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L'ours
Sept ans au Tibet
Sur ce, je dirais tout de même que l'une de mes critiques est en lien avec l'histoire du vrai personnage. Encore une fois, je suis en mesure de faire la distinction entre la fiction et la réalité, mais je crois qu'on a trop mis de côté le fait que Heinrich Harrer reste tout de même... Un nazi. Mais bon, cela n'enlève rien à l'histoire, juste que cela m'a laissé perplexe.
Sept ans au Tibet
A premier abord, la retranscription semble très correcte, et permet de bien comprendre les difficultés auxquelles les forces du feu ont été confrontées. La partie scénarisée est passable, et ne gâche en rien le plaisir.
En somme, un bon film pour découvrir l'envers du décors de cette incendie qui a marqué l'histoire de Paris.
Notre-Dame brûle
À la fois fiction, mais surtout reconstitution parfaite, heure par heure, nous serons au cœur du pire incendie qui a frappé Notre-Dame de Paris, nous avons tous été témoins de ce drame, mais y être immergés complètement, c’est une autre histoire et ce qui va nous être montré est absolument révoltant. Attention, on ne parle pas des causes exactes, elles sont toujours inconnues véritablement d’ailleurs, mais les différentes hypothèses sont subtilement exposées, on parvient aisément à visualiser comment tout a commencé, mais il n’est pas question de pointer du doigt un coupable certain, simplement de voir comment tout cela a pu être possible. Néanmoins, ce qui marque immédiatement, ce sont toutes les erreurs qui ont pu suivre, qui ont conduit à ce que le pire arrive, parce que ce feu qui couvait aurait pu s’éteindre très vite, si tout avait été mis en œuvre en ce sens, mais dès les premières minutes, les dysfonctionnements ont été présents et ils n’ont fait que s’amplifier, jusqu’au point de non-retour. Ça paraît même totalement invraisemblable, rocambolesque, dans les évènements qui se sont enchaînés, si ça n’avait pas été si dramatique, ça aurait pu prêter à rire, mais en l’occurrence, on ne peut qu’être abasourdi de la façon dont cet événement s’est déroulé, tout en pensant que les conséquences auraient pu être bien plus tragiques, on se dit clairement que c’est un miracle que personne ne soit mort. On connaît le travail de réalisation de Jean-Jacques Annaud, il s’avère absolument idéal lorsque l’on parle d’un tel événement, sa vision extrêmement réaliste des choses se veut parfaitement adaptée dans ce contexte et effectivement, ça fonctionne à merveille, il mêle également de vraies images, apportant un peu plus de profondeur encore à son travail. Et visuellement, c’est époustouflant, être au cœur de cet incendie monumental est une expérience à part entière, unique, les frissons viendront inévitablement nous envahir, on sent toute sa force, toute sa violence, c’est absolument dévastateur et on ne peut en ressortir indemne. En ce qui concerne le scénario, parfaitement écrit, c’est un récit poignant de véracité, rien ne nous est caché, les décisions prises, les erreurs commises et elles seront nombreuses, tout nous est dévoilé, c’est une véritable course contre la montre, contre des éléments qui paraissent littéralement insurmontables. C’est avant tout une formidable mise en avant du métier de pompier, ce sont eux les vrais héros de cette tragédie, luttant non seulement contre un feu hors du commun, mais surtout contre des dispositifs tout simplement obsolètes, à croire qu’il était plus important de rénover l’image de cette cathédrale, plutôt que les installations qui lui aurait permis de lutter efficacement contre un quelconque incendie, c’est bien là, la véritable tragédie de cet événement. Quant au casting, c’est un ensemble d’une efficacité redoutable, mais on peut souligner la présence charismatique de Samuel Labarthe, j’ai beaucoup aimé les rôles de Jérémie Laheurte et de Maximilien Seweryn également.
En bref : Un film absolument époustouflant, d’une puissance visuelle rare, percutante, c’est une immersion saisissante au cœur de l’un des pires incendies, un drame en lui-même, qui a été alimenté par de multiples dysfonctionnements, des erreurs qui n’ont fait qu’en renforcer la force, dévastant tout sur son passage, un récit heure par heure, qui respecte au millimètre près la façon dont tout s’est déroulé, faisant de nous les témoins privilégiés de ce combat surhumain !
Avis complet sur le blog : https://vampiloufaitsoncinma.com/2023/09/07/notre-dame-brule/
Notre-Dame brûle
Je pourrais regarder "L'Ours" toute ma vie s'il le faut. J'adore. Je ne m'en lasse pas. Le rôle qu'on donne aux ours est presque humain. Derrière chaque film de Jean-Jacques Annaud, il y a toujours une morale ou un message qui est véhiculé : ici, c'est le mal qu'on fait aux animaux, la traque que le chasseur, l'homme fait.
Je pleure à chaque fois devant ce film tant il est émouvant.
Comment ne pas pleurer, sincèrement ?
Merci encore pour ces instants !
Un film inoubliable, qui saura traverser le temps.
L'ours
Le dernier loup
Deux frères
Deux frères
Coup de tête
C'était agréable de suivre le combat intérieur... et extérieur des pompiers, toutes les actions à faire, les décisions à prendre dans ce court laps de temps. On oublie vite que sous l'équipement, ça reste des hommes et femmes qui risquent leur vie là-dedans.
Quelques moments auraient mérité d'être coupé mais dans l'ensemble, c'est assez efficace.
Notre-Dame brûle
L'ours
Le Nom de la Rose
Sept ans au Tibet
J'ai beaucoup aimé Notre Dame brûle, avec sa réalisation léchée qui inclut aussi de temps en temps des images d'amateurs, son suspens et son rythme qui nous entraînent comme une vague inéluctable tout le long du visionnage. L'incendie de Notre-Dame est exploré de façon large : le réalisateur parle aussi bien des soucis d'accès au site que du matériel utilisé par les pompiers, des différentes spécialités au sein des brigades et du sauvetage des œuvres, de la médiatisation de l'incendie comme du choc des spectateurs.
L'équipe du film a également pris la décision de ne pas mettre en scène une version du départ de feu plutôt qu'une autre, faute de preuves. Des indices sont donc disséminés pour nous faire saisir l'étendue des possibilités de départ de feu, donc la diversité des manquements...
La seule remarque que je ferais est que le format du film ne permet pas de saisir quelles parties sont inspirées de faits réels et lesquelles sont romancées. J'aimerais savoir où les faits se terminent et où commence l'imagination du scénariste.
Notre-Dame brûle