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Déçu, d’abord, parce que j’aime généralement bien les films de Nicolas Bedos et que celui-ci ne fonctionne pas, j’ai pas retrouvé la patte du mélange d’humour, de cynisme et de tendresse qu’il peut apporter généralement.
Déçu, ensuite, parce le film est long et s’enlise dans un côté répétitif qui ne surprend plus après 20 minutes.
J’ai assez peu de souvenirs du premier mais j’en garde l’idée d’un divertissement globalement sympa.
Là, Dujardin fait le job mais ça s’étire et il fait la même chose d’un bout à l’autre, Niney est assez sous-exploité dans des scènes qui reviennent régulièrement à l’identique ou presque…
Le duo n’est finalement pas marquant, même si j’ai bien aimé leur rencontre ou la course dans la savane (redondante cela dit).
Les blagues sexisto-machisto-racistes assumées sont drôles au début mais finissent par tomber à plat avec la lourdeur de la répétition…
La première scène en met plein la vue, le générique est très drôle…
Et une fois posées les idées, les blagues (les plusieurs présidents, la dame de l’accueil de l’hôtel), ça tourne un peu en rond.
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
Le scénario est vraiment nul, les dialogues sont à majorité sans intérêt.
J'étais contente de retrouver l'ambiance d'OSS117 avec les décors vintage et les répliques mythiques mais l'humour d'Hazanavicius me paraissait plus convainquant dans les deux premiers. Le perso principal était construit à l'extrême dans la misogynie ce qui rendait l'humour très subtil.
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
La Belle époque
Mascarade
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
Mascarade
Il pourrait peut-être être un poil plus court, mais il est super bien mené, avec de bonnes surprises, des acteurs excellents : Niney, bien sûr ; Marine Vatch, très fine, que je ne connaissais pas ;Cluzet que je n’ai quasi jamais aussi bien vu jouer et Adjani, très bonne et pleine d’autodérision.
Evidemment, cela peut faire grincer des dents, mais je trouve l’ensemble cynique à souhait et cohérent d’un bout à l’autre.
Chouette moment.
Mascarade
Mascarade
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
La Belle époque
Le fait que Hazanivicus n'a pas voulu faire partie de ce nouvel opus à cause d'un scénario qui ne l'a pas séduit était annonciateur du risque, et malheureusement, le résultat n'est que moyennement bon, décevant, malgré quelques répliques dans le ton de ses prédécesseurs et qui font mouche.
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
Il y a du bon et du moins bon, Nicolas Bedos aurait dû rester dans la même durée que son prédécesseur pour éviter les longueurs, j'aurai aimé une plus longue opposition entre OSS 117 et OSS 1001 pour le conflit des générations mais la fin laisse une possibilité intéressante pour une éventuelle suite...
Un troisième volet qui fait le travail!
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire
Ensuite, j'ai trouvé le film bien fait techniquement parlant. J'ai déjà parlé de la mise en scène inventive, mais c'est globalement toute la réalisation et même l'univers visuel, qui arrivent à nous embarquer avec eux. L'interprétation est aussi très bonne. C'est sûrement Doria Tillier qui m'a le plus séduite / surprise, car c'est typiquement le genre d'actrice que je connais sans connaître. Elle a fait la météo sur canal + il y a 10 ans, et depuis, je ne sais absolument rien de sa carrière. Je lui découvre donc ici un naturel à l'écran et un talent d'interprète, sur un rôle pas facile car à multiples facettes, que je ne soupçonnais donc pas forcément. Mais l'ensemble de la distribution m'a plu, que ce soit ceux que j'aimais avant même que le film commence, comme la merveilleuse Fanny Ardant, ou ceux que j'aimais un petit peu moins, comme Daniel Auteuil que j'ai parfois trouvé dans d'autres films monocorde, peu expressif, mais qui a réellement su me toucher ici.
J'ai trouvé enfin le film assez original dans son idée de départ, avec cette société qui recrée des époques, mais aussi dans sa volonté forte de montrer une histoire d'amour sur le déclin, et de pourtant d'arriver à délivrer un message positif, porteur d'espoir et même inspirant, du fait d'un traitement juste et très doux, cette espèce de nostalgie heureuse qui là encore nous embarque avec elle. Clairement, on a trouvé un twist hyper sympa et pertinent, qui nous fait complètement sortir du schéma-type du film romantique, mais qui pourtant nous ancre dans des codes qu'on connaît déjà, avec ce côté doudou et rassurant, qui manque à d'autres films qui tentent l'originalité.
Mais paradoxalement, malgré cette originalité que je reconnais sans aucun mal, j'ai trouvé le film hyper prévisible. Au bout de quoi, 15-20 minutes, j'avais déjà compris où le film allait m’emmener. Alors bien sûr pas tous les détails, mais les grosses lignes de l'intrigue m'ont vraiment semblé évidentes. Curieux sentiment pour moi, cette originalité prévisible.
Je dois aussi dire que je m'attendais à un film plus drôle. C'est vendu comme une comédie dramatique. Donc oui, il va y avoir du drame, des sujets sérieux, etc. Mais on doit aussi avoir de l'humour. Et pour ma part, c'est un aspect que je n'ai quasiment pas ressenti.
Et je sais très bien pourquoi je ne l'ai pas ressenti, à cause de ce qui est pour moi le gros point noir du film. Ce qui est censé être drôle dans le film, c'est le couple formé par Margot et Antoine, qui se déchire mais avec infiniment moins de classe et de tendresse que le couple Marianne / Victor. Le parallèle qu'on a tenté de faire entre les deux couples est évident et s'entend parfaitement scénaristiquement parlant... Mais j'ai trouvé ça mal fait. Là où Marianne et Victor nous touchent, Margot et Antoine nous horripilent, ils sont excessifs, ils sont vulgaires, pour ma part je n'ai pas réussi à m'y reconnaître ou à me projeter dans ce couple.
Puis il faut aussi dire que Nicolas Bedos nous fait là du Nicolas Bedos dans toute sa splendeur, fait ce que beaucoup de monde lui reproche très régulièrement, c'est à dire être narcissique à souhait. Car l'autre parallèle évident, c'est celui avec le couple qu'il a formé un temps dans la vraie vie avec Doria Tillier. Sans nier le talent qu'il a également, il a quand même une personnalité qui clive un peu, et quand il fait cela, on a un peu envie de lui mettre des baffes. Parce que c'est agaçant déjà, mais aussi parce qu'il a à mon sens sabordé tout seul son film, en proposant vraiment un truc qui fait tache et qui est trop présent dans le film. Et alors même qu'on a une courte scène du film, sur le thème de la relation père/fils, où on devine aussi des accents autobiographiques, mais en arrivant ici à être juste, à élargir le sujet d'une façon qui fait que à peu près tout le monde pourra s'y reconnaître. Il en est donc capable quand il veut, et c'est donc d'autant plus agaçant quand manque à ce point de recule par ailleurs.
Bon après dans l'ensemble, ça reste un film que j'ai pris plaisir à regarder, que j'ai trouvé bien fait, et qui pousse à la réflexion sur le couple et son évolution, et c'est sûrement l'essentiel.
La Belle époque
OSS 117, Alerte rouge en Afrique noire