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Toutes les sagas de Martin Scorsese

2 films
90 spectateurs

Eddie Felson est un brillant joueur de billard mais également un escroc à la petite semaine qui se sert de son talent pour plumer les joueurs débutants. Il se rend à New York afin de réaliser son rêve, battre le légendaire champion Minnesota Fats. Après une nuit de combat acharné, Minnesota finit par l’emporter. Désormais fauché, Eddie n’a plus qu’une idée en tête, prendre sa revanche. Il fait la rencontre de Sarah, une étudiante alcoolique qui le suivra tout au long de son périple, et de Bert Gordon. Ce dernier accepte de devenir son coach et de lui apprendre les ficelles.

Tous les films de Martin Scorsese

Interdit aux moins de 12 ans

En 1954, le marshal Teddy Daniels et son coéquipier Chuck Aule sont envoyés enquêter sur l'île de Shutter Island, dans un hôpital psychiatrique où sont internés de dangereux criminels. L'une des patientes, Rachel Solando, a inexplicablement disparu. Comment la meurtrière a-t-elle pu sortir d'une cellule fermée de l'extérieur ? Le seul indice retrouvé dans la pièce est une feuille de papier sur laquelle on peut lire une suite de chiffres et de lettres sans signification apparente. Oeuvre cohérente d'une malade, ou cryptogramme ?

Au début des années 1970 dans le quartier de Little Italy à New York, Charlie et Johnny Boy tentent de percer dans le milieu. Si Charlie a ses chances grâce à son oncle bien intégré dans la mafia qui lui promet la gestion d'un restaurant, Johnny Boy criblé de dettes multiplie ce qui apparaît de plus en plus comme des provocations. Charlie marqué par la religion et la figure de Saint François d'Assise protège et tente de sauver un Johnny Boy qui se condamne lui-même chaque jour davantage...

Travis Bickle, un jeune homme du Middle West récemment démobilisé des marines, est chauffeur de taxi de nuit à New-York. Pour échapper à l'ennui et à la solitude, il décide de faire quelque chose de sa vie. Il commence à faire la cour à Betsy, l’assistante du sénateur Charles Palantine, candidat aux présidentielles, mais elle le repousse après qu'il l'a emmenée voir un film pornographique. Confronté à la violence et à la perversion de la nuit new-yorkaise, il devient fou et commence à s’entraîner au maniement des armes...

La nuit infernale d'un jeune informaticien, employé de banque et grand admirateur d'Henry Miller, dans le quartier bohème de Soho, à New York...

En 1846, le quartier de Five Points, un faubourg pauvre de New York, est le théâtre d'une guerre des gangs entre émigrants irlandais d'un côté, les Dead Rabbits menés par Père Vallon, et les Native Americans de l'autre, dirigés par le sanguinaire Bill le Boucher. Ce dernier met rapidement en déroute les Dead Rabbits en assassinant leur chef, et prend par la même occasion le contrôle exclusif des rues de la « grosse pomme ». Afin de renforcer ses pouvoirs, Bill s'allie avec Boss Tweed, un politicien influent. Seize ans plus tard, le gang des Native Americans règne toujours en maître dans New York. Devenu adulte, Amsterdam Vallon souhaite venger la mort de son père en éliminant Bill. Mais sa rencontre avec Jenny Everdeane, une énigmatique pickpocket dont l'indépendance et la beauté le fascinent, va compliquer les choses.

A Boston, une lutte sans merci oppose la police à la pègre irlandaise.

Pour mettre fin au règne du parrain Frank Costello, la police infiltre son gang avec "un bleu" issu des bas quartiers, Billy Costigan.

Tandis que Billy s'efforce de gagner la confiance du malfrat vieillissant, Colin Sullivan entre dans la police au sein de l'Unité des Enquêtes Spéciales, chargée d'éliminer Costello. Mais Colin fonctionne en "sous-marin" et informe Costello des opérations qui se trament contre lui.

Risquant à tout moment d'être démasqués, Billy et Colin sont contraints de mener une double vie qui leur fait perdre leurs repères et leur identité.

Traquenards et contre-offensives s'enchaînent jusqu'au jour où chaque camp réalise qu'il héberge une taupe. Une course contre la montre s'engage entre les deux hommes avec un seul objectif : découvrir l'identité de l'autre sous peine d'y laisser sa peau...

