Commentaires sur ses livres

Réalisé par l'un des maîtres du genre La "Rivière d'argent" a pourtant un peu de mal à nous séduire. Malgré tout le film sait se faire apprécié à bien des points de vue : une période intéressante, des difficultés économiques bien décrites, des personnages loin d'être lisses. Et pourtant, faute de rythme notamment, de passion également, le film se passe sans jamais nous captiver vraiment, l'ensemble se révélant peut-être aussi moins spectaculaire que prévu. Errol Flynn nous offre ici un personnage ambigu, parfois même antipathique (rassurez-vous, ce n'est pas tout le temps non plus), ce qui est bien sur toujours appréciable d'autant que ce dernier réussit en définitive une prestation d'assez haute volée. Bref, pas forcément d'enthousiasme en vue, mais tout de même un film d'une qualité certaine.

"la brigade héroïque" un western à la gloire des tuniques rouges. Ici à part le titre rien de bien glorieux pour les forces de la cavalerie Canadienne qui n'a rien à envier à la des Sioux et usent des mêmes extrémités barbares. On notera la belle présence de l'actrice Shelley Winters que l'on retrouvera dans l'excellent film catastrophe "l'Aventure du Poséidon".

Même période, même thème, même guerre, mêmes lieux, même Clark Gable...tout dans cette œuvre fait penser à Autant en emporte le vent, la force du scénario en moins. Le film se regarde avec plaisir, le charme désuet fait le reste.

Franchement Errol Flynn est mieux dans ses autres films, bref j'ai pas trop aimé.

Pas mal franchement ! Bon c'est pas un chef-d'oeuvre mais ça se regarde. Et puis ça montre bien l'horreur de la seconde guerre mondiale, les batailles et tout ça...

Vu pour la spécialité LLCER anglais en terminale en lien avec le film "The Searchers". Le film est en noir et blanc relatant l'Histoire de la Conquête de l'Ouest menée par les pionniers. Ce n'est pas vraiment l'histoire entre les personnages qui m'a marqué mais surtout la grande fresque historique des colons, ils ont affronté des épreuves difficiles pour espérer avoir une meilleure vie, "American Dream". C'est un film enrichissant pour ceux qui ne connaissent pas les débuts de la Conquête de l'Ouest.

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J'ai été impressionné par la scène si réaliste où les transports sont descendues des montagnes, cela représentait un gran danger pour la vie de ces Américains mais l'espoir est plus fort qu'eux..
John Wayne débute les grands rôles en commençant par ce film, et je suis surprise que je le retrouve presque le même John Wayne entre jeune et âgé.
Ce n'est pas le film du siècle mais qui représente un gros budget pour faire le film et l'importance de masse de matériels utilisés tout au long du film.

Très agréable à voir .Toute ma jeunesse

Dans le Sud esclavagiste, Amantha découvre qu’elle a du sang noir. Elle est vendue à un odieux affairiste puis « cédée » à un riche planteur qui la traite avec respect. La guerre de Sécession éclate…
Comme Griffith ou Ford, Walsh oppose ici la noblesse et la prestance des gentlemen du Sud à la veulerie et à la brutalité des soldats nordistes. L’Esclave libre n’est pourtant pas une œuvre politique : la guerre de Sécession n’est que la toile de fond d’une aventure où se mêlent l’Histoire, l’amour, l’honneur, le danger… Une chaleureuse complicité unit visiblement Clark Gable à Raoul Walsh, qui le dirige pour la troisième fois. L’Esclave libre est, pour le cinéaste, l’occasion de composer un fascinant portrait de femme, victime des circonstances mais décidée à tout tenter pour faire triompher ses convictions.

Un coup de coeur, comme la majorité des films avec Errol Flynn. On se retrouve plongé dans l'univers de la boxe, par le biais de Jim Corbett, un jeune homme intrépide qui n'a pas froid aux yeux. Un petit bijou trop méconnu.