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L'équipe CineNode
Il abandonne le faculté de médecine après mai 1968, tente le concours d'entrée à l'IDHEC mais est classé 21e et échoue. En 1969, il débute comme deuxième puis premier assistant-réalisateur de Jean Becker sur la célèbre série télévisée Les Saintes chéries, de Claude Berri en 1970 et de Claude Zidi en 1971.
En 1977, il réalise son premier court métrage Le Chien de M. Michel récompensé par le premier prix au Festival de Trouville.
En 1980, Jean-Jacques Beineix réalise son premier long métrage « Diva », récompensé par quatre César en 1982.
Après l'échec de "La Lune dans le caniveau", il réalise en 1986 "37°2 le matin" avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade nommé à l'Oscar du Meilleur film étranger.
En 1989, il réalise "Roselyne et les Lions", en 1992 "IP5", en 2001 "Mortel transfert".
À l'automne 2006, il publie le premier tome de ses mémoires Les Chantiers de la gloire, dont le titre est clairement et selon ses propres propos (interviews et rencontres publiques) une allusion au film Les Sentiers de la gloire.
Source WIKI
En 1964, Jean-Jacques Beineix débute comme assistant-réalisateur de Jean Becker sur la célèbre série télévisée Les Saintes chéries jusqu'à fin 1967, puis en 1970 pour Claude Berri et 1971 pour Claude Zidi. En 1977, il réalise son premier court métrage Le Chien de M. Michel récompensé par le premier prix au Festival de Trouville. En 1980, Jean-Jacques Beineix réalise son premier long métrage « Diva », récompensé par quatre César en 1982. Après l'échec de La Lune dans le caniveau, il réalise en 1986 37°2 le matin avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade nommé à l'Oscar du Meilleur film étranger. En 1989, il réalise Roselyne et les Lions, en 1992 IP5, en 2001 Mortel transfert. À l'automne 2006, il publie le premier tome de ses mémoires Les Chantiers de la gloire, dont le titre est clairement et selon ses propres propos (interviews et rencontres publiques) une allusion au film Les Sentiers de la gloire.
En 2008, Jean-Jacques Beineix a réalisé un film de présentation pour le CNRS. Ce film s'inscrit en référence à la nouvelle identité visuelle de cet organisme scientifique. Il est également le parrain du Festival CinémaScience, un festival de longs-métrages de fiction organisé par le CNRS à Bordeaux.