Jake LaMotta est un boxeur américain d'origine italienne surnommé « le taureau du Bronx ». Issu d'un milieu modeste, il atteint les sommets grâce à des combats mythiques, notamment contre Sugar Ray Robinson et Marcel Cerdan, qui le mèneront au titre de champion du monde des poids moyens. Mais il connait ensuite l'échec de sa vie privée (divorce, reconversion en gérant de boîte de nuit, ...).

Interdit aux moins de 16 ans

Depuis sa plus tendre enfance, Henry Hill, né d'un père irlandais et d'une mère sicilienne, veut devenir gangster et appartenir à la Mafia. Adolescent dans les années cinquante, il commence par travailler pour le compte de Paul Cicero et voue une grande admiration pour Jimmy Conway, qui a fait du détournement de camions sa grande spécialité. Lucide et ambitieux, il contribue au casse des entrepôts de l'aéroport d'Idlewild et épouse Karen, une jeune Juive qu'il trompe régulièrement. Mais son implication dans le trafic de drogue le fera plonger...

Au début des années 1970, Sam « Ace » Rothstein1 (Robert De Niro) est envoyé à Las Vegas par la mafia de Chicago pour diriger l'hôtel-casino Tangiers, financé en sous-main par le puissant syndicat des camionneurs et qui sert de paravent à la mafia. Il a un contrôle absolu de toutes les affaires courantes, et gère d'une main de fer cette « terre promise », tandis que l'argent coule à flots. Le Tangiers est l'un des casinos les plus prospères de la ville et Ace est devenu le grand manitou de Vegas, secondé par son ami d'enfance, Nicky Santoro2 (Joe Pesci). Mais celui-ci va peu à peu prendre ses distances pour s'engager dans un chemin plus sombre et criminel. Impitoyable avec les tricheurs, et obsédé par la maîtrise de tous les événements, Rothstein se laisse pourtant séduire par une prostituée, Ginger McKenna (Sharon Stone), virtuose de l'arnaque et d'une insolente beauté.

Fou amoureux, il lui ouvre les portes de son univers, l'épouse et lui fait un enfant. Mais leur relation se révèle être à l'image de Las Vegas, scintillante en apparence, mais en réalité rongée de l'intérieur. Un temps séduite, Ginger n'arrive pas à oublier son ancien souteneur, Lester Diamond (James Woods), un petit escroc sans envergure. La mécanique bien huilée du Tangiers et la vie personnelle de Sam ne vont pas tarder à se gripper, et tous les personnages vont être voués à la déchéance d'une manière ou d'une autre, sans rédemption possible.

Aviator couvre près de vingt ans de la vie tumultueuse d'Howard Hughes, industriel, milliardaire, casse-cou, pionnier de l'aviation civile, inventeur, producteur, réalisateur, directeur de studio et séducteur insatiable. Cet excentrique et flamboyant aventurier devint un leader de l'industrie aéronautique en même temps qu'une figure mythique, auréolée de glamour et de mystère.

Dans le Paris des années 30, le jeune Hugo est un orphelin de douze ans qui vit dans une gare. Son passé est un mystère et son destin une énigme. De son père, il ne lui reste qu’un étrange automate dont il cherche la clé - en forme de cœur - qui pourrait le faire fonctionner. En rencontrant Isabelle, il a peut-être trouvé la clé, mais ce n’est que le début de l’aventure…

Rupert Pupkin n'a qu'un rêve : devenir un grand comique. Un soir, à la sortie d'un enregistrement de l'émission télévisée The Jerry Langford Show, il parvient à approcher l'animateur vedette, Jerry Langford, et à l'accompagner (contre son gré) dans sa limousine. Persuadé que c'est le signe du début de sa grande carrière, Rupert n'aura de cesse de harceler Jerry pour être invité dans son show ...

Le plus célèbre des charpentiers est tourmenté par ses propres démons, la culpabilité de fabriquer des croix pour les Romains et l’appel de Dieu. Fou à lier ou messager des hommes, Jésus ignore encore tout de son devenir. Pour éclaircir son destin, il décide d’aller à la rencontre des gens du pays. Dans sa mission, il expérimentera la plus grande des tentations: vivre une simple vie d’homme.

