James Gray
Réalisateur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.9/10Nombre d'évaluations : 252
0 Citations 73 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Un film intéressant, avec de très bons acteurs, un scénario efficace plutôt original et du suspense.
Afficher en entierJe n'ai pas du tout apprécié. Tout est misé sur les images et les acteurs. Le scénario est creux, sans intérêt et aurait pu être traité en 40 minutes
Afficher en entierComme quasiment tous les films se déroulant dans l'espace le sentiment fonctionne, la musique (comme souvent) aide beaucoup même s'il y a aussi une très bonne utilisation des silences (si oppressants !). Spoiler(cliquez pour révéler)Je ne me remettrai jamais de la scène des singes
Afficher en entierUne très belle reconstitution d'une aventure qui a dû être à la fois passionnante et effrayante. Les images sont très belles et l'ambiance de la jungle parfaitement rendue. Les acteurs sont inspirés et ont plus l'air de vivre l'histoire que de la jouer. Cela dit, l'aventure est très calme, même les rares combats avec les indigènes ne sont pas très excitants. La fin donne l'impression d'un fondu enchaîné qui s'étale sur de longues minutes, c'est très bizarre, et on reste un peu sur sa faim de ne pas savoir exactement ce que sont devenus les deux explorateurs. Finalement c'est un bon film, sur la piste d'une civilisation perdue, mais surtout sur le caractère du principal personnage... Vu en VO.
Afficher en entierOk, c’est bien joué.
…
Voilà, on est au bout des arguments…
Télérama est allé jusqu’à 4T alors que leur max est de 3, je ne comprends pas… Parce que c’est bien joué… … Ah ! Ben voilà, je suis encore à bout d’argument…
La réalisation est assez sobre (pour ne pas dire plate), aucun effet, aucune tension véritable, pas de drame ou de scènes qui prennent aux tripes…
Il y a des tonnes de films où on ressent tant de compassion pour les personnages… Là, non, rien. J’avais juste envie de secouer Leonard pour qu’il se reprenne et dire à Michelle d’aller se débrouiller…
En plus, la fin est carrément prévisible…
Non, c’est bien joué, voilà ; fin des arguments.
Afficher en entierUn film bouleversant de richesse !
C’est avant tout le récit d’une enfance pas toujours simple, d’une enfance comme toutes les autres, faite de rêves, d’innocence, une enfance sans préjugés, mais une enfance rapidement mise à mal par le monde des adultes, qui ne comprend pas, qui dicte un destin tout tracé, mais pas celui voulu par le premier concerné. Parce qu’il faut constamment être à la hauteur des espérances de ses propres parents, ne pas décevoir leurs attentes, de longues études, un niveau d’excellence, un métier qu’ils veulent pour vous et même si ce sont évidemment, de bonnes intentions, c’est parfois à l’opposé de ce que souhaite l’enfant. Un enfant qui ne rêve que de devenir artiste, qui vit, certes, dans son monde, mais qui aurait le talent pour parvenir à exaucer son plus grand souhait, parce que quand on veut, on peut, parce que quand on y met tout son cœur, rien n’est impossible, mais malheureusement, aux yeux des autres, ce n’est pas un vrai métier, tout juste une passion. Au-delà encore, c’est un récit profondément touchant sur le racisme, celui qui perdure au fil de l’Histoire, notamment celui qui a profondément meurtri les juifs, mais plus tard aussi, celui de la communauté noire, un éternel recommencement, lorsque l’Homme déteste simplement la différence. La réalisation de James Gray est une fois de plus, absolument sublime, notamment pour cette époque qu’il met brillamment en avant, une reconstitution d’un réalisme saisissant, aux notes de sépia terriblement savoureuses, qui apportent un cachet hors du commun. Tout en sobriété, c’est un visuel d’une douceur infinie, d’une poésie incroyable et pourtant, rien n’est simple dans ce qu’il aborde, même si l’innocence de l’enfance prime, elle est malheureusement rapidement rattrapée par la violence du monde qui l’entoure. En ce qui concerne le scénario, c’est une pépite d’écriture, aucune longueur non assumée, c’est le pan d’une vie à hauteur d’enfant, avec ses petites joies, ses grandes peines et ses désillusions, cette sensation de ne jamais être compris, si ce n’est par une personne, la seule qui compte vraiment pour vous. C’est un récit bouleversant dans la justesse de ses émotions, dans les relations qu’il met en scène, des liens familiaux pas toujours simples, parfois maladroits, mais les erreurs n’empêchent pas l’amour et on fait souvent comme on peut, avec ses propres blessures, ses propres manques. Quant au casting, il est simplement brillant d’intelligence, avec un Anthony Hopkins absolument saisissant d’authenticité, Anne Hathaway y est incroyable, le rôle de Jeremy Strong est d’une crédibilité folle et évidemment le jeune Banks Repeta est littéralement bluffant.
