Jean-Jacques Annaud
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Note moyenne : 7.65/10Nombre d'évaluations : 769
0 Citations 264 Commentaires sur ses films
Les derniers commentaires sur ses films
Une reconstitution plutôt bien menée pour cet évènement, qui prend bien le temps de faire monter le feu pour laisser aux acteurs de la lutte à venir d'en comprendre l'ampleur. Aucun feu ne sera plus fort et difficile à tenir que celui-là et j'ai aimé l'idée des deux jeunes sapeurs pour leur premier feu.
C'était agréable de suivre le combat intérieur... et extérieur des pompiers, toutes les actions à faire, les décisions à prendre dans ce court laps de temps. On oublie vite que sous l'équipement, ça reste des hommes et femmes qui risquent leur vie là-dedans.
Quelques moments auraient mérité d'être coupé mais dans l'ensemble, c'est assez efficace.
Afficher en entierJe pensais le film plus drôle...un bon moment, sans plus.
Afficher en entierUn film qui me faisais automatiquement pleurer étant plus jeune, je recommande
Afficher en entierJ ai adoré ce film, trop beau, trop émouvant, vraiment magnifique, avec des acteurs formidables !
Afficher en entierUn film plutôt sympa même si possiblement un certain temps pour entrer dans l'histoire me concernant
Afficher en entierCe film est un grand chef-d’œuvre du cinéma français ! Merci Jean-Jacques Annaud pour vos belles leçons de vie à travers vos films !
Je pourrais regarder "L'Ours" toute ma vie s'il le faut. J'adore. Je ne m'en lasse pas. Le rôle qu'on donne aux ours est presque humain. Derrière chaque film de Jean-Jacques Annaud, il y a toujours une morale ou un message qui est véhiculé : ici, c'est le mal qu'on fait aux animaux, la traque que le chasseur, l'homme fait.
Je pleure à chaque fois devant ce film tant il est émouvant.
Comment ne pas pleurer, sincèrement ?
Merci encore pour ces instants !
Un film inoubliable, qui saura traverser le temps.
Afficher en entierUn film d’une intensité remarquable !
À la fois fiction, mais surtout reconstitution parfaite, heure par heure, nous serons au cœur du pire incendie qui a frappé Notre-Dame de Paris, nous avons tous été témoins de ce drame, mais y être immergés complètement, c’est une autre histoire et ce qui va nous être montré est absolument révoltant. Attention, on ne parle pas des causes exactes, elles sont toujours inconnues véritablement d’ailleurs, mais les différentes hypothèses sont subtilement exposées, on parvient aisément à visualiser comment tout a commencé, mais il n’est pas question de pointer du doigt un coupable certain, simplement de voir comment tout cela a pu être possible. Néanmoins, ce qui marque immédiatement, ce sont toutes les erreurs qui ont pu suivre, qui ont conduit à ce que le pire arrive, parce que ce feu qui couvait aurait pu s’éteindre très vite, si tout avait été mis en œuvre en ce sens, mais dès les premières minutes, les dysfonctionnements ont été présents et ils n’ont fait que s’amplifier, jusqu’au point de non-retour. Ça paraît même totalement invraisemblable, rocambolesque, dans les évènements qui se sont enchaînés, si ça n’avait pas été si dramatique, ça aurait pu prêter à rire, mais en l’occurrence, on ne peut qu’être abasourdi de la façon dont cet événement s’est déroulé, tout en pensant que les conséquences auraient pu être bien plus tragiques, on se dit clairement que c’est un miracle que personne ne soit mort. On connaît le travail de réalisation de Jean-Jacques Annaud, il s’avère absolument idéal lorsque l’on parle d’un tel événement, sa vision extrêmement réaliste des choses se veut parfaitement adaptée dans ce contexte et effectivement, ça fonctionne à merveille, il mêle également de vraies images, apportant un peu plus de profondeur encore à son travail. Et visuellement, c’est époustouflant, être au cœur de cet incendie monumental est une expérience à part entière, unique, les frissons viendront inévitablement nous envahir, on sent toute sa force, toute sa violence, c’est absolument dévastateur et on ne peut en ressortir indemne. En ce qui concerne le scénario, parfaitement écrit, c’est un récit poignant de véracité, rien ne nous est caché, les décisions prises, les erreurs commises et elles seront nombreuses, tout nous est dévoilé, c’est une véritable course contre la montre, contre des éléments qui paraissent littéralement insurmontables. C’est avant tout une formidable mise en avant du métier de pompier, ce sont eux les vrais héros de cette tragédie, luttant non seulement contre un feu hors du commun, mais surtout contre des dispositifs tout simplement obsolètes, à croire qu’il était plus important de rénover l’image de cette cathédrale, plutôt que les installations qui lui aurait permis de lutter efficacement contre un quelconque incendie, c’est bien là, la véritable tragédie de cet événement. Quant au casting, c’est un ensemble d’une efficacité redoutable, mais on peut souligner la présence charismatique de Samuel Labarthe, j’ai beaucoup aimé les rôles de Jérémie Laheurte et de Maximilien Seweryn également.