Malgré l’avertissement du prologue, rappelant que le film est une adaptation du livre de Kazantzakis et non des Evangiles, La Dernière Tentation du Christ n’a pas manqué de faire scandale auprès des extrémistes religieux qui, bien évidemment, critiquaient sans n’avoir ni lu le livre, ni vu le film. On se souvient qu’en France, un cinéma de Saint-Michel avait été incendié par un groupe de catholiques fanatiques, arguant haut et fort que le film était blasphématoire. Qu’en est-il réellement? Comme le rappelle si justement Jean-Etienne Pieri: "On sait combien ce long-métrage, dont la réalisation fut plusieurs fois reportée, est tout à la fois la somme et la matrice de l’œuvre du cinéaste". Scorsese s’étant confronté directement à la figure christique dans ses précédents films, et ayant été élevé dans le plus grand respect de la religion, que craignaient-ils vraiment d’une telle production? Le point de vue autre. Celui d’un cinéaste plus impliqué par le souci de poser des questions, que par celui d’y répondre, la Bible sous les yeux. Ce film offre une relecture des saintes écritures, dans l’unique but de comprendre Jésus, figure déiste par excellence, le comprendre comme un homme, comprendre qu’il n’avait pas toutes les réponses, qu’il n’enseignait pas les choses aux autres comme le ferait un professeur, comprendre enfin qu’il n’avait pas un halo de lumière autour de la tête, et qu’aucune aura particulière ne le distinguait des autres hommes. La Dernière Tentation du Christ n’est pas un enseignement religieux ou une simple illustration des Evangiles. Bien au contraire, le film s’offre comme une parabole neuve et vivante sur laquelle la discussion est permise.

Et si Jésus était montré comme un homme, et non comme le fils de Dieu? Et si Jésus s’exprimait comme un charpentier, et non comme un prophète? Et si l’occasion se présentait à lui de suivre son libre arbitre, quel choix ferait-il? Préférerait-il être sacrifié sur la croix pour servir son Dieu, ou vivre une vie de simple mortel, avec les plaisirs de la chair et de la vie sans responsabilité? Vous qui ne croyez en rien, ou rejetez les paraboles religieuses, prêteriez-vous davantage attention à lui, puisqu’il vous ressemble? Voici en tous cas les quelques angles principaux d’attaque de Kazantzakis dans son livre, repris pour le film par Scorsese. Dans la Bible, lorsque Jésus a les membres cloués sur sa croix, il lève péniblement les yeux vers le ciel et s’écrie, effondré: "Père, pourquoi m’avez-vous abandonné?", avant de reposer la tête dans un râle de douleur, et d’ajouter, avant de mourir: "Tout est accompli". Pour le romancier comme pour le cinéaste, tout est parti de l’étrange mystère qui entoure ces deux phrases, de ce besoin de comprendre ce qui avait bien pu traverser l’esprit de Jésus entre cette première question, et cette dernière certitude. Avait-il été tenté de renoncer? Au profit de quoi? C’est ce que le film explore dans les quarante-cinq dernières minutes, ouvrant ainsi l’un des voyages les plus dépaysants et les plus envoûtants du cinéma de Scorsese.

Bien sûr, si le film prône l’ouverture d’esprit et la libre interprétation des écritures religieuses, il n’en est pas pour autant exempt de défauts. Scorsese reconnaît lui-même qu’il aurait eu besoin d’un budget supérieur, de deux semaines supplémentaires de tournage, et de deux mois additionnels de montage pour réaliser au mieux son projet. Il regrette également avoir enlevé certains éléments et en avoir gardé certains autres. Mais le film existe, baroque et fiévreux, et c’est finalement tout ce qui lui importe. Ses choix artistiques sont osés: tout en décor naturel, effets spéciaux effectués à la prise de vue, trucages des miracles d’une simplicité évangélique, contrastant fortement avec la qualité numérique des incrustations contemporaines. Jésus et les apôtres parlent avec un accent américain, les romains avec un accent anglais… La caméra flotte autour de Willem Dafoe avec une énergie qui n’a rien à voir avec les fresques bibliques hollywoodiennes du passé, et la musique de Peter Gabriel est de consonance sud-africaine! La volonté de Scorsese, une fois de plus, de représenter un monde de manière franche et anti-poétique, atteint ici son paroxysme. La Dernière Tentation du Christ, pour qui le voit dans de bonnes conditions, amène à la réflexion et marque l’esprit d’images somptueuses. Une expérience unique.

