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Jane Campion

Réalisateur

805 spectateurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Ajcerise 2013-12-19T13:19:33+01:00

Biographie

Nationalité : Néo-Zélandaise

Naissance : 30 avril 1954 (Wellington - Nouvelle-Zélande)

Âge : 59 ans

Ses réalisations 16 films 1 série

Ses productions 1 film 1 série

Présidente du Jury "Courts Métrages & Cinéfondation" du Festival de Cannes 2013.

Anthropologue de formation, Jane Campion se destine d'abord à la peinture en même temps qu'elle multiplie les expériences théâtrales. Fille d'une actrice et d'un directeur de théâtre, elle choisit finalement le cinéma et la réalisation, suivant des cours à l'Australian Film Television and Radio School de Sydney. Dès son premier court métrage, Peel (1982), elle remporte le Prix de la spécialité au Festival de Cannes. Ses courts métrages suivants seront tous primés.

Son premier long, Sweetie, écrit et réalisé en 1989, vaut à Jane Campion une nouvelle citation au Festival de Cannes. C'est toutefois avec son second opus, An Angel at my table (Prix Spécial du Jury à Venise en 1990), retraçant la vie tragique de la romancière Janet Frame, que la réalisatrice acquiert une véritable notoriété. Elle poursuit la peinture d'une galerie de personnages féminins en marge avec La Leçon de piano, qui lui permet dêtre en 1992 la première réalisatrice à décrocher la Palme d'Or. Plus de trente prix internationaux - dont le César du Meilleur film étranger - complètent le palmarès de cette œuvre qui révèle la comédienne Holly Hunter.

En 1996, Jane Campion adapte Henry James et présente son Portrait de femme, drame historique sur les conventions victoriennes avec Nicole Kidman en vedette. Eloignée des plateaux durant trois ans, la cinéaste revient en 1999 à son thème de prédilection avec un road-movie philosophique centré sur l'enfance, Holy Smoke, écrit en compagnie de sa soeur Anna.

Après quatre ans d'absence, Jane Campion signe en 2003 In the cut, un thriller érotique porté par Meg Ryan et Mark Ruffalo, avant de réaliser un court métrage documentaire sur l'environnement inclus dans 8 (2006), patchwork des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) fixés lors du Sommet du Millénaire en 2000. Cinéaste rare, elle n'est de retour qu'en 2009 avec Bright Star, long métrage centré sur le poète britannique du début du 18e siècle John Keats et de nouveau présenté en compétition à Cannes.

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Classement dans les cinéthèques

Diamant
128 spectateurs
Or
221 spectateurs
Argent
217 spectateurs
Bronze
164 spectateurs
Vu aussi
232 spectateurs
Envies
336 spectateurs
Pas apprécié
50 spectateurs
PAV
121 spectateurs

Quelques chiffres

Note moyenne : 7.27/10
Nombre d'évaluations : 186

0 Citations 55 Commentaires sur ses films

Dernier film
de Jane Campion

Sortie France : 2021-12-01

Les derniers commentaires sur ses films

Commentaire ajouté par pwachevski 2021-12-23T12:12:08+01:00
Le Pouvoir du chien

Le western, genre cinématographique de l'âge d'or d'Hollywood par excellence, largement ringardisé et décrié ensuite, entre son approche historique biaisée et ses codes sociaux complètement désuets, très peu #MeToo et encore moins #BlackLivesMatter, tente depuis quelques années doucement mais sûrement un come-back, avec des films qui tentent justement d'insuffler une approche plus actuelle à ce genre. On en a ainsi vu des plus poétiques (Danse avec les loups), des avec une technique cinématographique irréprochable (The Revenant), on en a vu qui mettait à l'honneur des femmes (Jane Got a Gun) ou des minorités (Django Unchained). Et là, sauf erreur de ma part, c'est pour la première fois qu'on s'aventure aussi frontalement à déconstruire la glorification abusive du mâle blanc hétéro et viril, dont on fait preuve dans les westerns classiques.

