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Habituellement, je ne suis pas fan des flash-backs et voyages entre plusieurs époques, mais je trouve que ça fonctionne bien ici. Cela ne rompt pas la fluidité du récit et ne rend pas la lecture moins claire. Ordinairement, on montre comment est le personnage à la base, puis comment il va changer. Ici, on le voit changer, mais je crois qu'on ne comprend qui il est que vers la fin, lorsqu'on apprend
Et partout, il y a la marque de l'"imitation". Tentative d'imiter la connexion qu'avait Turing avec Christopher à travers la machine. Volonté de Turing d'être comme les autres, d'imiter la manière dont ils interagissent.
Enfin, j'ai aimé le regard neutre et nuancé porté sur ce personnage (quoiqu'il y ait un basculement dans les dernières secondes), la volonté de ne pas nous fournir toutes les réponses. "Imitation Game" est d'une grande maîtrise, est important pour faire connaître Alan Turing, mais est aussi et surtout, un film captivant qui procure une belle émotion.
Imitation Game
J'ai vraiment adoré ce film. Il m'a tenue en haleine tout du long, c'est très intense, très émouvant, et empli de tension, de par l'enjeu qui se cache derrière la mission d'Alan Turing. Ne vous attendez pas à un film de guerre bourré d'action. Celle que vous trouverez dans ce film est toute intellectuelle, c'est une guerre menée par une armée de brillants esprits qui se joue sous nos yeux. L'émotion est très présente, grâce à des flash-backs qui éclairent le présent d'Alan Turing, mais l'humour n'est pas en reste. Le héros, génie égocentrique, légèrement blasé par les simples esprits qui l'entourent, ne lésine pas sur les répliques bien senties, et les réponses de ses interlocuteurs ne sont pas en reste.
Que dire de la prestation de Benedict Cumberbatch? Il est parfait dans son rôle. Avec ce côté génial mais socialement maladroit, cette personnalité à part qui s'éveille doucement au monde et aux relations. Un "détail" m'a profondément marquée aussi: le jeu de Turing jeune, interprété par Alex Lawther, est une reproduction, au niveau des mimiques, des regards, des expressions, de la version adulte. C'est assez impressionnant et cela rend les choses très cohérentes et crédibles. Bref, bien que Benedict Cumberbatch mérite amplement toute notre admiration et tout son succès, il ne faut pas oublier qu'il est entouré d'une excellente équipe, qui rend le film extraordinaire.
Enfin, The Imitation Game est riche d'enseignement, et ce à plusieurs points de vue. D'abord au niveau historique, bien sûr, puisqu'il relate un épisode méconnu de la Deuxième guerre mondiale, mais aussi sur la condition féminine dans les années 40 et, bien sûr, la façon dont les homosexuels étaient traités à l'époque.
En bref, un film très profond porteur d'un message fort, qui n'a pas fini de faire parler de lui -et c'est tout à fait légitime.
Imitation Game
Passengers
Parce que concrètement, on a quoi ?
Tous les clichés Hollywoodien du type normal sauveur de monde et de l’histoire d’amour qui peut pas marcher mais marchera forcément, on en est sûr.
Du coup, à part l’arrivée de Gus, tout est ultra logique et donc, prévisible. De la découverte au choix, révélation, etc.
J’ai eu l’impression de voir un mix de Wall-E et Seul au Monde…
Et pourtant, j’ai marché. Peut-être parce que c’est sans surprise, je me suis laissé emporter dans l’histoire, correctement tenue par les interprètes et surtout, super réussie dans les décors intérieurs…
Passengers
Imitation Game
Imitation Game
Imitation Game
Imitation Game
Imitation Game
Imitation Game
Passengers
Imitation Game
Passengers
Imitation Game
Mais si Imitation Game est bouleversant, ce n’est pas tant par ce qu’elle raconte que sur ce que ça ne dit pas. Alan Turing était un homme brillant, incroyable et dont les travaux on permis des découvertes et des créations incroyables. Pourtant, à cause d’une chose aussi banale et peu importante que ses préférences sexuelles, le monde a été privé non seulement d’un héros, mais aussi de tout ce qu’il aurait pu inventer et/ou découvrir. Il est triste de voir que l’obscurantisme ait conduit l’Angleterre à se conduire de façon aussi barbare que les nazies. Pire encore peut-être vu qu’au moins eux l’assumaient et ne se cachait pas derrière un masque de bienséance.
Imitation Game