En bref : Un film d’une intensité émotionnelle rare, une épopée magistrale de l’enfance, de son innocence, de l’amitié sans préjugés, de ses rêves, de ses petits bonheurs, mais aussi de sa détresse lorsque les adultes viennent mettre leur grain de sel, des carcans imposés par ses propres parents, autant que par la société, qui vient ternir ce moment béni où tout est possible et poser des limites, là où on ne demande pourtant que de s’épanouir !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2022/12/08/armageddon-time/
Afficher en entierC'est un bon film, comme tout film qui se passe dans l'espace c'est assez long au niveau des scènes, assez lent. Il faut aimer ça, je n'ai pas été passionnée par ce film mais j'ai passé un bon moment.
Afficher en entierUn film réussi malgré une première impression de lenteur. Bien entendu c'est plus l'histoire intérieure pour le héro qui importe que le déroulement du voyage vers Saturne. J'avais eu une impression comparable dans un autre film de science fiction, Mission 88 (ou ISRA 88) où l'ambiance est similaire d'une certaine manière. A la fin du film on oublie les invraisemblances techniques ou scientifiques qu'on avait relevées au passage. Les images sont magnifiques.
Afficher en entierUn film interessant, sans longueur, bien joué, j'ai passé un bon moment à le regarder
Afficher en entierJe m'attendais à un peu mieux de ce film... Anthony Hopkins est toujours aussi bon dans ses rôles, celui-ci ne fait pas exception, mais j'ai eu du mal à voir l'intérêt de ce film une fois terminé... Oui on peut noter le racisme envers ce jeune garçon, notamment avec l'autorité (instituteur, police), mais au delà de ça, il n'arrange pas son cas avec toutes les bêtises accumulées avec son ami. La différence avec Paul Graff, c'est son incapacité à s'en sortir avec l'aide d'une famille, car il n'a plus que sa grand-mère malade. Peut-être que ça aurait été plus probant avec un élève qui cherche à s'en sortir et travaille volontiers, mais il se met volontairement des bâtons dans les roues. Il nourrit les clichés dont les adultes sont habitués et subit leurs réprimandes. Je suis un peu partagée ! Mais cela reste un beau film à voir.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de James Gray
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
Wild Bunch Distribution : 1 film
Wild Bunch Distribution. : 1 film
Ciné Sorbonne : 1 film
Bac Films : 1 film
StudioCanal : 1 film
Biographie
Américain, né en 1969. La vision des films de Francis Ford Coppola et notamment d' Apocalypse Now en 1979 alors qu'il n'a que dix ans marquent profondément James Gray. Lui qui se destinait à la peinture se tourne vers le cinéma, qu'il étudie à l'University of South California. Après un film de fin d'études remarqué, la reconnaissance ne se fait pas attendre.
En 1994, alors qu'il n'a que 25 ans, son premier long métrage Little Odessa reçoit le Lion d'argent à Venise (ex-aequo avec Créatures célestes de Peter Jackson). Cette oeuvre âpre et virtuose s'attache au conflit psychologique d'un tueur solitaire (Tim Roth), en rupture avec sa famille et la communauté russe de New York. Refusant ensuite de mettre en scène plusieurs scripts (dont Ennemis rapprochés), il écrit une adaptation de Paycheck de Philip K. Dick, qu'aucun studio ne veut financer. Son deuxième long métrage, The Yards, écrit entre 1995 et 1997 et produit par Miramax, voit le jour en 2000. Sélectionné à Cannes, ce film noir aux allures de tragédie antique réunit grands anciens (James Caan, Faye Dunaway) et jeunes pousses prometteuses (Mark Wahlberg, Joaquin Phoenix, Charlize Theron).
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