Mâles blancs hétéros et virils de 2021, ne partez pas en courant, on fait quand même ça avec beaucoup de finesse et de tact, on ne verbalise d'ailleurs quasiment pas les choses, on cherche pas non plus à tout prix à obtenir l'acceptation des spectateurs, le film vous donne le droit de ne pas être d'accord Spoiler(cliquez pour révéler)(la "solution" que trouve Peter face au problème, à savoir un assassinat méticuleusement préparé, est quand même très largement critiquable). On arrive cependant à mettre cette masculinité/virilité toxique au cœur du film, avec son approche par étape et sa fin énigmatique, presque trop rapide au regard du rythme lent du reste du film, qui laissera sûrement plus d'un spectateur dans l'incompréhension. C'est le genre de film qui vous reste en mémoire, sur lequel vous continuez de réfléchir des heures/jours après. Il provoque le débat plus qu'il ne vous donnera des réponses toutes faites sur ce sujet.

Pour vous servir un Benedict Cumberbatch en très grande forme, dans un rôle vraiment pas évident - c'est toujours difficile de briller quand on joue "le méchant de service". Il est parfait dans son jeu, ne tombe jamais dans le cliché ; c'est d'autant plus étonnant peut-être de la part d'un acteur comme Benedict Cumberbatch qui n'est justement pas du tout dans la vraie vie la caricature de l'acteur outrageusement viril et testostéroné, et pourtant il arrive à le devenir pour ce film. Avec en plus une prestation quand même très complète, qui nécessite un vrai engagement. C'est relativement physique, il faut quand même de savoir cabrioler sur un cheval et d'être à l'aise entouré de vaches, et il faut même savoir jouer du banjo. Le tout dans un film qui a la juste dose d'engagement politique : c'est bien simple, c'est un rôle à Oscar. Je ne prends pas les paris, je dis juste que c'est un rôle calibré pour gagner des prix et qu'il remplit parfaitement son rôle, donc qu'il va en gagner, c'est mathématique.

Pour l'accompagner, un très surprenant Kodi Smit-McPhee. C'est un acteur encore suffisamment inconnu, qu'on connait sans connaitre plutôt, pour qu'il puisse nous laisser sur le cul, car on attendait rien de lui. On peut venir vers ce film pour Cumberbatch, pour Jane Campion ou pour l'amour des westerns ; mais ceux qui sont venus là pour lui doivent quand même être très minoritaires. Lui aussi hérite d'un rôle pas facile du tout. Dans un commentaire qui me précède, on parle de slowburners, en effet il y a de ça. Kodi Smit-McPhee a la lourde tâche de devoir incarner principalement du silence, mais pas tout à fait à la façon d'un Daniel Day-Lewis dans There will be blood ou d'un Ryan Gosling dans Drive, car difficulté supplémentaire : son personnage parle, mais ce qu'il dit n'a pas foncièrement d'intérêt. Ce qui est vraiment important chez Peter, c'est ce qu'il fait sans parler, ce qu'il dit sans le dire, ce qu'il sous entend. Et du coup l'acteur doit en permanence être dans cette ambivalence, d'un personnage qui fait en faite deux choses en même temps. En tant que spectateur, on sait d'ailleurs pas vraiment sur quel pied danser avec lui pendant la quasi totalité du film ; ce qui est bien la preuve qu'on arrive à être sur le fil en permanence. Spoiler(cliquez pour révéler)Sans verser dans l'homophobie comme le fait Phil, au début du film, on le voit malgré nous comme un personnage inoffensif, voire faible. On a le sentiment qu'il se fait manipuler par Phil, qui finira par l'écraser. Mais en même temps, il nous surprend quand on apprend qu'il veut devenir médecin ou quand on le voit ne pas verser dans le sentimentalisme lorsqu'il faut tuer un lapin. Sans arriver à mettre le doigt dessus, on sent qu'il y a quelque chose de pas clair dans son jeu, jusqu'à ce que cette fin magistrale vienne complètement renverser la vapeur.

