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Black Book
Caricature, donc, mais au service de l'utile : si critique de l'impérialisme américain des années quatre-vingt dix il y a, elle est parfaitement portée par ces plans exagérés, ces discours exagérés, ces personnages stéréotypés au possible, et un graphisme somme toute pas si mal pour l'époque, le tout saupoudré d'un peu de débilité apparente ! Tout est amené à son paroxysme, que dis-je, c'est l'apothéose du cliché et du mauvais goût visuel. Et c'est bien pour ça que ce film est bon.
Au premier degré, ce film est un navet. Au second, c'est un habile, efficace et délicieux pied-de-nez à la politique militaire américaine de l'époque. Suffit de gratter un peu sous la carapace de l'alien.
Starship Troopers
J'aime beaucoup sa manière d'aborder la guerre et surtout la Libération. Dans sa phrase que dit Ellis "Je ne pensais pas un jour avoir peur de la Libération" montre toute la teneur de ce film car, il ne s'arrête pas avec la Libération justement ! Il montre aussi toutes les atrocités faites après la Libération, j'adore ! ça nous montre une autre facette de la guerre, une facette dont on parle que trop peu. Merci beaucoup pour ce film!
Black Book
Bon, un film prévisible n'est pas forcément un mauvais film. Et malgré quelques incohérences (notamment le fait de défibriller un gorille sans le raser ou comment prendre des risques inutiles), Hollow Man aurait pu s'en sortir un peu mieux. Le personnage de Sebastian n'est pas vraiment très élaboré... Fondamentalement, il a toujours été un sacré casse-pied doté d'un égo surdimensionné et des pensées criminelles (la façon dont il regarde sa voisine se déshabiller dés le début du film est absolument malsaine). La seule différence c'est que l'expérience lui donne la possibilité d'aller aux bouts de ses idées, alors je ne comprends pas comment toute son équipe et même ses supérieurs peuvent bien encore le soutenir malgré tout. Le personnage de Linda, quant à lui, est trop lisse.
Finalement, le film se laisse regarder, mais si la première partie était assez intéressante, la seconde est bâclée, un peu ennuyante.
L'Homme sans ombre
Total Recall
Le film commence à accuser son âge mais je trouve justement que, dans ce genre de cas, ça permet de voir l'évolution des technologies. Ici, c'est en avance sur son époque mais ça reste tout de même assez raide niveau déplacement.
L'évolution de l'agent Murphy est prenante, cet équilibre incertain entre ce qu'on lui a implanté dans sa mémoire et ses souvenirs et sa confrontation avec l'extérieur et ses collègues montre les qualités de l'esprit humain qu'il reste au malheureux policier.
L'univers est bien, l'histoire est bonne, un Verhoeven que je suis content d'avoir enfin découvert.
RoboCop
Black Book c’est l’histoire d’une juive qui se retrouve au cœur de la résistance Hollandaise. En devenant Ellis de Vries, elle parvient à infiltrer le Service de Renseignements Allemand et à se lier avec un officier.
Paul Verhoeven signe ici une très belle fresque, à la fois héroïque et aventurière, un film sans temps mort, oscillant entre le camp des traîtres, des méchants et des résistants. Jusqu’à la fin, le cinéaste aura su nous tenir en haleine, et ce grâce à un scénario brillant, de très belles interprétations dont Sebastian Koch et l’admirable Carice Van Houten qui endosse avec brio le premier rôle ! Un grand film d’espionnage servit par un réalisateur de talent qui n’a plus rien à nous prouver.
Black Book
On suit Benedetta de son entrée au couvent jusqu'aux évènements qui vont la faire passer de simple sœur à Mère Abbesse, de ses visions aux "témoignages" divins de sa sainteté... tout en suivant son attirance pour sa comparse qui va aller assez loin.
Et les ennuis qui vont en découler, les tensions et sentiments contraires qui vont la faire chuter...
De ce côté, pas trop de problème, ça se laisse suivre, pas de grandes surprises pour le genre.
Par contre, Virginie Efira dans ce rôle? Pour moi, non, ou alors elle aurait dû changer beaucoup de choses dans son physique pour ressembler aux femmes de cette époque. Et puis son jeu, c'est un coup bon, un coup beaucoup trop forcé pour qu'on y croit. Pour moi, il n'y a aucun équilibre entre la sœur qui voit le Christ et celle qui se laisse entraîner dans ses penchants et son pouvoir.
Ce n'est pas mauvais mais j'ai clairement vu Verhoeven plus inspiré
Benedetta
Elle
Et bah bof bof. Beaucoup de jérémiades, un jeu surjoué, et une fin qui fait flop. Clairement le personnage de Benedetta est insupportable. Il n'est pas assez fort pour qu'on la croit entièrement folle, (il n'est pas aussi poussé qu'il aurait pu l'être je pense) et pas assez subtil pour engranger une quelconque émotion.
Benedetta reste dans son délire mégalo sans montée véritable de sa folie ou de sa mégalomanie. On n'a pas d'évolution, juste ses plans mystiques qui se succèdent les uns après les autres.
La fin est plate et simple (surtout les dernières minutes) et casse un rythme plutôt bien mené dans la deuxième partie du film.
Et puis moi qui pensait que c'était une œuvre originale, en fait c'est une adaptation, tirée de faits réels. Je pense que c'est ça qui a péché en partie, parce que ça n'a pas donné assez de liberté à l'histoire et au développement du personnage principal.
En gros beaucoup de bruit et de démonstrations ronflantes pour pas grand chose, mais ça se laisse regarder.
Benedetta
Benedetta
Total Recall
En bref, c’est un bon film historique, mais j’aurais préféré qu’i se concentre un peu moins sur le côté choquant et qu’il propose une histoire un peu plus poussée avec des personnages plus attachants.
Benedetta
Benedetta
C'est glauque, crasseux, bourré de testostérone et diablement efficace !
Une réussite !
RoboCop