James Foley
Réalisateur
Activité et points forts
Classement dans les cinéthèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 6.87/10Nombre d'évaluations : 457
0 Citations 120 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films

Je m'attendais à rien, il est pas trop mal même s'il reste dans du cliché et du bling bling. Je le trouve ni moins bon ni mieux que le précédent. Mais il a le mérite de pas prendre la tête.
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Un deuxième film beaucoup mieux que le premier ! J'ai beaucoup aimé, une vraie romance cette fois et un Christian beaucoup moins froid et antipathique c'est vraiment un changement bienvenu, de même que l'histoire de fond qui assombri la romance des deux personnages et qui apportent un côté mystérieux au scénario.
Nous retrouvons également une Ana beaucoup plus confiante et sûr d'elle qui commence à imposer ses propres conditions Ça m'a beaucoup plu !
Par ailleurs, les musiques étaient très belles et très bien choisies, tout à fait accordées au film.
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Ce troisième film était vraiment formidable, au top, l'action qui manquait aux deux premiers films a vraiment été bien exploité dans celui là. Le scénario était vraiment bien déroulé et convaincant, j'ai vraiment adoré.
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Pour ma part mieux que le premier, plus de rebondissement ont s'ennuient moins
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Mieux que les deux derniers opus, scénario beaucoup moins centré sur le sexe.
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Bien adapté du roman, vraiment très chaud, et sympa à regarder
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acteur au top, sympa et très chaud a regarder, bien adapter du livre
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C'est un peu la même chose que dans les précédents.
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On en apprend plus sur Christian mais ça reste terriblement critiquable et mauvais.
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Eh ben autant, j'ai eu un peu de sympathie pour le début de relation d'Ana et Christian, autant là, j'ai totalement décroché.
Malgré la fin assez ouverte à la fin du 1er film, on balaye bien vite ce faux suspense, ainsi que les interrogations légitimes des personnages (est-ce qu'on doit poursuivre une relation amoureuse avec une personne qui nous plaît humainement, mais pas sexuellement ?) pour s'enliser dans la romance mièvre par excellence. Avec Cinquante nuances "plus sombres" je m'attendais pourtant à un film plus pimenté, on est en fait sur une relation plan-plan, jalousie, discussions pseudo-psychologiques et sexe en missionnaire, qui a tout du téléfilm de Noël...
On a eu un changement de réalisateur aussi entre les deux films. Et sans dire que la réalisation clinquante de Sam Taylor-Johnson m'avait ébloui, elle avait le mérite d'avoir un peu de style. Mais alors là, y a-t-il un pilote dans l'avion ? Le film avait pourtant un budget conséquent, mais où est passé l'argent ? Par exemple, le bal masqué, quand même un moment supposément emblématique du film, c'est quand même l'affiche... Bah, c'est juste laid, pardon. On dirait que ça a été tourné dans un restaurant italien des années 80, ça ne provoque rien, alors que ça aurait pu être un moment visuellement splendide.
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Dédicaces de James Foley
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
United International Pictures (UIP) : 2 films
New Line Cinema : 2 films
Universal Pictures : 2 films
Hemdale Film : 1 film
Metropolitan FilmExport : 1 film
Arthur Cohn Productions : 1 film
Metro-Goldwyn-Mayer (MGM) : 1 film
Biographie
Après des études universitaires à la Southern California Film School, James Foley fait ses premières armes derrière la caméra en 1984 avec Reckless, un thriller teinté de romance dont le scénario a été écrit par un autre débutant : Chris Columbus. Aidan Quinn et Daryl Hannah y jouent les rôles principaux. Mêlant un suspens soutenu et une intrigue élégante à la description abrupte et sans concession de la nature profonde des personnages qui habitent ses films, le metteur en scène d'origine new-yorkaise dépeint, deux ans plus tard, l'univers d'une famille en crise dans Comme un chien enragé. Cette histoire tirée d'un fait réel propose un casting de rêve avec Christopher Walken en père criminel et Sean Penn en fils paumé.
En 1987, James Foley dirige la compagne de ce dernier, Madonna, dans Who's That Girl, l'occasion pour lui d'aborder un tout autre registre : la comédie. Mais le film est un échec retentissant, tant au niveau critique que commercial. Le cinéaste revient donc à ses premiers amours en 1990 avec une oeuvre très noire, After dark, my sweet, adaptation d'une nouvelle de Jim Thompson. Deux ans après, il collabore avec un scénariste de renom, David Mamet, pour Glengarry, une fable satirique sur le chaos moral de la société contemporaine. Pour l'occasion, le réalisateur réunit devant sa caméra une pléiade de stars parmi lesquelles Jack Lemmon, Al Pacino (qu'il retrouvera pour le drame Instant de bonheur en 1995), Kevin Spacey ou encore Ed Harris.
Après avoir enchaîné les tournages de films moins réussis comme L'Héritage de la haine (1996) et Fear (1998), il se lance en 1999 dans la réalisation d'un polar musclé avec Le Corrupteur. Mark Wahlberg y interprète un flic américain faisant équipe avec un policier d'origine chinoise joué par Chow Yun-Fat. Pressenti à la mise en scène de La Recrue, James Foley lui préfère le projet Confidence (2003), une histoire d'arnaque remplie de chausse-trappes et de rebondissements. Une nouvelle fois, le casting est impressionnant : Dustin Hoffman et Andy Garcia font figure de seconds couteaux de luxe face à Edward Burns et Rachel Weisz. Trois ans plus tard, ce sont Halle Berry et Bruce Willis qui répondent présent à son nouveau thriller Dangereuse séduction.
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