Kirsten Dunst ne démérite pas. On est plutôt contents de la voir, car bon, on ne vas pas se mentir, depuis Melancholia sa carrière est un peu au point mort. Mais c'est dommage qu'elle soit une fois encore dans un second rôle, qui a son importance dans l'intrigue, qui en est même l'élément déclencheur, mais ça ne tient bien plus à l'écriture du personnage qu'à sa prestation. Le clin d’œil du piano, qui est quand même LA pièce maîtresse du cinéma de Jane Campion, a cependant beaucoup plu à mon cœur de fan, car on a ici une approche totalement différente de l'instrument que dans La leçon de piano. Ici le piano est une source de stress, d'angoisse, de pression pour Rose, que le personnage de Phil s'amuse à accentuer, alors que dans La leçon de piano, le piano libère Ana, lui permet de s'exprimer et, bien au contraire, de résister à l'homme qui l’opprime. On a deux personnages qui sont en complète opposition, en gravitant toutes les deux autour d'un piano.

Et puis bon, bien sûr, il y a le talent de Jane Campion. Il y a cette finesse quand elle filme ses acteurs, la subtilité du jeu d'attirance et de répulsion des personnages de Phil et de Peter, les décors naturels de dingue, une photographie sublime. Bref, on n'a pas juste eu une bonne idée, qui permet juste de faire un bon film, on a aussi une exécution qui est totalement sans faute, qui permet de faire un excellent film.

J'ai hésité un long moment entre la liste or et argent et finalement soyons fou, mettons le film en liste or. Pourquoi ? Parce que mon premier paragraphe pouvait vous mettre sur la piste : je HAIS les westerns. Pour Jane Campion je suis prête a m'y aventurer, mais je savais d'avance que cet aspect des choses allait me déranger. Cette gêne est effectivement présente : avions-nous vraiment besoin d'une scène de castration à mains nues ?! Mais c'est à peu près le seul truc que je trouve à reprocher au film, et c'est un point de vue strictement personnel, basé sur rien d'objectif. Donc je trouve un peu illégitime de sanctionner le film dans ma notation pour cela.

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Commentaire ajouté par Cellophane 2022-01-03T10:30:52+01:00
Le Pouvoir du chien

Le film est très réussi mais je reste mitigé.

Indéniablement, il n’y a rien à redire sur la reconstitution, les décors, les costumes ou les comédiens : tout est parfait et on a véritablement l’impression de se retrouver en 1925 et la dure vie de cowboy – bien que ça aille pour le mieux pour tout le monde.

Les comédiens sont excellents et, pour ceux que je connais le mieux (les deux frères et Kirsten), ils sont vraiment différents de ce que j’ai pu voir d’eux, pleinement investi de leur rôle…

On a même droit à une conclusion qui explique et justifie tout le film.

Sauf que…

Avant d’arriver à cette conclusion, on ne sait pas où veut en venir le film, quel est son sujet… Rivalité, jalousie, homosexualité, découverte de soi, alcoolisme, drame qui finira par un meurtre ? Et j’en passe…

Si certains spectateurs peuvent se laisser porter, moi, ça m’a gêné.

Tout est assez anecdotique jusqu’à ce final qui donne du sens à l’ensemble. Mais avant le final, l’ensemble n’avait donc pas de sens pour moi…

J’ai bien aimé avoir fini le film mais j’ai parfois été gêné de ne pas savoir où on m’emmenait, malgré d’excellentes scènes qui perdaient leur saveur parce que je n’en voyais pas l’intérêt avant la fin.

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Commentaire ajouté par Apollo8 2022-01-05T23:25:35+01:00
La leçon de piano

Je suis mitigée sur ce film. Je m'attendais à une romance dans le même état d'esprit que Bright Star de la même réalisatrice, mais j'étais loin d'imaginer que ce film serait aussi sombre.

C'est peut-être intentionnel, mais je l'ai trouvé assez froid et dérangeant. Il est difficile de cerner les pensées et les motivations des personnages. Malgré cela, le film est porté par une belle musique.

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Commentaire ajouté par Kascobol 2022-02-10T20:45:15+01:00
Le Pouvoir du chien

Attention, ce film n’est pas un western.

C’est un drame et un vrai!

Les acteurs jouent à la perfection, et nous transmettent leurs emotions avec les tripes.

On est dedans, et on est pris par chacun des personnages jusqu’au dénouement.

A voir…

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Commentaire ajouté par Doigts_de_poussiere 2022-02-19T18:52:10+01:00
Le Pouvoir du chien

Un film vraiment pas mal avec un bon retournement de situation !