Peter Dourountzis

Après quatorze années passées en prison, « pour viol et voie de fait sur une mineure », Max Cady retrouve la liberté, bien décidé à se venger de Sam Bowden, l’avocat qui l’avait défendu et qui a fait disparaître un rapport du dossier d’instruction qui aurait pu lui être favorable et lui gagner l’indulgence de sa femme qui préféra au contraire l’abandonner : "La victime n'était pas une oie blanche et avait eu déjà de multiples aventures avec plusieurs garçons différents."

Cady, qui se défend seul en appel, après avoir appris à lire et à écrire en prison, constate que la disparition de ce rapport l’empêcha d’obtenir des circonstances atténuantes, et par conséquent, la moitié de ses quatorze ans de peine. Il ne cesse alors de persécuter son ancien avocat, sa femme et sa fille, en faisant preuve d’une « rigueur » et d’une « détermination » implacable, refusant le dédommagement financier que lui propose Sam Bowden après la réprimande d'un juge d'application des peines de ses amis : "tout accusé a droit à l'assistance d'un avocat"... "Tu as enterré le dossier."

Années 1870. Tandis qu'il annonce officiellement ses fiançailles avec May Welland, le jeune aristocrate Newland Archer apprend qu'Ellen Olenska est de retour à New York. Souvenir d'enfance, Ellen Olenska a épousé un riche parti et vivait jusqu'alors en Europe. Elle rentre après avoir quitté un mari volage et tente non sans mal de reprendre le cours de la vie mondaine de New York.

Newland Archer s'empresse d'entourer Ellen de ses conseils et de la guider à travers la jungle aristocratique des convenances et des commérages.

Petite frappe du quartier italien de New York, J.R. décide de se poser pour épouser la femme qu'il aime. Il apprend que celle-ci a été violée quelque temps plus tôt et il ne peut en supporter l'idée.

L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…

Pendant la Grande Dépression dans l’Arkansas, Bertha Thompson, une jeune fille assiste à la mort accidentelle de son père, provoquée par un employeur tyrannique. Seule, sans toit ni travail, elle se retrouve sur les routes et utilise les wagons des trains de marchandises pour se déplacer (d’où son futur surnom de "Boxcar Bertha", Fourgon à bestiaux). Elle fait la connaissance de Bill Shelly, un syndicaliste qui va lui transmettre sa révolte. Tous deux deviennent des pilleurs de trains confirmés.

Martin Scorsese réalise son rêve de toujours : filmer les Rolling Stones, le groupe qui incarne le rock'n'roll à lui tout seul. Le gang qui a escorté toute son oeuvre. Cette rencontre cinématographique donne naissance au film musical événement : Shine a Light. De la préparation à la performance, entrecoupé d'images backstage et d'archives, 16 caméras et les plus grands chefs opérateurs internationaux captent l'énergie légendaire de Mick Jagger, Keith Richards, Charlie Watts et Ronnie Wood lors de leurs concerts au Beacon Theatre à New York. Shine a Light : dans l'intimité d'un groupe mythique et du plus rock'n'roll des cinéastes !

A travers l'histoire de la quatorzième réincarnation du Bouddha de la Compassion, de son plus jeune âge a l'invasion du Tibet par l'armée de Mao et a son exil en 1959, hommage au dalaï-lama. "Kundun", c'est l'aventure d'un jeune homme qui se forgea en quelques années une stature de leader et resta fidèle a ses principes de non-violence pour conduire son peuple a travers l'une des périodes les plus tourmentées de son histoire.

