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L'Infirmière
Harmonium
Japon. Toshio, Akié et leur petite fille mènent une vie paisible. Yasaka, ancien ami de Toshio, vient frapper à la porte. Doucement, il s’immisce dans la famille, apprend l'harmonium à la fillette, se rapproche dangereusement d'Akié. Les clichés s’enchaînent – triangle amoureux, excuses simplettes et idiotes permettant aux deux amants de se rapprocher, histoire d'amour à l'eau de rose. De l'ordinaire. Le premier élément perturbateur apparaît comme une fin. Yasaka a commis l'irréparable
La deuxième partie du film se retrouve alors noyée sous un trop plein de pathétique, de tragique. Le verre déborde de tous les côtés. Le rythme disparaît :les plans sont mal dosés, trop longs, ne dévoilent rien d’intéressant, l'accélérateur est cassé. Et les effets de surprise s'écroulent – car clichés, déjà vus -, deviennent prévisibles. Harmonium se veut dénonciateur. Peut être trop : les sujets sont surabondants, trop vaste : la vie de couple sur le long terme,
Il aurait fallu en choisir un seul, l'exploiter en profondeur, ne pas uniquement le survoler. Le film, à tous les niveaux, donne l'impression de ne pas avoir été suffisamment travaillé. Il aurait fallu relire le scénario, revoir le découpage technique, supprimer certaines séquences au montage : un brouillon, qui aurait pu être agréable, si l'on avait prit la peine d'effacer toutes les tâches d'encres abîmant la feuille.
Harmonium