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Commentaire ajouté par lea130298 2022-03-30T23:01:20+02:00
Le Pouvoir du chien

Un film avec une photographie, une réalisation et des acteurs au sommet, ainsi qu'une représentation très juste du monde des cow-boys, mais tout de même un peu trop de longueurs

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Commentaire ajouté par Fells 2022-05-27T21:15:19+02:00
Le Pouvoir du chien

On retrouve dans cette œuvre l'aspect contemplatif signature de Jane Campion. Les personnages sont admirablement ancrés dans leur réalité et leur territoire, et les performances de Benedict Cumberbatch et Kirsten Dunst sont profondes, et nous prennent aux tripes.

Mais malgré une ambiance tendue d'émotion, je n'ai pas réellement saisi le thème prédominant. On dirait que tous sont traités avec la même intensité. J'ai eu l'impression que j'assistais à un déroulement de scènes de vies, sans qu'il y ait à aucun moment de montée de la tension dramatique.

J'ai attendu un coup de théâtre, une scène qui remuerait tout ce petit monde, mais elle n'est jamais arrivée. La fin m'a rendu perplexe et frustrée, et je ne comprenais pas dans quelle direction nous avait mené le film.

Donc bien que j'ai été emportée par l'ambiance et les personnages, le scénario fouillis et la fin plus que confuse pour moi m'ont déçue. Dommage, mais peut-être le revisionnerai-je, pour pleinement en saisir les subtilités.

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Commentaire ajouté par Fells 2022-06-14T18:17:36+02:00
La leçon de piano

Une très belle histoire, portée par la sensibilité de Jane Campion. Si au premier visionnage j'ai pu trouver cette œuvre singulière, maintenant je conçois de l'affection pour ces personnages désillusionnés, un goût certain pour ces décors naturels magnifiques, de la joie et de la tendresse à la vue de la complicité entre Ada et sa fille. C'est un film magnifique, dans lequel on embarque avec nostalgie, et qui célèbre l'amour sous toutes ses formes: amour de l'art, l'amour filial, l'amour romantique.

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Commentaire ajouté par Apollo8 2022-09-27T23:45:21+02:00
Le Pouvoir du chien

Un film lent et contemplatif, comme dit dans d'autres commentaires. Il dénote des westerns dont on a l'habitude. Il n'y a pas tellement d'action ni de grandes batailles, il y a peu de dialogues et beaucoup de sous-entendus. On n'obtient les informations que par bribes, par-ci par-là. On avance, chapitre après chapitre, dans cette histoire qui semble s'orienter d'une certaine manière mais qui nous surprend par sa fin. Les musiques transcrivent la sensation de mal-être à la perfection. Les acteurs sont aussi excellents.

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Commentaire ajouté par Cellophane 2023-03-09T14:49:06+01:00
Portrait de femme

Bon, moi, les films en costume, le XIXème, c’est pas mon truc.

Jane Campion, c’est pas mon truc.

Ce film confirme tout.

Si c’est romantique de montrer une femme dominée tout du long par la suprématie masculine, je ne marche pas. Si c’est pour dénoncer le fait, j’ai pas accroché.

Déjà, j’ai lâché très vite : on nous présente une Nicole Kidman forte et indépendante, contre le mariage et pour vivre sa vie. Très bien. Et très logiquement, elle refuse les offres de 50 beaux prétendants. Parfait.

Pour aller se fourrer rapidement dans les bras d’un type moche, imbu, insupportable.

Ben non, déjà là, je ne marche pas.

C’est pas subtil, c’est pas crédible.

Les liaisons dangereuses, oui, c’était subtil ; Barry Lindon, oui, c’était crédible et palpitant.

Là, c’est un film pas crédible qui s’étire en se répétant et proposant des comédiens à un seul sentiment, Malkovitch hautain et imbu d’un bout à l’autre, Kidman larmoyante et pleurnichiante tout du long…

Pas apprécié.

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Dédicaces de Jane Campion
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Studios

Ciby 2000 : 1 film

jan chapman : 1 film

Hibiscus Films : 1 film

StudioCanal : 1 film

PolyGram Filmed Entertainment : 1 film

Miramax Films : 1 film

Pathé : 1 film

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