Commençant sur un panneau disant « This film should be played loud! » (« Ce film doit être écouté fort ! »), en référence à la pochette intérieure de l'album Let It Bleed des Rolling Stones, le documentaire étudie les influences du Band et sa carrière. Le groupe, composé de Rick Danko (guitare basse, violon, chant), Levon Helm (batterie, mandoline, chant), Garth Hudson (claviers, saxophone), Richard Manuel (claviers, percussions, chant), et le compositeur Robbie Robertson à la guitare, débuta sa carrière à la fin des années 1950, sous la forme d'un groupe de rock and roll mené par Ronnie Hawkins, le premier invité du concert. Le Band joua pour Bob Dylan dans les années 1960, et Dylan joue avec eux vers la fin du concert.

De nombreux autres artistes jouent avec le Band : Muddy Waters, Paul Butterfield, Neil Young, Joni Mitchell, Van Morrison, Dr. John, Neil Diamond et Eric Clapton, jouant du blues, du rock and roll, du rhythm and blues, de la pop, du folk et du rock. D'autres genres apparaissent dans les séquences filmées ultérieurement en studio, avec Emmylou Harris (country) et The Staple Singers (soul et gospel).

Le film s'ouvre sur le Band interprétant en rappel la dernière chanson de la soirée, une reprise du tube de Marvin Gaye Baby Don't You Do It. L'on revient ensuite au début du concert, et la suite est plus ou moins chronologique. Aidé d'une section cuivre, le groupe interprète bon nombre de ses grands succès, dont Up on Cripple Creek, Stagefright et The Night They Drove Old Dixie Down.

Entre les extraits du concert sont intercalées des séquences en studio et des entrevues menées par le réalisateur Martin Scorsese, durant lesquelles les membres du Band reviennent sur l'histoire du groupe. Robertson évoque l'entrée de Hudson dans le groupe, qui se fit à la condition que les autres membres le paient dix dollars par semaine pour des leçons de musique. Hudson, qui avait reçu une formation classique, pouvait donc dire à la ronde qu'il était professeur de musique, non pas un simple musicien de rock. Robertson décrit également l'expérience surréaliste d'avoir joué dans un night-club appartenant à Jack Ruby, l'assassin de l'assassin présumé du président Kennedy.

Manuel se rappelle que parmi les premiers noms du Band, on compta « the Honkies » et « the Crackers » (les deux sont des termes argotiques pour désigner les blancs, utilisés par les noirs américains). Comme Dylan et leurs amis et voisins de Woodstock les appelaient simplement « the band » (« le groupe »), ils décidèrent de s'appeler ainsi. On y voit aussi Danko faire visiter à Scorsese le studio du groupe, appelé Shangri-La, et lui jouer un enregistrement de Sip the Wine, une chanson de son futur album solo Rick Danko, sorti en 1977.

Un thème qui revient régulièrement dans les interviews de Robertson est que le concert marque la fin d'une ère pour le Band ; qu'après seize années passées sur la route, il est temps de passer à autre chose. « C'est ce qu'est La Dernière Valse : seize ans de route. Le chiffre commence à devenir effrayant », déclare Robertson à Scorsese. « Je veux dire, je ne pourrais pas supporter d'avoir derrière moi vingt ans de tournées. Je ne crois pas que je pourrais même en parler ». Ce sentiment est encore accentué par le choix des chansons filmées : par exemple, les paroles d'Up the Cripple Creek qui contient la phrase « this living on the road is getting pretty old » (« cette vie d'itinérant commence à se faire longue »).

3 sketchs qui ont pour cadre la ville de New York : Apprentissages (Life Lessons) de Martin Scorsese : Tandis qu'il se sépare de sa compagne et assistante, un peintre prépare une exposition. / La Vie sans Zoe (Life Without Zoe) de Francis Ford Coppola : Une fillette de 12 ans, qui vit dans un palace, découvre une boucle d'oreille offerte par une princesse à son père. / Le Complot d'Oedipe (Oedipus Wrecks) de Woody Allen : Lors d'un spectacle de magie, la mère envahissante de Sheldon disparaît. Mais son visage continue d'apparaître dans le ciel de New York.

Doyle est un saxophoniste de jazz. Il rencontre Francine Evans, chanteuse, et tous deux jouent dans le même orchestre. Mais Doyle crée son propre orchestre, plus orienté vers la musique noire. Il épouse Francine, mais les aléas de la vie vont les séparer.