En bref : Un film absolument époustouflant, d’une puissance visuelle rare, percutante, c’est une immersion saisissante au cœur de l’un des pires incendies, un drame en lui-même, qui a été alimenté par de multiples dysfonctionnements, des erreurs qui n’ont fait qu’en renforcer la force, dévastant tout sur son passage, un récit heure par heure, qui respecte au millimètre près la façon dont tout s’est déroulé, faisant de nous les témoins privilégiés de ce combat surhumain !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/09/07/notre-dame-brule/
Afficher en entierUn film/documentaire qui retrace heure par heure l'incendie de la Cathédrale de Notre Dame, et la mobilisation extraordinaire des pompiers pour essayer de sauver ce monument historique.
A premier abord, la retranscription semble très correcte, et permet de bien comprendre les difficultés auxquelles les forces du feu ont été confrontées. La partie scénarisée est passable, et ne gâche en rien le plaisir.
En somme, un bon film pour découvrir l'envers du décors de cette incendie qui a marqué l'histoire de Paris.
Afficher en entierUn très bon film émouvant et original (dans le sens que peu de films se sont intéressés au Tibet). Les décors sont certainement sublimes et je vois en quelque sorte ici un hommage à des valeurs profondes qui transcendent le bouddhisme par exemple. Le film en soi est très bon pour créer cette ambiance. Brad Pitt joue très bien son rôle. Il y a également des dialogues intéressants et le film en soi est plus profond qu'il peut sembler au premier abord, on parle tout de même des conflits politiques naissants entre la Chine et le Tibet.
Sur ce, je dirais tout de même que l'une de mes critiques est en lien avec l'histoire du vrai personnage. Encore une fois, je suis en mesure de faire la distinction entre la fiction et la réalité, mais je crois qu'on a trop mis de côté le fait que Heinrich Harrer reste tout de même... Un nazi. Mais bon, cela n'enlève rien à l'histoire, juste que cela m'a laissé perplexe.
Afficher en entierUn joli film, bien qu’un peu long, et une réalité un peu modifiée
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Jean-Jacques Annaud
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Studios
AMLF : 3 films
Pathé Distribution : 1 film
Warner Bros France : 1 film
Neue Constantin Film : 1 film
Cristaldifilm : 1 film
Les Films Ariane : 1 film
Renn Productions : 1 film
Belstar Productions : 1 film
Biographie
Fils d'agent SNCF, Jean-Jacques Annaud a, dès son plus jeune âge, le goût du voyage. Très tôt également, il se passionne pour le 7e art, décrochant un BTS de technicien du cinéma à l'Ecole Vaugirard en 1962, avant d'obtenir le diplôme de l'Idhec en section réalisation. Auteur à 19 ans d'un premier court métrage, Les Sept péchés capitaux du cinéaste, il signe à partir de la fin des années 60 des centaines de spots publicitaires.
Amoureux de l'Afrique, où il fut envoyé comme coopérant pour son service militaire, Jean-Jacques Annaud y réalise son premier long métrage, produit par Jacques Perrin, La Victoire en chantant, une comédie corrosive sur le colonialisme. Ignoré en France, ce coup d'essai remporte l'Oscar du Meilleur film étranger en 1977, ce qui lui vaut de ressortir dans l'Hexagone sous le titre (traduit de l'anglais) Noirs et Blancs en couleurs. Dans son deuxième long métrage, Coup de tête, le cinéaste explore l'univers du football et de ses supporters. Porté par l'interprétation de Patrick Dewaere, le film est salué par la critique à sa sortie en 1978. Après ce portrait de la France contemporaine, le cinéaste ne cessera de voyager dans l'espace et dans le temps.
En 1981, Jean-Jacques Annaud réalise ainsi La Guerre du feu, une évocation de la vie des hommes préhistoriques. Ce pari très audacieux (il n'y a aucun dialogue) et couronné de succès (César du Meilleur film et du Meilleur réalisateur) marque le début d'une fructueuse collaboration avec le scénariste Gérard Brach, jusqu'à la mort de celui-ci en 2006. En 1986, il relève un autre défi : porter à l'écran le best-seller médiéval d'Umberto Eco Le Nom de la rose. Cette fois, c'est un César du Meilleur film... étranger qui viendra saluer cette ambitieuse coproduction internationale avec Sean Connery. Il s'attaquera en 1992 à un autre roman réputé inadaptable, en tournant L'Amant d'après Duras.
Epris d'aventure et de découvertes, Annaud crée une nouvelle fois la surprise en 1988 avec L'Ours, un film animalier qui séduit petits et grands (il reviendra à ce genre en 2004 avec Deux frères) et se lance en 1996 dans un moyen-métrage utilisant le procédé en relief IMAX 3D : Les Ailes du courage. Installé à Los Angeles depuis 1993, le cinéaste dirige Brad Pitt à l'occasion d'un nouveau film en forme de voyage, Sept ans au Tibet (1997), puis Jude Law dans le film de guerre Stalingrad (2001). Toujours aussi imprévisible, Annaud revisite la mythologie grecque dans Sa Majesté Minor, avec José Garcia et Vincent Cassel, une œuvre qui le voit revenir à une langue française qu'il avait abandonnée depuis près de 30 ans.
Quatre années plus tard, il réalise un film d'aventure tourné en Tunisie, Or Noir, dans lequel Tahar Rahim incarne un prince en pleine ascension face à la rivalité d'autres émirs arabes. Antonio Banderas, Freida Pinto et le très à la mode Mark Strong sont aussi de la partie.
Source : Allociné.
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