont le modèle est l'acteur Charlie Chase -, dans son opérette Pas sur la bouche, et Robert Guédiguian dirige l'acteur deux fois, lui offrant en 2005 le rôle d'un journaliste inspiré par Georges-Marc Benamou dans Le Promeneur du Champ de Mars, récit des dernières années de la vie de François Mitterrand, et en 2006 un rôle secondaire dans le drame sur le retour aux sources Le Voyage en Arménie.
Après avoir été Le Petit lieutenant sacrifié pour Xavier Beauvois, Jalil Lespert réalise son premier long métrage en 2007, 24 mesures, film-puzzle présenté à Venise. Il enchaîne en 2009 deux grands rôles, d'abord dans Lignes de front, où il interprète le personnage principal, un journaliste au Rwanda, et ensuite dans la série télévisée Pigalle, la nuit. En 2011, il tourne avec le cinéaste chinois Lou Ye dans Love and Bruises, et reprend la réalisation avec un deuxième long-métrage, le drame Des vents contraires, l'opportunité d'offrir encore une fois le personnage principal à Benoît Magimel, après 24 mesures.
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