New York, début des années 90. La nuit, Frank Pierce sillonne les rues de Hell's Kitchen dans son ambulance. Il va mal. Il y a un moment qu'il n'a plus réussi à sauver une vie. Il est particulièrement hanté par le visage d'une jeune fille de 17 ans, Rose, qui est morte dans ses bras. Frank et son co-équipier interviennent pour une crise cardiaque. A leur arrivée l'homme est presque mort. Ils réussissent à le sauver in extremis, mais il reste dans le coma. Accompagnés de sa fille Mary, ils le transfèrent à l'hôpital. Puis les interventions s'enchaînent : clochards, crises de folie chroniques, accouchement prématuré, overdose, Frank Pierce voit défiler toute la misère du monde, et se sent toujours aussi impuissant face à elle. Chaque fois qu'il revient à l'hôpital, il revoit Mary, dont le père reste entre la vie et la mort. Il tombe progressivement amoureux d'elle. Frank ne cesse de vouloir quitter son travail, mais son patron remet toujours son renvoi au lendemain. Il est bientôt flanqué d'un nouveau co-équipier, au contact duquel il commence à s'endurcir, à devenir violent. Mais au dernier moment, il est regagné par la compassion. De nouveau face au père de Mary, il croit entendre ses plaintes, son désir de mourir. Il se résoud à l'euthanasier. Puis il retrouve Mary. A travers elle, il se sent pardonné par Rose...

XVIIème siècle, deux prêtres jésuites se rendent au Japon pour retrouver leur mentor, le père Ferreira, disparu alors qu’il tentait de répandre les enseignements du catholicisme. Au terme d’un dangereux voyage, ils découvrent un pays où le christianisme est décrété illégal et ses fidèles persécutés. Ils devront mener dans la clandestinité cette quête périlleuse qui confrontera leur foi aux pires épreuves.

Aux États-Unis, dans les années 1970. Alice est une femme au foyer de 35 ans, malheureuse en ménage : son mari est indifférent envers elle et irascible avec leur fils d'une dizaine d'années. Il meurt subitement, et la vie d'Alice prend un nouveau cours. Elle part avec son fils vers son rêve de petite fille, devenir chanteuse à Monterrey en Californie. Mais quelques désillusions l'attendent…

Cette saga sur le crime organisé dans l'Amérique de l'après-guerre est racontée du point de vue de Frank Sheeran, un ancien soldat de la Seconde Guerre mondiale devenu escroc et tueur à gages ayant travaillé aux côtés de quelques-unes des plus grandes figures du 20e siècle. Couvrant plusieurs décennies, le film relate l'un des mystères insondables de l'histoire des États-Unis : la disparition du légendaire dirigeant syndicaliste Jimmy Hoffa. Il offre également une plongée monumentale dans les arcanes de la mafia en révélant ses rouages, ses luttes internes et ses liens avec le monde politique.

Lors d'un concert, un homme s'empare d'une clef cachée dans l'ampoule de sa loge. Un homme tente alors de le maîtriser et de contrecarrer un complot...

un jeune homme (interprété par Peter Bernuth) arrive dans une salle de bain. Il se rase le visage avec un rasoir à lame unique dit « de sécurité » mais se coupe de plus en plus, provoquant des saignements abondants au point de remplir le lavabo.

Réalisé par Martin Scorsese, ce documentaire retrace les débuts de Bob Dylan, de sa naissance dans le Minnesota, en 1941, à son accession à la gloire dans le New York du début des années 1960 en passant par les années décisives des premiers concerts. Ce document inédit explore l'influence déterminante que Bob Dylan aura sur ses contemporains et se concentre sur la période 1961 à 1965. Alors que la scène pop-rock américaine est en pleine explosion, le chanteur devient l'un des piliers de la contre-culture américaine.

Source : film-documentaire.fr

La vie de George Harrison vue à travers des interviews et des images d'archives souvent inédites.

Vérité et mythe se confondent dans ce film de Martin Scorsese sur la tournée Rolling Thunder Revue de Bob Dylan durant l'automne 1975.

Au début du XXème siècle, le pétrole a apporté la fortune au peuple Osage qui, du jour au lendemain, est devenu l’un des plus riches du monde. La richesse de ces Amérindiens attire aussitôt la convoitise de Blancs peu recommandables qui intriguent, soutirent et volent autant d’argent Osage que possible avant de recourir au meurtre…

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