Tous les films de Philippe Godeau
Hervé, patron d'une agence de presse décide d'en finir avec l'alcool. Loin de tout et grâce aux autres, il parvient à combattre sa dépendance, en repartant vers une nouvelle vie.
Adaptation du livre autobiographique d’Hervé Chabalier, publié aux éditions Robert Laffont, « Le dernier pour la route » met en scène son combat contre l’alcoolisme.
Toni est convoyeur de fonds depuis une dizaine d'années. Employé sans histoires, il est respecté par ses collègues comme par sa hiérarchie.
Pourtant, après un événement anodin vécu comme une humiliation, Toni change, devient amer, s'isole et rumine en silence. Ses collègues n'ont aucune idée de ce qui se trame dans sa tête, et Marion, sa conjointe restauratrice, non plus. Il commence à raconter des histoires à son entourage et se rêve une autre vie. Il achète, sans en avoir les moyens, une voiture de sport et emmène Marion en week-end. Puis il met en scène le vol du véhicule afin de toucher l'assurance.
Outre son comportement distant, voire parfois hostile envers son meilleur ami au boulot, Toni multiplie les actions en catimini, dont la location d'un garage privé et l'érection, à l'intérieur de celui-ci, d'une double paroi.
Le 5 novembre 2009, après avoir chargé 11,6 millions d'euros à la Banque de France, il attend que ses collègues descendent du fourgon blindé pour leur fausser compagnie. La police, qui croit tout d'abord à un braquage, doit bien se rendre à l'évidence : Toni est manifestement l’auteur du vol. La chasse à l'homme est lancée. Toni est finalement localisé, mais le magot reste introuvable...
Depuis son village au nord du Sénégal, Yao est un jeune garçon de 13 ans prêt à tout pour rencontrer son héros : Seydou Tall, un célèbre acteur français. Invité à Dakar pour promouvoir son nouveau livre, ce dernier se rend dans son pays d’origine pour la première fois. Pour réaliser son rêve, le jeune Yao organise sa fugue et brave 387 kilomètres en solitaire jusqu’à la capitale. Touché par cet enfant, l’acteur décide de fuir ses obligations et de le raccompagner chez lui. Mais sur les routes poussiéreuses et incertaines du Sénégal, Seydou comprend qu’en roulant vers le village de l’enfant, il roule aussi vers ses racines.