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Le film est joli à voir, feel good. On ressort avec une envie de chocolat.
(Vu en VF)
Wonka
Paddington 2
Le message plein de tolérance est mimi, l'humour est présent, il y a des instants d'émotion. Paddington est hyper attachant. Les autres membres de la famille présentent des évolutions intéressantes et, bien qu'un peu caricaturaux, des traits de caractère dans lesquels le spectateur moyen se reconnaîtra sans mal, rendant aisée la projection dans le film. Le personnage de la méchante jouée par Nicole Kidman est plutôt crédible également.
Techniquement parlant, la réalisation est vraiment soignée pour ce type de film. On a mis des moyens à la hauteur des ambitions des scènes d'action. On met super bien en valeur la ville de Londres, ce qui n'est pas si facile que ça à faire. Les décors en intérieur sont toujours très colorés et bien pensés. La mise en scène est dynamique, parfois créative.
Le film souffre peut-être de 10 ou 20 minutes de trop, ainsi que d'une musique trop forte et assez agaçante. Mais la globalité me laisse un sentiment agréable. Je regarderais très vite la suite et avec plaisir !
Paddington
A revoir pour se faire un avis plus tranché.
Wonka
Wonka
Wonka
Mais film dynamique, histoire très sympathique a voir en famille pour découvrir les origines du grand chocolatier de notre enfance
Wonka
Wonka
Il ne respecte pas l'enfance qu'on voit dans ce film et c'est du coup un peu décevant mais j'avais également prévenue de ce fait. Du coup j'ai vraiment été charmée par ce film, ses personnages, son univers et son ambiance
Wonka
Wonka
Wonka
La notion de dette revient souvent, et devient même un élément central, qui freine à plusieurs reprises la progression des personnages. Le réalisateur joue d'une tension passionnante, puisque son film est – à l’instar de son héros – incapable de rester en place, alors que tout pousse à la stagnation.
L’équilibre, c’est de voir l’horreur de ce monde, sans pour autant s’y abandonner. Willy Wonka suit cette trajectoire, en injectant de la magie et de l’espoir dans des vies bien moroses.
De cette façon, Paul King confirme qu’il est bien plus qu’un simple artisan soigné, et que ses longs-métrages sont le fruit d’une poésie singulière. Plutôt que de sombrer dans la béatitude malhonnête d’une machine de studio prônant la croyance indéfectible en ses rêves, Wonka ne cesse de mettre en scène des obstacles, et la résistance permanente que nécessite l'accomplissement de l’individu face à un système écrasant. C’est pour cette raison que l’écriture millimétrée du cinéaste (épaulé par son comparse Simon Farnaby) satisfait par la place de ses personnages secondaires.
Comme à son habitude, King les croque par quelques traits de caractère rapidement identifiables, autant dans leur potentiel que dans leurs entraves dont ils se libèrent au contact du protagoniste.
Et au fond, cette efficacité martèle la sève du cinéma de Paul King : dans des univers réglés comme du triste papier à musique, le héros vient imposer un nouveau tempo et dérégler le statu quo. On en revient à cette brume inaugurale de Wonka : elle annonce le portail, ou plutôt le vaisseau que représente ce personnage dans cette nouvelle musicalité ; une musicalité qui dépend de la rythmique d’une réalisation virtuose.
Comme s’il malaxait une matière de film d’animation dans du live-action, King s’amuse de ses élans burlesques, de ses accumulations de plans improbables, et autres effets de style jouissifs (cette ampoule qui s’allume au-dessus d’une tête en pleine épiphanie). Le timing comique du montage est à l'avenant des scènes de comédie musicale, où tout s’entremêle dans une harmonie faussement foutraque. À l’instar des mots de Roald Dahl, dont l’absurdité récurrente se rendait digne d’un cadavre exquis, le réalisateur aime pousser ses scènes et ses images à leur plein potentiel, à la manière des concoctions du jeune Willy qui fascinent tant sa caméra.
Perclus de mallettes-laboratoires, de systèmes de laverie ingénieux et de caves à chocolat, le film reflète par son utilisation de la mécanique celle de sa propre fabrication. Mais au-delà de son chef d’orchestre derrière l’objectif, Wonka dépend beaucoup de Timothée Chalamet, et de sa propension à apporter sa propre musicalité à l’ensemble. Jusque-là connu pour ses rôles dramatiques, l’acteur s’affirme dans un lâcher-prise salvateur, où ses maniérismes et son travail physique marchent habilement dans les pas de Gene Wilder et de Johnny Depp.
La filmographie exemplaire de Paul King et le jeu d’acteur parfait de Timothée Chalamet amènent sans doute à faire la fine bouche, car Wonka s'impose en film de Noël idéal, qui confirme sous les atours du blockbuster calibré la voix d’un acteur aussi charmant que passionnant.
Vu en VO
Wonka
Wonka
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