René Clément

Un très beau film touchant dont on se souvient même des années après. L'innocence des enfants et l'horreur de la guerre... Pour les plus petits une deuxième fin ! Malgré tout je préfère la première plus réelle mais plus triste...

Si Alain Delon me charme lorsqu'il interprète le Samouraï, je suis bel et bien tombée amoureuse de lui dans ce film.

Plein Soleil est très bon.

J'ai assez bien aimé ce film.

Gérard Philipe tourne là l'un de ses pire film, rien n'a d’intérêt dans ce film. Une pièce de théâtre aurai pu faire l'affaire.

Pourtant le réalisateur René Clément est parfait dans bien d'autre films comme "jeux interdit", " Paris brûle-t-il ?" ou encore "Les Maudits". Un film raté et ennuyeux... il a peut être juste mal vieilli.

Ce film est très drôle, non pas par la qualité des blagues mais par la façon de jouer des enfants. C'est un peu n'importe quoi comme histoire mais c'est marrant et le fait qu'il soit en noir et blanc ne gache rien en mon sens. Ce n'est pas spécialement à voir, mais c'est parfois tellement absurde que si on veut regarder quelque chose de drôle, je conseille.

Il est plutôt bon, ce film !!

Pourtant, un huis clos dans un sous-marin, pendant la guerre, avec des gens qui parlent allemand ou italien, ça paraissait chaud comme base…

Eh ! Ben non. Les cadrages sont intéressants et réussissent à fonctionner dans un si petit univers, la traversée sous-marine apporte son lot de discussions tendues sur une trame solide…

Les acteurs sont plutôt bons (avec le sud américain en tête à mon goût) et tiennent bien cette aventure qui fait passer un bon moment.

Et comme les films sur la seconde guerre ne sont pas mon kif, précisons que celui-ci ne se sert de la guerre que comme prétexte : ça pourrait être n’importe quelle bande de méchants qui embarquent le gentil docteur (qui est peut-être un peu passif, mais bon, ça va…).

J’ai vu ce film parce que j’avais beaucoup aimé l’adaptation de 1999, Le Talentueux Monsieur Ripley.

J’ai beaucoup aimé l’esthétique du film, entre les scènes en bateau et les villes italiennes, il y a de belles couleurs. Je connaissais déjà l’histoire, donc certains événements ne m’ont pas surprise, en revanche il y avait quelques différences par rapport à l’adaptation plus récente. Les rebondissements restaient quand même divertissants. J’ai bien aimé la façon dont le film se terminait, un peu ironique. On comprend facilement la personnalité pas très morale de Greenleaf. On voit aussi très bien les « talents » de Mr Ripley, même s’il n’est pas infaillible. Par contre, je trouvais qu’il n’y avait pas trop de place pour le personnage de Marge dans ce film.

Sorti en 1960, Plein Soleil est la première adaptation cinématographique du roman policier Monsieur Ripley écrit en Patricia Highsmith en 1955. Alain Delon tout juste remarqué par Luchino Visconti pour le tournage de Rocco et ses frères, est le premier à incarner à l’écran Tom Ripley. Jeune au charisme insolent, Tom est éblouissant de froideur en s’infiltrant dans la vie intime de son « ami » milliardaire Philippe Greenleaf (Maurice Ronet), une vie qu’il convoite par-dessus tout dans un cadre italien paradisiaque. La suite se veut monstrueuse puisqu’il ira jusqu’à élaborer un plan d’usurpation d’identité après l’avoir assassiné, usant d’une intelligence effroyable pour échapper à la justice, ce protagoniste machiavélique au caractère imprévisible, fait que le talent de Delon se confirme dés la fin des années 50, une performance qui sera saluée par la critique. Film froid avec une fin bien escarpée, Plein Soleil met à l’honneur toute la beauté de la Méditerranée et son climat transalpin par son procédé Eastmancolor rendant un résultat d’image splendide. Bien que le film soit inscrit au Panthéon des thrillers français, le tournage de celui-ci fut compliqué en raison des relations litigieuses entre Marie Laforêt dont ce fut le premier rôle au cinéma et Alain Delon, l’actrice jugeant celui-ci prétentieux et très irrespectueux envers elle.

L'un des plus beaux films sur l'enfance durant la guerre, sur ce qu'elle fait aux plus jeunes, et dans ce cas-ci, ce qu'ils reproduisent sans vraiment en comprendre l'importance.

Brigitte Fossey et Georges Poujouly sont excellents d'innocence dans leurs actes, on les suit dans ce qu'ils vivent et comprennent, souriant et étant touché à la fois...

C'est drôle, poétique, triste aussi mais tout passe si bien que je le reverrais sans jamais m'en lasser.

Une libération de Paris bien menée, qui a pris le temps de montrer tous les partis qui se battent, la difficulté de s'unir et d'attendre le bon moment, les luttes de pouvoir et les combats sanglants pour défendre les lieux occupés, d'un côté comme de l'autre.

Le film est un peu long mais pour une opération de cette envergure, il fallait bien ça, voire plus...

Le casting est bon et même si certains grands sont là plus pour de la figuration de quelques secondes qu'autre chose, ça fait plaisir de les y voir quand même.

La photographie et les lumières sont très bonnes comme souvent dans les films de René Clément.

Un bon film même si j'aurais clairement aimé en voir plus, trouver un peu plus de traîtrise, des combattants un peu moins héroïques, plus humains ordinaires que combattants qui n'ont peur de rien... Plus de femmes aussi, parce qu'il n'y a pas que les hommes qui se sont battus non plus mais le film date un peu et sa vision est celle de son époque, je ne peux pas lui reprocher ça. En tout cas, je ne regrette pas les près de 3h que ça a duré.